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20 critiques presse
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Still Life pointe avec tact et subtilité les affres d'une mondialisation galopante de ce côté-là aussi de la planète.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Burdeau
Still Life propose (...) le résumé génialement simple de ce que nous cherchons sans cesse à dire (...) : jusqu'à présent le numérique n'a pas servi à faire le cinéma d'un monde nouveau, mais celui d'un (...) adieu interminable adressé à l'ancien. (...) Une fois de plus le cinéaste chinois se retrouve donc à la pointe du cinéma (...)
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Elle
par Michel Palmièri
Nostalgique, réaliste et majestueux, Still Life tient tout à la fois du documentaire, de l'essai philosophique sur l'inutile recherche du temps perdu et du poème visuel.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Emile Breton
(...) la force de ce film exceptionnel (...) c'est qu'il porte sur les hommes le même regard clair, celui du peintre qui sait comment il va mettre en place ce que lui offre la nature.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Still Life n'est pas pour autant une chronique à charge sur le changement. Toute sa force tient au contraire dans son ambiguïté, qui prend esthétiquement le parti de cette métamorphose pour à la fois en célébrer l'élan, en observer les beautés, en stigmatiser l'inhumanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) tout simplement le plus beau film de 2007 jusqu'à présent.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Franck Kausch
Jia Zhangke se révèle aussi subtil dans la peinture des sentiments que puissant dans l'évocation d'une société en crise.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier De Bruyn
Sur le fond comme sur la forme, Still Life témoigne, au détour de chaque scène, d'une inspiration unique.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Philippe Piazzo
Plus que ces deux histoires qui s`entrecroisent, c'est la vie qui résiste qui est le seul sujet du film et nous éblouit.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Jia a dit et compris depuis longtemps que le monde, et la Chine en particulier, était chantier (cf. Platform), était terra incognita aussi absolument réel qu'absolument irréel (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
A trois reprises dans le film, un événement extraordinaire se produit, rendu possible par un de ces effets que l'on s'obstine à dire spéciaux quand ils sont devenus l'ordinaire d'un certain cinéma. Trois fulgurances, trois instants de poésie pure (...)
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Dès les premiers plans, de toute beauté, le ton est donné : panoramique, pictural, poétique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Didier Péron
(...) Still life relève à la fois du tract de protestation politique (...) et d'une méditation lumineuse sur le devenir et la persévérance.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Structuré par des séquences muettes et privilégiant souvent un angle documentaire, STILL LIFE fascine par son mélange de fiction et de réalité, toutes deux désabusées. Même si l'on peut regretter quelques longueurs, certaines scènes (...) valent le détour.
Ouest France
par La rédaction
Un Lion d'Or au dernier festival de Venise est venu saluer cette nouvelle production chinoise sobre, remuante et douloureuse, aux antipodes du cinéma très décoratif et séducteur d'un Chen Kaige ou d'un Zhang Yimou.
Paris Match
par Alain Spira
Ce film puissant, captivant, s'appuie sur les épaules solides de son acteur principal (...) La chine n'est peut être pas encore tout à fait éveillée, mais son cinéma, lui, l'est.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Nicolas Bauche
Sans scénario clairement établi, le réalisateur s'est lancé dans une entreprise de néoréalisme qui fait écho aux dernières réalisations de ses compatriotes (...) Un parti pris des choses poétique qui arrime l'âme alors que tout se dilue dans les eaux du Yangsté.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Score
par Alex Masson
Il y a soixante ans, Rossellini filmait Rome ville ouverte ; avec le même sens du néoréalisme, Ke filme une Chine qui se ferme.
La critique complète est disponible sur le site Score
20 Minutes
Still Life pointe avec tact et subtilité les affres d'une mondialisation galopante de ce côté-là aussi de la planète.
Cahiers du Cinéma
Still Life propose (...) le résumé génialement simple de ce que nous cherchons sans cesse à dire (...) : jusqu'à présent le numérique n'a pas servi à faire le cinéma d'un monde nouveau, mais celui d'un (...) adieu interminable adressé à l'ancien. (...) Une fois de plus le cinéaste chinois se retrouve donc à la pointe du cinéma (...)
Elle
Nostalgique, réaliste et majestueux, Still Life tient tout à la fois du documentaire, de l'essai philosophique sur l'inutile recherche du temps perdu et du poème visuel.
L'Humanité
(...) la force de ce film exceptionnel (...) c'est qu'il porte sur les hommes le même regard clair, celui du peintre qui sait comment il va mettre en place ce que lui offre la nature.
Le Monde
Still Life n'est pas pour autant une chronique à charge sur le changement. Toute sa force tient au contraire dans son ambiguïté, qui prend esthétiquement le parti de cette métamorphose pour à la fois en célébrer l'élan, en observer les beautés, en stigmatiser l'inhumanité.
Les Inrockuptibles
(...) tout simplement le plus beau film de 2007 jusqu'à présent.
Positif
Jia Zhangke se révèle aussi subtil dans la peinture des sentiments que puissant dans l'évocation d'une société en crise.
Première
Sur le fond comme sur la forme, Still Life témoigne, au détour de chaque scène, d'une inspiration unique.
TéléCinéObs
Plus que ces deux histoires qui s`entrecroisent, c'est la vie qui résiste qui est le seul sujet du film et nous éblouit.
Chronic'art.com
Jia a dit et compris depuis longtemps que le monde, et la Chine en particulier, était chantier (cf. Platform), était terra incognita aussi absolument réel qu'absolument irréel (...)
L'Obs
A trois reprises dans le film, un événement extraordinaire se produit, rendu possible par un de ces effets que l'on s'obstine à dire spéciaux quand ils sont devenus l'ordinaire d'un certain cinéma. Trois fulgurances, trois instants de poésie pure (...)
Le Journal du Dimanche
Dès les premiers plans, de toute beauté, le ton est donné : panoramique, pictural, poétique.
Libération
(...) Still life relève à la fois du tract de protestation politique (...) et d'une méditation lumineuse sur le devenir et la persévérance.
MCinéma.com
Structuré par des séquences muettes et privilégiant souvent un angle documentaire, STILL LIFE fascine par son mélange de fiction et de réalité, toutes deux désabusées. Même si l'on peut regretter quelques longueurs, certaines scènes (...) valent le détour.
Ouest France
Un Lion d'Or au dernier festival de Venise est venu saluer cette nouvelle production chinoise sobre, remuante et douloureuse, aux antipodes du cinéma très décoratif et séducteur d'un Chen Kaige ou d'un Zhang Yimou.
Paris Match
Ce film puissant, captivant, s'appuie sur les épaules solides de son acteur principal (...) La chine n'est peut être pas encore tout à fait éveillée, mais son cinéma, lui, l'est.
aVoir-aLire.com
Sans scénario clairement établi, le réalisateur s'est lancé dans une entreprise de néoréalisme qui fait écho aux dernières réalisations de ses compatriotes (...) Un parti pris des choses poétique qui arrime l'âme alors que tout se dilue dans les eaux du Yangsté.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Score
Il y a soixante ans, Rossellini filmait Rome ville ouverte ; avec le même sens du néoréalisme, Ke filme une Chine qui se ferme.