Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Le Figaroscope
par Jean-Luc Wachthausen
Priés par le cinéaste et scénariste Derek Cianfrance de vivre ensemble avant le tournage et d'improviser, Ryan Gosling et Michelle Williams (nommée aux Oscars) font mieux que jouer. Ils s'attirent comme des aimants. Jusqu'à la rupture.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Brazil
par Alexandra Louvet
On sort de salle extrêmement émus, en se demandant ce qui fait ou défait les couples et où l'amour se perd... Un beau film sur l'incommunicabilité...
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Critikat.com
par Clément Graminiès
Derek Cianfrance, dont c'est ici le premier long-métrage de fiction, se met à juste hauteur et parfaite distance de ses deux personnages principaux pour faire l'autopsie – pleine d'empathie – de l'échec d'une relation amoureuse. Au sommet de ce beau film plein de spleen trône un duo d'acteurs épatants : Ryan Gosling et Michelle Williams.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
L'érosion du couple, un sujet ordinaire traité ici avec une justesse et un courage dont on ne ressort pas indemne.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Si l'on peut faire un reproche à ce beau film d'une honnêteté implacable, il tiendra à cet excès de minutie qui se fait parfois étouffant. Jamais au point d'empêcher le déferlement d'un flot d'émotions contradictoires. Il est impulsé par deux acteurs qui se comportent très différemment de la plupart de leurs collègues hollywoodiens.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Marie Sauvion
La force de "Blue Valentine", outre une sincérité absolue, c'est sa construction : le film voyage sans arrêt du passé au présent, procède par échos, confronte la joie et l'espoir des débuts à l'amertume et aux regrets de la fin. Ce premier long-métrage beau et triste doit infiniment à son couple d'acteurs, la toujours émouvante Michelle Williams et le décidément irrésistible Ryan Gosling.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Chaque scène renvoie subtilement à son double inversé, à l'époque où ces deux-là se sont rencontrés et aimés. Qu'il joue les déménageurs, du ukulélé ou qu'il se fracasse contre le silence de Michelle Williams, Gosling, jazzman dans la vie, fait preuve de la même décontraction insolente qui caractérise les grands.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Didier Péron
Cianfrance a habilement dosé les séductions et défauts des deux personnages pour que le spectateur ne soit jamais soulagé par l'évidente raison du basculement des sentiments, en accablant l'un ou l'autre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Jérôme Vermelin
Cette chronique d'un amour qui s'éteint est sublimée par deux comédiens en état de grâce, qu'on jurerait en couple à l'écran comme à la ville.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Mathieu Carratier
Ryan Gosling et Michelle Wiliams ont fait plus que prendre possession de lieux : la façon dont ils s'abandonnent à ces personnages entre le dégout d'eux-mêmes et une envie de s'aimer encore est stupéfiante. (...) Grâce à eux, "Blue Valentine" dépasse une bonne fois pour toutes ses quelques tics un peu "Sundance" pour atteindre une majesté assez terrassante.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Emmené par deux acteurs qui donnent tout, et même plus, le film, s'il se complaît un peu trop dans sa propre noirceur, dégage une telle vérité que c'en est parfois gênant, comme si Cianfrance regardait par un trou de serrure. Allez-y – mais pas en couple.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Ce workshop filmé se révèle au bout du compte assez productif. D'abord parce que les acteurs, en effet, sont bons – avec un avantage très net pour Williams. Ensuite parce que le film retrouve dans la captation de la performance le sujet qui, ailleurs, échappe à son réalisme coquet.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
(...) Petit film indépendant bien joué avec de bons et jolis acteurs, le tout filmé avec sincérité, sens du romanesque et souci de réalisme intelligemment mêlés. Ça se regarde avec plaisir.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
On ne pourra nier l'implication et la conviction évidentes des protagonistes du film : le réalisateur, issu du documentaire, veut rendre justice à l'Amérique des classes populaires. Les acteurs principaux miment l'amour comme si leur vie en dépendait. (...) Le spectateur est censé voir l'amour s'y épuiser : il est un peu épuisé par un film aux airs de bête de compétition, catégorie émotion.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La rédaction
Une construction en multiples flashbacks évite la monotonie du déroulé alors que Ryan Gosling et Michelle Williams apportent des vibrations d'une remuante authenticité à leur composition.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Ariane Allard
Il se dégage même un charme poignant de cette chronique d'un désamour annoncé.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Louis Guichard
Par son ambition - autopsier un couple - et par sa fougue mélancolique, c'est une tentative exaltante dans le paysage assez déserté du cinéma d'auteur américain.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Cette vision assez désespérée de l'amour trouve par éclat une vraie puissance tragique. (...) Toutefois le film pèche souvent par volonté de tout montrer, chaque détail de l'effondrement, plutôt que de laisser au spectateur le soin de remplir les béances narratives.
