Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Cyril Neyrat
"Paranoïd Park" ne serait ni un film de transition, ni un supplément gratuit à la trilogie, mais le dernier moment, l'apothéose d'une tétralogie. (...) La ruse géniale de Van Sant est d'avoir choisi pour franchir le dernier pas le terrain le plus éthique qui soit, celui du crime, de la culpabilité, de la responsabilité individuelle.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Monde
par Isabelle Régnier
(...) cette adaptation du roman de Blake Nelson est nimbée de paysages sonores magnifiques (...) Porté par la caméra lyrique de Christopher Doyle, le talentueux chef opérateur de Wong Kar-waï, le film glisse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
A chaque temps décisif du film (...) la bande sonore commente et courbe l'image. (...) Van Sant filme un étau déserré, où la culpabilité sa fait plus lâche, parce que toute forme d'ordre défaille et tous les liens sont détissés.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Florence Santrot
L'histoire est portée par une mise en scène magistrale. Le travail de l'image est tout particulièrement réussi, avec de fugasses [fugaces] effets de saturation. Un travail de maître.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Olivier de Bruyn
Spectacle poétique et cérébral. Spectacle fascinant...
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
Le sujet du film n'est pas la culpabilité du héros, mais sa distance au monde réel. Ce déplacement fait de "Paranoid Park" un film vertigineux, sous ses dehors cool et planants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
(...) le nouvel opus du prodige ne fait pas dans le rabâchage de formules superflues. C'est une merveille de concision toute entière tenue par la croyance dans ce qu'il raconte. Une méditation élégiaque.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
(...) beau film, prometteur, pas une pièce maîtresse, mais un champ de détails, une chambre d'écho et de minutie travaillée par de pures questions de forme. Les seules qui comptent, après tout.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elle
par Anne Diatkine
Un film bref, qui hante longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Jean Roy
Aux sinuosités circulaires de la piste de skate, aux envols qu'elle provoque dans les pentes, il emprunte le mouvement de ce film aérien, comme en apesanteur. De même, la narration fragmentée invite le spectateur à reconstituer l'intrigue plus qu'elle ne la lui donne.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Entrelaçant des images en super 8 et en 35 mm signées Christopher Doyle (...) "Paranoid Park" imprègne aussi par la richesse de sa bande-son.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Philippe Azoury
Le film, tout au long de sa construction explosée (...), va étudier le cas Alex : comment un gosse peut plier sous le poids de quelque chose ou faire face. Comme son personnage, torturé, insouciant, éternellement jeune, donc innocent, Van Sant skate où il veut.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
Gus Van Sant a la caméra sophistiquée, il soigne le grain de son image comme pour naviguer entre documentaire et fiction dans un récit à ellipses.
Positif
par Fabien Baumann
(...) "Paranoid Park" emprunte un chemin inverse d'"Elephant" et offre une expérience de cinéma différente (...) "Paranoid Park" se tient cependant loin du schéma faute-mortification-rédemption de tant d'estimables films moraux.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
par Renaud Baronian et Pierre Vavasseur
Gus Van Sant réussit à entretenir le trouble le plus longtemps possible autour de la personnalité de l'ado, Gabe Nevins, remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Une narration éclatée (...) via une répétition incessante de scènes (...) Cette valse est sans conteste le point fort du film(...) Il ne ressort toutefois aucune poésie ou malaise du film (...)
Studio Magazine
par Béatrice Toulon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Si le film n'était pas de Gus Van Sant, on dirait qu'il s'agit d'un documentaire plutôt réussi et d'une fiction plutôt ratée.
Cahiers du Cinéma
"Paranoïd Park" ne serait ni un film de transition, ni un supplément gratuit à la trilogie, mais le dernier moment, l'apothéose d'une tétralogie. (...) La ruse géniale de Van Sant est d'avoir choisi pour franchir le dernier pas le terrain le plus éthique qui soit, celui du crime, de la culpabilité, de la responsabilité individuelle.
Le Monde
(...) cette adaptation du roman de Blake Nelson est nimbée de paysages sonores magnifiques (...) Porté par la caméra lyrique de Christopher Doyle, le talentueux chef opérateur de Wong Kar-waï, le film glisse.
Les Inrockuptibles
A chaque temps décisif du film (...) la bande sonore commente et courbe l'image. (...) Van Sant filme un étau déserré, où la culpabilité sa fait plus lâche, parce que toute forme d'ordre défaille et tous les liens sont détissés.
Metro
L'histoire est portée par une mise en scène magistrale. Le travail de l'image est tout particulièrement réussi, avec de fugasses [fugaces] effets de saturation. Un travail de maître.
Première
Spectacle poétique et cérébral. Spectacle fascinant...
Télérama
Le sujet du film n'est pas la culpabilité du héros, mais sa distance au monde réel. Ce déplacement fait de "Paranoid Park" un film vertigineux, sous ses dehors cool et planants.
aVoir-aLire.com
(...) le nouvel opus du prodige ne fait pas dans le rabâchage de formules superflues. C'est une merveille de concision toute entière tenue par la croyance dans ce qu'il raconte. Une méditation élégiaque.
Chronic'art.com
(...) beau film, prometteur, pas une pièce maîtresse, mais un champ de détails, une chambre d'écho et de minutie travaillée par de pures questions de forme. Les seules qui comptent, après tout.
Elle
Un film bref, qui hante longtemps.
L'Humanité
Aux sinuosités circulaires de la piste de skate, aux envols qu'elle provoque dans les pentes, il emprunte le mouvement de ce film aérien, comme en apesanteur. De même, la narration fragmentée invite le spectateur à reconstituer l'intrigue plus qu'elle ne la lui donne.
Le Journal du Dimanche
Entrelaçant des images en super 8 et en 35 mm signées Christopher Doyle (...) "Paranoid Park" imprègne aussi par la richesse de sa bande-son.
Libération
Le film, tout au long de sa construction explosée (...), va étudier le cas Alex : comment un gosse peut plier sous le poids de quelque chose ou faire face. Comme son personnage, torturé, insouciant, éternellement jeune, donc innocent, Van Sant skate où il veut.
Ouest France
Gus Van Sant a la caméra sophistiquée, il soigne le grain de son image comme pour naviguer entre documentaire et fiction dans un récit à ellipses.
Positif
(...) "Paranoid Park" emprunte un chemin inverse d'"Elephant" et offre une expérience de cinéma différente (...) "Paranoid Park" se tient cependant loin du schéma faute-mortification-rédemption de tant d'estimables films moraux.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Gus Van Sant réussit à entretenir le trouble le plus longtemps possible autour de la personnalité de l'ado, Gabe Nevins, remarquable.
MCinéma.com
Une narration éclatée (...) via une répétition incessante de scènes (...) Cette valse est sans conteste le point fort du film(...) Il ne ressort toutefois aucune poésie ou malaise du film (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Si le film n'était pas de Gus Van Sant, on dirait qu'il s'agit d'un documentaire plutôt réussi et d'une fiction plutôt ratée.