Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Télé 7 Jours
par Julien Barcillon
Quatre ans après l'inégal Paris, je t'aime, cette oeuvre collective, d'une cohérence artistique admirable, est une réussite totale.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Excessif
par Geoffrey Crete
Il se dégage une énergie positive et vivifiante de cette exploration amoureuse des rues new-yorkaises.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Figaroscope
par Colette Monsat, Hugo de Saint-Phalle
Cosmopolite, sophistiqué, ironique, amer ou tendre, un exercice de style séduisant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Libération
par Gilles Renault
(...) un récit plutôt svelte et parfois astucieux qui, sans chercher à fuir l'atmosphère bohème pressentie, voire redoutée recèle aussi son lot de surprises tantôt narquoises, tantôt mélancoliques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Carlos Gomez
Une foule de petites histoires ne font pas une "bonne" histoire, mais on peut se laisser séduire par quelques personnages singuliers.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Au lieu de servir de révélateur, New York agit comme un agent de texture qui donne la même consistance aux films de réalisateurs très différents. C'est d'autant plus impressionnant que certains d'entre eux sont loin d'être dépourvus de personnalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Thomas Pietrois-Chabassier
Film touristique pour amateurs d'images léchées.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Mathieu Carratier
(...) Mais le maillot jaune est français: en deux segments, l'un avec Ethan Hawke et Maggie Q, l'autre avec Robin Wright Penn et Chris Cooper, Yvan Attal est le seul à saisir cette étrange magie nocturne opérant dans les rues d'une ville où les destins basculent à chaque intersection.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Jérémie Couston
Mais surtout, ce qui place New-York devant Paris, c'est l'absence de regard touristique sur la ville. Tous les personnages habitent in the city et composent le fameux melting-pot (...). A part un optimisme un peu volontariste, la note, romantique, est bien tenue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
voir le point.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Lorenzo Codelli
Du même producteur (...) mais avec moitié moins de sketches que le boursouflé Paris je t'aime, cet autre portemanteau de la série mondialisante fait montre d'ambitions réduites.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
(...) tout indique que la franchise pourrait se terminer dans le glamour total d'un Le Mans, I Love You ou d'un Tourcoing, je t'aime.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Critikat.com
par Benoît Smith
Voilà ce que vendent les films de la série "Cities of Love ", à Paris, New York et bientôt ailleurs : les mêmes façades communément vues en cliché, des simulacres de tranches de vie en vignettes et une notion plaquée or, mais vide de sens, de ce qu'est un artiste " auteur ". Que du toc.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Avait-on besoin de onze réalisateurs internationaux, parmi lesquels Fatih Akin, Mira Nair, Yvan Attal ou Brett Ratner (!), et d'actrices plus belles les unes que les autres (...) pour nous asséner ce type de banalités touristiques ? Cela dit, au contraire de la plupart des films à sketches, souvent inégaux, celui-ci a le mérite de la constance : tout y est insignifiant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télé 7 Jours
Quatre ans après l'inégal Paris, je t'aime, cette oeuvre collective, d'une cohérence artistique admirable, est une réussite totale.
Excessif
Il se dégage une énergie positive et vivifiante de cette exploration amoureuse des rues new-yorkaises.
Le Figaroscope
Cosmopolite, sophistiqué, ironique, amer ou tendre, un exercice de style séduisant.
Libération
(...) un récit plutôt svelte et parfois astucieux qui, sans chercher à fuir l'atmosphère bohème pressentie, voire redoutée recèle aussi son lot de surprises tantôt narquoises, tantôt mélancoliques.
L'Express
Voir le site www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
Une foule de petites histoires ne font pas une "bonne" histoire, mais on peut se laisser séduire par quelques personnages singuliers.
Le Monde
Au lieu de servir de révélateur, New York agit comme un agent de texture qui donne la même consistance aux films de réalisateurs très différents. C'est d'autant plus impressionnant que certains d'entre eux sont loin d'être dépourvus de personnalité.
Les Inrockuptibles
Film touristique pour amateurs d'images léchées.
Première
(...) Mais le maillot jaune est français: en deux segments, l'un avec Ethan Hawke et Maggie Q, l'autre avec Robin Wright Penn et Chris Cooper, Yvan Attal est le seul à saisir cette étrange magie nocturne opérant dans les rues d'une ville où les destins basculent à chaque intersection.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télérama
Mais surtout, ce qui place New-York devant Paris, c'est l'absence de regard touristique sur la ville. Tous les personnages habitent in the city et composent le fameux melting-pot (...). A part un optimisme un peu volontariste, la note, romantique, est bien tenue.
Le Point
voir le point.fr
Positif
Du même producteur (...) mais avec moitié moins de sketches que le boursouflé Paris je t'aime, cet autre portemanteau de la série mondialisante fait montre d'ambitions réduites.
Cahiers du Cinéma
(...) tout indique que la franchise pourrait se terminer dans le glamour total d'un Le Mans, I Love You ou d'un Tourcoing, je t'aime.
Critikat.com
Voilà ce que vendent les films de la série "Cities of Love ", à Paris, New York et bientôt ailleurs : les mêmes façades communément vues en cliché, des simulacres de tranches de vie en vignettes et une notion plaquée or, mais vide de sens, de ce qu'est un artiste " auteur ". Que du toc.
TéléCinéObs
Avait-on besoin de onze réalisateurs internationaux, parmi lesquels Fatih Akin, Mira Nair, Yvan Attal ou Brett Ratner (!), et d'actrices plus belles les unes que les autres (...) pour nous asséner ce type de banalités touristiques ? Cela dit, au contraire de la plupart des films à sketches, souvent inégaux, celui-ci a le mérite de la constance : tout y est insignifiant.