Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Africultures.com
par Olivier Barlet
(...) un film à la fois grand-public et mobilisateur, un apport essentiel à l'apprentissage de la paix.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
L'Humanité
par Jean Roy
Le style adopté est celui de la dénonciation sans concession, celui d'un Costa-Gavras chez nous si l'on veut, visant à marteler. Il en résulte une indéniable force, une efficacité qui surprendra qui ne connaît du cinéma africain que la partie francophone.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les ressorts économiques du conflit (...) et l'indifférence du monde font la toile de fond de ce film réalisé dans l'urgence, qui surmonte à force d'énergie les obstacles soulevés par la pénurie de moyens.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
voir la critique sur www.lepoint.fr
Ouest France
par La rédaction
Une approche réaliste, limite documentaire, d'un drame de l'Afrique contemporaine.
Première
par Véronique Le Bris
(...) Boulversant Ezra (...) On aimerait que le cinéma serve à dénoncer un peu plus le phénomène et favorise chez ces "victimes" une certaine reticence.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Falila Ggbadamassi
Plus qu'une simple exposition des faits, Ezra effeuille avec une acuité singulière les aspects de ce qui est devenu un fléau africain : les enfants soldats.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
(...) Aduaka s'embourbe dans une tentative de résolution pédagogique type "Les Dossiers de l'écran" qui, si elle demeure louable dans ses intentions (...), pèse sur le projet de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
L'élégance de la mise en scène d'Aduaka ne doit pas cacher une efficacité à faire pâlir nombre de cinéastes de guerre estimés. (...) Dommage, dès lors, qu'Ezra se plie à une sorte de cahier des charges très " dossiers de l'écran " qui vient parasiter la représentation brute et viscérale de l'ère Charles Taylor.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Jerôme Salbat
Voir la critique sur www.cinelive.com
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
La Croix
par Marie-Valentine Chaudon
Ezra nous oblige à regarder ces jeunes vies sacrifiées à l'absurdité de la guerre et au destin désormais insoluble. Un réquisitoire puissant (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par La rédaction
Un film poignant, sans concession, qui a la force du document.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Positif
par Eric Derobert
Si le film est parfois malhabile dans le maniement de flash-back (...), le propos convainc par la nuance de ses analyses.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur http://www.studiomag.com/
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Gueran
(...) le film ébauche une amorce de réflexion intéressante (...) mais n'atteint que très partiellement son objectif : trop d'idées brassées, aucune n'étant traitée à fond.
Télérama
par Cécile Mury
La violence, abrupte, parfois insoutenable, invite ici à une réflexion sur la contagion du mal, la difficulté de se reconstruire. Pas de pathos ou de démonstration simpliste (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Africultures.com
(...) un film à la fois grand-public et mobilisateur, un apport essentiel à l'apprentissage de la paix.
L'Humanité
Le style adopté est celui de la dénonciation sans concession, celui d'un Costa-Gavras chez nous si l'on veut, visant à marteler. Il en résulte une indéniable force, une efficacité qui surprendra qui ne connaît du cinéma africain que la partie francophone.
Le Monde
Les ressorts économiques du conflit (...) et l'indifférence du monde font la toile de fond de ce film réalisé dans l'urgence, qui surmonte à force d'énergie les obstacles soulevés par la pénurie de moyens.
Le Point
voir la critique sur www.lepoint.fr
Ouest France
Une approche réaliste, limite documentaire, d'un drame de l'Afrique contemporaine.
Première
(...) Boulversant Ezra (...) On aimerait que le cinéma serve à dénoncer un peu plus le phénomène et favorise chez ces "victimes" une certaine reticence.
aVoir-aLire.com
Plus qu'une simple exposition des faits, Ezra effeuille avec une acuité singulière les aspects de ce qui est devenu un fléau africain : les enfants soldats.
Cahiers du Cinéma
(...) Aduaka s'embourbe dans une tentative de résolution pédagogique type "Les Dossiers de l'écran" qui, si elle demeure louable dans ses intentions (...), pèse sur le projet de cinéma.
Chronic'art.com
L'élégance de la mise en scène d'Aduaka ne doit pas cacher une efficacité à faire pâlir nombre de cinéastes de guerre estimés. (...) Dommage, dès lors, qu'Ezra se plie à une sorte de cahier des charges très " dossiers de l'écran " qui vient parasiter la représentation brute et viscérale de l'ère Charles Taylor.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.com
La Croix
Ezra nous oblige à regarder ces jeunes vies sacrifiées à l'absurdité de la guerre et au destin désormais insoluble. Un réquisitoire puissant (...).
Le Figaroscope
Un film poignant, sans concession, qui a la force du document.
Positif
Si le film est parfois malhabile dans le maniement de flash-back (...), le propos convainc par la nuance de ses analyses.
Studio Magazine
Voir la critique sur http://www.studiomag.com/
TéléCinéObs
(...) le film ébauche une amorce de réflexion intéressante (...) mais n'atteint que très partiellement son objectif : trop d'idées brassées, aucune n'étant traitée à fond.
Télérama
La violence, abrupte, parfois insoutenable, invite ici à une réflexion sur la contagion du mal, la difficulté de se reconstruire. Pas de pathos ou de démonstration simpliste (...)