Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
Simplement la violence des coups et leurs effets sur le corps. C'est énorme. Et magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Urbuz
par Vincent Malausa
Dans sa dérive hardcore, dans ses prodigieuses tentatives d'implosion esthétique, Tokyo Fist est un sommet de cinéma traumatique, au bord de la désintégration formelle.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Les gros coups de tambour de Fight Club, appuyés par une esthétique publicitaire, laissent (...) place à Tokyo Fist qui stigmatise ce même ennui généré par notre société de consommation, mais se laisse guider par une réflexion désabusée et discrète.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
Tokyo Fist, bien que réalisé en 1995, sonne comme étonnamment moderne. Ce film japonais et ultra-violent, sous des dehors peu amènes, est au plus proche de nos préoccupations.
Première
par Gérard Delorme
Quatre ans avant Fight Club (...), Shinya Tsukamoto (Gemini) considérait la douleur comme le dernier vestige d'humanité chez des citadins de plus en plus insensibilisés (...). Tout le monde ne va pas aimer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Repérages
par Nachiketas Wignesan
Si, après Bullet Ballet et Gemini, on est désormais habitué au cinéma du Japonais Shinya Tsukamoto, il est plaisant de le retrouver empreint d'une énergie à couper le souffle. Comme un direct à l'estomac.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Aden
par Philippe Piazzo
Tokyo Fist confirme que le cinéaste possède un univers visuel fort, même si l'on peut rester sceptique quant à sa technique du KO adressée au spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Positif
par Hubert Niogret
(...) si certains plans surprennent encore par leur vision de Toky, ville de froideur urbanisée à l'extrême, bien d'autres ne sont que des solutions de mise en scène, simpliste et répétées jusqu'à l'ennui.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par François Gorin
En poussant jusqu'à l'impasse sanglante une métaphore primaire des rapports humains dans une société déshumanisée, ce petit cinébolide sans foi ni loi produit une vraie décharge électrique. Faute de séduire, il estomaque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
par G.L.
Avec son esthétisme cyberpunk douteux, calqué sur celui des jeux vidéo les plus violents, "Tokyo Fist" devient vite assommant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) ni choquant, ni dérangeant, seulement fatigant, répétitif, ennuyeux et totalement dénué de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Chronic'art.com
Simplement la violence des coups et leurs effets sur le corps. C'est énorme. Et magnifique.
Urbuz
Dans sa dérive hardcore, dans ses prodigieuses tentatives d'implosion esthétique, Tokyo Fist est un sommet de cinéma traumatique, au bord de la désintégration formelle.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Les gros coups de tambour de Fight Club, appuyés par une esthétique publicitaire, laissent (...) place à Tokyo Fist qui stigmatise ce même ennui généré par notre société de consommation, mais se laisse guider par une réflexion désabusée et discrète.
MCinéma.com
Tokyo Fist, bien que réalisé en 1995, sonne comme étonnamment moderne. Ce film japonais et ultra-violent, sous des dehors peu amènes, est au plus proche de nos préoccupations.
Première
Quatre ans avant Fight Club (...), Shinya Tsukamoto (Gemini) considérait la douleur comme le dernier vestige d'humanité chez des citadins de plus en plus insensibilisés (...). Tout le monde ne va pas aimer.
Repérages
Si, après Bullet Ballet et Gemini, on est désormais habitué au cinéma du Japonais Shinya Tsukamoto, il est plaisant de le retrouver empreint d'une énergie à couper le souffle. Comme un direct à l'estomac.
Aden
Tokyo Fist confirme que le cinéaste possède un univers visuel fort, même si l'on peut rester sceptique quant à sa technique du KO adressée au spectateur.
Positif
(...) si certains plans surprennent encore par leur vision de Toky, ville de froideur urbanisée à l'extrême, bien d'autres ne sont que des solutions de mise en scène, simpliste et répétées jusqu'à l'ennui.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
En poussant jusqu'à l'impasse sanglante une métaphore primaire des rapports humains dans une société déshumanisée, ce petit cinébolide sans foi ni loi produit une vraie décharge électrique. Faute de séduire, il estomaque.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Avec son esthétisme cyberpunk douteux, calqué sur celui des jeux vidéo les plus violents, "Tokyo Fist" devient vite assommant.
Les Inrockuptibles
(...) ni choquant, ni dérangeant, seulement fatigant, répétitif, ennuyeux et totalement dénué de grâce.