Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
L'ambition dialectique du cinéma de Nadjari, que cela soit en France ou ailleurs, est suffisamment rare pour être saluée avec admiration.
La critique complète est disponible sur le site Positif
20 Minutes
par La rédaction
(...) une passionnante étude de caractères.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Machine modeste mais à moteur de précision.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Humanité
par Michèle Levieux et Michaël Mélinard
Avec Tehilim, Raphaël Nadjari continue de poser la question du caractère essentiel du cinéma quant à la quête d'identité d'un homme fragile.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
A la modestie des moyens mis en oeuvre répond l'ambition d'un jeune cinéaste exigeant (...) Le cinéma de Nadjari, c'est sa grande force, est toujours vivant, toujours en mouvement, toujours surprenant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Raphaël Nadjari signe un film sensible et subtil (...)
Le Monde
par Thomas Sotinel
Il y a là beaucoup de justesse dans l'observation et aussi une espèce de froideur, accentuée par l'image numérique (...) Un film à la fois exigeant et accueillant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
La beauté de "Tehilim" vient d'[une] fragilité, d'[une] modestie, d'[une] façon de faire affleurer quelques grandes questions en partant du prosaïsme le plus simple, le plus sensible, le plus quotidien.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Séguret
Bien qu'intensément baigné dans le fait religieux, jamais le film ne prétend au mysticisme. Il enregistre les données réalistes d'une société israélienne où le phénomène religieux occupe tout l'espace, jusqu'à en dévorer l'oxygène.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Olivier de Bruyn
La finesse du cinéaste, sensible partout (script elliptique, mise en scène privilégiant la suggestion et le hors-champ...) ne se donne jamais à voir et on l'en remercie. Tehelim [impose] son atmosphère envoûtante, sa pudeur déchirante et son secret vital.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
(...) Raphaël Nadjari questionne sans juger la société israélienne dans sa complexité et son ambiguïté (...) et confirme l'acuité de son regard à travers une mise en scène à la fois proche et distante (...)
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Nicolas Bauche
Un drame comme une caresse : Tehilim a beau avoir la noirceur de la disparition, le film de Raphael Nadjari a le pixel frais, comme mouillé grâce à la DV (...) Les recoupements du religieux et de l'intime sont ainsi la matrice de ce film subtil.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Elle
par Héléna Villovitch
Une fable initiatique dans l'Israël d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Paris Match
par Alain Spira
Ce film au rythme inégal repose sur les frêles épaules de deux jeunes acteurs principaux qui forment une fratrie très émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Score
par Alex Masson
La mise en scène (...) de Nadjari (...) gagne en ampleur. Quand ses précédents longs s'essayaient à un cinéma-vérité instructif, proche de Cassavetes, Tehilim, lui, voisine avec une épure à la Antonioni (...)
La critique complète est disponible sur le site Score
Télérama
par Jacques Morice
Tehilim est une quête confuse de sens et de sacré. Quête aride, il faut le dire, à l'unisson d'une mise en scène asphyxiante. Nulle psychologie, aucun comportement attendu, de peine ou de soutien, mais l'opposition entre une agitation constante (...) et le recueillement des rituels juifs (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Une méditation qui peine à capter notre attention.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) c'est un sujet magnifique... tué dans l'oeuf par ce miroir sans alouettes qu'est le cinéma du réel.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Malgré la justesse de l'interprétation, notamment celle des deux enfants, et le soin apporté à la réalisation et en particulier au cadrage (...) on peine à s'intéresser à cette famille et à compatir à son malheur. L'ennui finit même par gagner progressivement.
Metro
par Jérôme Vermelin
La chronique est juste, les jeunes comédiens convaincants, mais on ne peut s'empêcher de pousser un ou deux bâillements devant une oeuvre très conventionnelle sur la forme.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
(...) la raideur fière de la réalisation contredit en permanence ce que le sujet appelle d'attentisme fébrile et de puissance d'écoute.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ouest France
par La rédaction
[Raphaël Nadjari] se perd ici dans une non-mise en scène de considérations appuyées sur le poids et le sens de la religion (...), dans une déclinaison qui n'a rien de cinématographique.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Positif
L'ambition dialectique du cinéma de Nadjari, que cela soit en France ou ailleurs, est suffisamment rare pour être saluée avec admiration.