Le Figaroscope
Priés par le cinéaste et scénariste Derek Cianfrance de vivre ensemble avant le tournage et d'improviser, Ryan Gosling et Michelle Williams (nommée aux Oscars) font mieux que jouer. Ils s'attirent comme des aimants. Jusqu'à la rupture.
Brazil
On sort de salle extrêmement émus, en se demandant ce qui fait ou défait les couples et où l'amour se perd... Un beau film sur l'incommunicabilité...
Critikat.com
Derek Cianfrance, dont c'est ici le premier long-métrage de fiction, se met à juste hauteur et parfaite distance de ses deux personnages principaux pour faire l'autopsie – pleine d'empathie – de l'échec d'une relation amoureuse. Au sommet de ce beau film plein de spleen trône un duo d'acteurs épatants : Ryan Gosling et Michelle Williams.
Le Journal du Dimanche
L'érosion du couple, un sujet ordinaire traité ici avec une justesse et un courage dont on ne ressort pas indemne.
Le Monde
Si l'on peut faire un reproche à ce beau film d'une honnêteté implacable, il tiendra à cet excès de minutie qui se fait parfois étouffant. Jamais au point d'empêcher le déferlement d'un flot d'émotions contradictoires. Il est impulsé par deux acteurs qui se comportent très différemment de la plupart de leurs collègues hollywoodiens.
Le Parisien
La force de "Blue Valentine", outre une sincérité absolue, c'est sa construction : le film voyage sans arrêt du passé au présent, procède par échos, confronte la joie et l'espoir des débuts à l'amertume et aux regrets de la fin. Ce premier long-métrage beau et triste doit infiniment à son couple d'acteurs, la toujours émouvante Michelle Williams et le décidément irrésistible Ryan Gosling.
Le Point
Chaque scène renvoie subtilement à son double inversé, à l'époque où ces deux-là se sont rencontrés et aimés. Qu'il joue les déménageurs, du ukulélé ou qu'il se fracasse contre le silence de Michelle Williams, Gosling, jazzman dans la vie, fait preuve de la même décontraction insolente qui caractérise les grands.
Libération
Cianfrance a habilement dosé les séductions et défauts des deux personnages pour que le spectateur ne soit jamais soulagé par l'évidente raison du basculement des sentiments, en accablant l'un ou l'autre.
Metro
Cette chronique d'un amour qui s'éteint est sublimée par deux comédiens en état de grâce, qu'on jurerait en couple à l'écran comme à la ville.
Première
Ryan Gosling et Michelle Wiliams ont fait plus que prendre possession de lieux : la façon dont ils s'abandonnent à ces personnages entre le dégout d'eux-mêmes et une envie de s'aimer encore est stupéfiante. (...) Grâce à eux, "Blue Valentine" dépasse une bonne fois pour toutes ses quelques tics un peu "Sundance" pour atteindre une majesté assez terrassante.
TéléCinéObs
Emmené par deux acteurs qui donnent tout, et même plus, le film, s'il se complaît un peu trop dans sa propre noirceur, dégage une telle vérité que c'en est parfois gênant, comme si Cianfrance regardait par un trou de serrure. Allez-y – mais pas en couple.
Chronic'art.com
Ce workshop filmé se révèle au bout du compte assez productif. D'abord parce que les acteurs, en effet, sont bons – avec un avantage très net pour Williams. Ensuite parce que le film retrouve dans la captation de la performance le sujet qui, ailleurs, échappe à son réalisme coquet.
L'Express
(...) Petit film indépendant bien joué avec de bons et jolis acteurs, le tout filmé avec sincérité, sens du romanesque et souci de réalisme intelligemment mêlés. Ça se regarde avec plaisir.
Les Inrockuptibles
On ne pourra nier l'implication et la conviction évidentes des protagonistes du film : le réalisateur, issu du documentaire, veut rendre justice à l'Amérique des classes populaires. Les acteurs principaux miment l'amour comme si leur vie en dépendait. (...) Le spectateur est censé voir l'amour s'y épuiser : il est un peu épuisé par un film aux airs de bête de compétition, catégorie émotion.
Ouest France
Une construction en multiples flashbacks évite la monotonie du déroulé alors que Ryan Gosling et Michelle Williams apportent des vibrations d'une remuante authenticité à leur composition.
Positif
Il se dégage même un charme poignant de cette chronique d'un désamour annoncé.
Télérama
Par son ambition - autopsier un couple - et par sa fougue mélancolique, c'est une tentative exaltante dans le paysage assez déserté du cinéma d'auteur américain.
Cahiers du Cinéma
Cette vision assez désespérée de l'amour trouve par éclat une vraie puissance tragique. (...) Toutefois le film pèche souvent par volonté de tout montrer, chaque détail de l'effondrement, plutôt que de laisser au spectateur le soin de remplir les béances narratives.