Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le film trouve la formule de sa puissance autant qu'il échappe à sa possible stigmatisation comme exercice gratuit de folklore nihiliste et provocateur.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Toute la beauté noire de Family portraits réside dans ce fait d'accepter la dégénérescence et d'y survivre.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Mad Movies
par Jean-Baptiste Herment
(...) Family portaits est une vraie oeuvre naturaliste et contemplative. Porté par des acteurs inconnus mais incroyables, le film s'ancre avec une aisance redoutable dans une réalité bien palpable, la nôtre.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Paris Match
par Christine Haas
(...) ces songes sanglants se frayent un chemin insidieux jusqu'à nos cerveaux (...) et imposent un nouveau cinéaste de la souffrance.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gérard Delorme
Il y a dans ces premiers films une puisssance romanesque et picturale digne des grands auteurs régionalistes américains.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Douglas Buck crée un climat de désespoir muet plus évocateur du travail de Bergman que de l'univers de Lynch. Un auteur est né.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Le film possède de cette matière dont sont faits les plus beaux cauchemars : plus on y repense, plus il prend de la valeur. La beauté et l'émotion nullement artificielles qui émanent de ces plans douloureux emplis de haine, de refoulement et de perversité touchent comme un crève-coeur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Entre le premier, irregardable à cause de l'intensité et la complaisance de sa violence, et le troisième, exceptionnel de justesse, cinq ans se sont écoulés. L'évolution de la mise en scène de Douglas Buck est saisissante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
C'est un peu un coup du lapin cinématographique, une attaque inattendue contre vos sens, et pourtant pas tout à fait gratuite. C'est au moins une curiosité et peut-être les prémices d'un parcours de cinéaste hors norme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Alexis Bernier
Illustrant plutôt l'american way of life cafardeux et désabusé des années Vietnam-Watergate que les souffrances contemporaines. D'où le côté un peu vain de cette entreprise par ailleurs sans équivalent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Arnaud Lefranc
Douglas Buck nous invite à partager une expérience cinématographique, en trois chapitres, dérangeante et étouffante, voire traumatisante. Le réalisateur nous impose une vision franchement cauchemardesque de la famille et de ses contemporains.
L'Ecran Fantastique
par Emmanuel Denis
Un père de famille pédophile, un homme obsédé par la rigueur morale et une jeune femme mutilée par un serial-killer. Tels sont les trois personnages centraux de cette "trilogie américaine", tryptique ambitieux, mais la forme comme le contenu ne s'avèrent pas à la hauteur.
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Family portraits
Des trois films, c'est le premier, le moins achevé, le moins professionnel, qui frappe le plus (...) La suite, hélas, vire au système, et les récits eux-mêmes sont assez faibles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
(...) une succession de constats brutaux peu propices à ouvrir des pistes de réflexion sur la violence et les frustations sexuelles de la société américaine.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
Le film trouve la formule de sa puissance autant qu'il échappe à sa possible stigmatisation comme exercice gratuit de folklore nihiliste et provocateur.
Chronic'art.com
Toute la beauté noire de Family portraits réside dans ce fait d'accepter la dégénérescence et d'y survivre.
Mad Movies
(...) Family portaits est une vraie oeuvre naturaliste et contemplative. Porté par des acteurs inconnus mais incroyables, le film s'ancre avec une aisance redoutable dans une réalité bien palpable, la nôtre.
Paris Match
(...) ces songes sanglants se frayent un chemin insidieux jusqu'à nos cerveaux (...) et imposent un nouveau cinéaste de la souffrance.
Première
Il y a dans ces premiers films une puisssance romanesque et picturale digne des grands auteurs régionalistes américains.
TéléCinéObs
Douglas Buck crée un climat de désespoir muet plus évocateur du travail de Bergman que de l'univers de Lynch. Un auteur est né.
aVoir-aLire.com
Le film possède de cette matière dont sont faits les plus beaux cauchemars : plus on y repense, plus il prend de la valeur. La beauté et l'émotion nullement artificielles qui émanent de ces plans douloureux emplis de haine, de refoulement et de perversité touchent comme un crève-coeur.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Journal du Dimanche
Entre le premier, irregardable à cause de l'intensité et la complaisance de sa violence, et le troisième, exceptionnel de justesse, cinq ans se sont écoulés. L'évolution de la mise en scène de Douglas Buck est saisissante.
Le Monde
C'est un peu un coup du lapin cinématographique, une attaque inattendue contre vos sens, et pourtant pas tout à fait gratuite. C'est au moins une curiosité et peut-être les prémices d'un parcours de cinéaste hors norme.
Libération
Illustrant plutôt l'american way of life cafardeux et désabusé des années Vietnam-Watergate que les souffrances contemporaines. D'où le côté un peu vain de cette entreprise par ailleurs sans équivalent.
MCinéma.com
Douglas Buck nous invite à partager une expérience cinématographique, en trois chapitres, dérangeante et étouffante, voire traumatisante. Le réalisateur nous impose une vision franchement cauchemardesque de la famille et de ses contemporains.
L'Ecran Fantastique
Un père de famille pédophile, un homme obsédé par la rigueur morale et une jeune femme mutilée par un serial-killer. Tels sont les trois personnages centraux de cette "trilogie américaine", tryptique ambitieux, mais la forme comme le contenu ne s'avèrent pas à la hauteur.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Des trois films, c'est le premier, le moins achevé, le moins professionnel, qui frappe le plus (...) La suite, hélas, vire au système, et les récits eux-mêmes sont assez faibles.
Les Inrockuptibles
(...) une succession de constats brutaux peu propices à ouvrir des pistes de réflexion sur la violence et les frustations sexuelles de la société américaine.