20 Minutes
(...) une passionnante étude de caractères.
Cahiers du Cinéma
Machine modeste mais à moteur de précision.
L'Humanité
Avec Tehilim, Raphaël Nadjari continue de poser la question du caractère essentiel du cinéma quant à la quête d'identité d'un homme fragile.
L'Obs
A la modestie des moyens mis en oeuvre répond l'ambition d'un jeune cinéaste exigeant (...) Le cinéma de Nadjari, c'est sa grande force, est toujours vivant, toujours en mouvement, toujours surprenant.
Le Figaroscope
Raphaël Nadjari signe un film sensible et subtil (...)
Le Monde
Il y a là beaucoup de justesse dans l'observation et aussi une espèce de froideur, accentuée par l'image numérique (...) Un film à la fois exigeant et accueillant.
Les Inrockuptibles
La beauté de "Tehilim" vient d'[une] fragilité, d'[une] modestie, d'[une] façon de faire affleurer quelques grandes questions en partant du prosaïsme le plus simple, le plus sensible, le plus quotidien.
Libération
Bien qu'intensément baigné dans le fait religieux, jamais le film ne prétend au mysticisme. Il enregistre les données réalistes d'une société israélienne où le phénomène religieux occupe tout l'espace, jusqu'à en dévorer l'oxygène.
Première
La finesse du cinéaste, sensible partout (script elliptique, mise en scène privilégiant la suggestion et le hors-champ...) ne se donne jamais à voir et on l'en remercie. Tehelim [impose] son atmosphère envoûtante, sa pudeur déchirante et son secret vital.
TéléCinéObs
(...) Raphaël Nadjari questionne sans juger la société israélienne dans sa complexité et son ambiguïté (...) et confirme l'acuité de son regard à travers une mise en scène à la fois proche et distante (...)
aVoir-aLire.com
Un drame comme une caresse : Tehilim a beau avoir la noirceur de la disparition, le film de Raphael Nadjari a le pixel frais, comme mouillé grâce à la DV (...) Les recoupements du religieux et de l'intime sont ainsi la matrice de ce film subtil.
Elle
Une fable initiatique dans l'Israël d'aujourd'hui.
Paris Match
Ce film au rythme inégal repose sur les frêles épaules de deux jeunes acteurs principaux qui forment une fratrie très émouvante.
Score
La mise en scène (...) de Nadjari (...) gagne en ampleur. Quand ses précédents longs s'essayaient à un cinéma-vérité instructif, proche de Cassavetes, Tehilim, lui, voisine avec une épure à la Antonioni (...)
Télérama
Tehilim est une quête confuse de sens et de sacré. Quête aride, il faut le dire, à l'unisson d'une mise en scène asphyxiante. Nulle psychologie, aucun comportement attendu, de peine ou de soutien, mais l'opposition entre une agitation constante (...) et le recueillement des rituels juifs (...)
Le Journal du Dimanche
Une méditation qui peine à capter notre attention.
Le Parisien
(...) c'est un sujet magnifique... tué dans l'oeuf par ce miroir sans alouettes qu'est le cinéma du réel.
MCinéma.com
Malgré la justesse de l'interprétation, notamment celle des deux enfants, et le soin apporté à la réalisation et en particulier au cadrage (...) on peine à s'intéresser à cette famille et à compatir à son malheur. L'ennui finit même par gagner progressivement.
Metro
La chronique est juste, les jeunes comédiens convaincants, mais on ne peut s'empêcher de pousser un ou deux bâillements devant une oeuvre très conventionnelle sur la forme.
Chronic'art.com
(...) la raideur fière de la réalisation contredit en permanence ce que le sujet appelle d'attentisme fébrile et de puissance d'écoute.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ouest France
[Raphaël Nadjari] se perd ici dans une non-mise en scène de considérations appuyées sur le poids et le sens de la religion (...), dans une déclinaison qui n'a rien de cinématographique.