Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Le Figaroscope
par Dominique Borde
Si le problème est sérieux, le ton est léger et l'issue, assez prévisible. Et malgré plusieurs maladresses, le divertissement est plutôt pertinent et agréable.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une aimable comédie romantique, puisant son charme dans un duo de comédiens toniques et des dialogues percutants.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Pascale Bodet
48 heures par jour est une comédie française tout ce qu'il y a de plus français. Des acteurs connus, un problème de société, une dose très contrôlée de drôlerie, une dose très contenue de méchanceté, une aptitude à écrire des répliques du type " Je pleure depuis vingt minutes, je ressemble à un lapin atteint de myxomatose".
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.com
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
(...) une comédie pleine de clichés, sans surprises et pas très bien réalisée.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-Luc Douin
A partir d'un constat hélas indiscutable, Catherine Castel tente de faire rire et réfléchir, mais accumule les clichés (...). Elle succombe surtout au péché de nombre de films prétendus féministes qui s'avèrent portraits à charge misogyne
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Franz Miceli
Aure Atika (...) et Catherine Jacob (...) tentent de sauver les meubles (...). Pour le reste, la trame de 48 heures par jour s'essouffle passées les dix premières minutes et le spectateur peine à ne pas regarder autre chose que sa montre.
Ouest France
par La rédaction
Sur un scénario hautement improbable, elle [Catherine Castel] greffe quelques gags essoufflés et des dialogues attendus que les protagonistes peinent à revivifier et à rafraîchir.
Première
par Isabelle Danel
48 heures est une "comédie du remariage" comme les Américains savent si bien les faire dans les années 50 (...) la forme en revanche laisse à désirer (...) le scénario sonne à la fois juste et cliché.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par La rédaction
Une affligeante comédie du remariage qui enfile les clichés sur la vie de couple et les gags ultra-prévisibles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par La rédaction
Cette comédie cousue de fil blanc donne l'impression de durer 48 heures.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Brazil
par Eric Coubard
48 heures par jour suinte l'ennui profond. Si Catherine Castel pouvait retourner hiberner quarante ans, cela nous ferait de vraies vacances.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le Parisien
par Hubert Lizé
Catherine Castel signe une première comédie (...) qui navigue entre clichés et banalités. Les situations potentiellement cocasses tombent à plat.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Vincent Thabourey
Quarante-huit heures par jour aurait fait une bonne première partie de soirée pour les défunts Dossiers de l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur http://www.studiomag.com/
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Gueran
Mais quelle que puisse être la justesse de son propos, la mise en scène l'anéantit. Les acteurs semblent otages de leurs répliques (...) Antoine de Caunes ne fait même pas semblant d'y croire.
Le Figaroscope
Si le problème est sérieux, le ton est léger et l'issue, assez prévisible. Et malgré plusieurs maladresses, le divertissement est plutôt pertinent et agréable.
aVoir-aLire.com
Une aimable comédie romantique, puisant son charme dans un duo de comédiens toniques et des dialogues percutants.
Chronic'art.com
48 heures par jour est une comédie française tout ce qu'il y a de plus français. Des acteurs connus, un problème de société, une dose très contrôlée de drôlerie, une dose très contenue de méchanceté, une aptitude à écrire des répliques du type " Je pleure depuis vingt minutes, je ressemble à un lapin atteint de myxomatose".
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.com
Le Journal du Dimanche
(...) une comédie pleine de clichés, sans surprises et pas très bien réalisée.
Le Monde
A partir d'un constat hélas indiscutable, Catherine Castel tente de faire rire et réfléchir, mais accumule les clichés (...). Elle succombe surtout au péché de nombre de films prétendus féministes qui s'avèrent portraits à charge misogyne
MCinéma.com
Aure Atika (...) et Catherine Jacob (...) tentent de sauver les meubles (...). Pour le reste, la trame de 48 heures par jour s'essouffle passées les dix premières minutes et le spectateur peine à ne pas regarder autre chose que sa montre.
Ouest France
Sur un scénario hautement improbable, elle [Catherine Castel] greffe quelques gags essoufflés et des dialogues attendus que les protagonistes peinent à revivifier et à rafraîchir.
Première
48 heures est une "comédie du remariage" comme les Américains savent si bien les faire dans les années 50 (...) la forme en revanche laisse à désirer (...) le scénario sonne à la fois juste et cliché.
Télérama
Une affligeante comédie du remariage qui enfile les clichés sur la vie de couple et les gags ultra-prévisibles.
20 Minutes
Cette comédie cousue de fil blanc donne l'impression de durer 48 heures.
Brazil
48 heures par jour suinte l'ennui profond. Si Catherine Castel pouvait retourner hiberner quarante ans, cela nous ferait de vraies vacances.
Le Parisien
Catherine Castel signe une première comédie (...) qui navigue entre clichés et banalités. Les situations potentiellement cocasses tombent à plat.
Positif
Quarante-huit heures par jour aurait fait une bonne première partie de soirée pour les défunts Dossiers de l'écran.
Studio Magazine
Voir la critique sur http://www.studiomag.com/
TéléCinéObs
Mais quelle que puisse être la justesse de son propos, la mise en scène l'anéantit. Les acteurs semblent otages de leurs répliques (...) Antoine de Caunes ne fait même pas semblant d'y croire.