Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
(...) l'éblouissement est toujours nouveau, un même enchantement s'élève toujours : douceur des surprises, tranquille soleil.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) qui fait de Weerasethakul, cinéaste plasticien, un parent asiatique de David Lynch, un de ces artistes pour lesquels l'art du film consiste moins à projecter une histoire sur un écran qu'à transformer la toile en plaque sensible et le regard de chaque spectateur en solution expérimentale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
"Syndromes and a Century" est un film fragile, sensible, sibyllin, et magnifique tout à la fois (...) Voici un cinéma formidable, sans pareil, sensuel, incroyable, jusque dans son mystère.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
Traditionnel et futuriste, introspectif et politique, Syndromes and a Century marche vers l'avenir. On attend impatiemment la suite (...)
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Point
par Florence Colombani
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Philippe Azoury
Syndromes... ressemble à une drôle de maladie d'amour, mélancolique et cocasse. Mais c'est quand il est absolument sublime qu'il nous apprend à quel point il peut aussi être abominablement terrorisant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Un film qui se vit et se ressent plus qu'il ne se regarde. Et tant pis si le récit et ses réflexions inhérentes sur l'amour ou le temps qui passe paraissent parfois éthérés. C'est là toute la force de son cinéma : tordre le cou à la normalité et embarquer le spectateur sur les chemins sinueux d'une insaisissable expérience sensorielle.
Positif
par Vincent Thabourey
(...) touchant marivaudage, empreint d'humour et de malice (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Score
par Alex Masson
C'est (...) à condition de se laisser perdre dans cet univers déboussolant qu'on pourra ressentir la beauté de ce cinéma purement sensoriel, cousin de celui de Lynch, en plus lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Un diptyque ambitieux et pertinent sur les méandres et les symptômes du sentiment amoureux.
Télérama
par Louis Guichard
La beauté du film, très lacunaire mais nullement obscur, réconcilie (...) deux vocations a priori contraires du cinéma : la création d'un monde à soi et l'enregistrement du monde alentour.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Nicolas Bauche
Les lieux, les époques déclinent un scénario aussi épais qu'une feuille de cigarette mais dont la fascination berce le regard. Ce sont ses travellings latéraux balayant un parc à la beauté intemporelle, cette image d'une bouche d'aération fumante ou ce sentiment que, même si on y panne que dalle, un grand film est devant nos yeux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) film, composé d'incongruités (...) et de plans contemplatifs de nature, dont Weerasethakul s'est fait une spécialité. Mais le cinéaste se fait aussi parfois purement formaliste (...) Un film qui lave les yeux.
Première
par Didier Roth-Bettoni
Epuré, intime, obsessionnel, symbolique, magique, luxuriant, retenu, Syndrome and a Century rest un (beau) mystère bien après qu'on a quitté la salle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
(...) l'éblouissement est toujours nouveau, un même enchantement s'élève toujours : douceur des surprises, tranquille soleil.
Le Monde
(...) qui fait de Weerasethakul, cinéaste plasticien, un parent asiatique de David Lynch, un de ces artistes pour lesquels l'art du film consiste moins à projecter une histoire sur un écran qu'à transformer la toile en plaque sensible et le regard de chaque spectateur en solution expérimentale.
Les Inrockuptibles
"Syndromes and a Century" est un film fragile, sensible, sibyllin, et magnifique tout à la fois (...) Voici un cinéma formidable, sans pareil, sensuel, incroyable, jusque dans son mystère.
Cahiers du Cinéma
Traditionnel et futuriste, introspectif et politique, Syndromes and a Century marche vers l'avenir. On attend impatiemment la suite (...)
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Syndromes... ressemble à une drôle de maladie d'amour, mélancolique et cocasse. Mais c'est quand il est absolument sublime qu'il nous apprend à quel point il peut aussi être abominablement terrorisant.
MCinéma.com
Un film qui se vit et se ressent plus qu'il ne se regarde. Et tant pis si le récit et ses réflexions inhérentes sur l'amour ou le temps qui passe paraissent parfois éthérés. C'est là toute la force de son cinéma : tordre le cou à la normalité et embarquer le spectateur sur les chemins sinueux d'une insaisissable expérience sensorielle.
Positif
(...) touchant marivaudage, empreint d'humour et de malice (...)
Score
C'est (...) à condition de se laisser perdre dans cet univers déboussolant qu'on pourra ressentir la beauté de ce cinéma purement sensoriel, cousin de celui de Lynch, en plus lumineux.
TéléCinéObs
Un diptyque ambitieux et pertinent sur les méandres et les symptômes du sentiment amoureux.
Télérama
La beauté du film, très lacunaire mais nullement obscur, réconcilie (...) deux vocations a priori contraires du cinéma : la création d'un monde à soi et l'enregistrement du monde alentour.
aVoir-aLire.com
Les lieux, les époques déclinent un scénario aussi épais qu'une feuille de cigarette mais dont la fascination berce le regard. Ce sont ses travellings latéraux balayant un parc à la beauté intemporelle, cette image d'une bouche d'aération fumante ou ce sentiment que, même si on y panne que dalle, un grand film est devant nos yeux.
L'Humanité
(...) film, composé d'incongruités (...) et de plans contemplatifs de nature, dont Weerasethakul s'est fait une spécialité. Mais le cinéaste se fait aussi parfois purement formaliste (...) Un film qui lave les yeux.
Première
Epuré, intime, obsessionnel, symbolique, magique, luxuriant, retenu, Syndrome and a Century rest un (beau) mystère bien après qu'on a quitté la salle.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr