Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Filmsactu
par Elodie Leroy
Avec ses dialogues aux petits oignons et son duo savoureux de comédiens, The Good Heart est de ces films d'auteur qui ont pour immense qualité de ne jamais chercher ostensiblement à l'être.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Point
par Olivier De Bruyn
voir le point.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) rubrique "Film indépendant américain réussi". Cette fable (...) se révèle touchante, mais sans miévrerie. (...) New York, personnage à part entière, contribue à donner envie de soutenir ce film de bon coeur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Brazil
par Véronique Kientzy
Baignant dans une lumière ambrée, The good heart est un film d'atmosphère et d'ambiance qui, s'il doit trouver comparaison, mais est-ce utile, lorgne du côté des meilleurs Aki Kaurismaki.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Ouest France
par La Rédaction
Cinéaste atypique et inclassable, Dagur Kari se dit tout aussi friand de sitcom que d'art et essai. (...) On le suit volontiers sur le terrain de sa générosité candide, parce qu'il met de l'humour et de la tendresse dans le propos.
Positif
par Franck Garbarz
Le premier film anglophone de l'islandais Dagur Kari offre une variation originale autour du "buddy movie". (...) Paul Dano est épatant. Tout comme Brian Cox, véritable comédien caméléon.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gérard Delorme
(...) fable désabusée mais paradoxalement chaleureuse, sur la nécessité de se faire du mal pour se faire du bien.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
Avec l'arrivée d'Isild Le Besco (sans que l'actrice en soit responsable), le film mollit un brin, avant qu'un dénouement inattendu et cynique lui fasse retrouver son étrangeté...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Sidy Sakho
Rarement des personnages auront semblé aussi peu furieux, autant préservés du débordement de leur être au-delà du cadre ultra-circonscrit de scènes sur écrites.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Bélinda Saligot
Dans une veine similaire à Noi Albinoï, on retrouve (...) des personnalités hors normes, un humour grinçant, une histoire absurde (...) et surtout une femme, venue chambouler le scénario et le coeur de ces hommes, si bien que le réalisateur s'emmêle les pinceaux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Une fable délicate sur la rencontre d'un jeune SDF dépressif et d'un patron de bar patibulaire.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Marie Sauvion
(...) des moments amusants. Rien d'inoubliable, toutefois, d'autant plus que le scénario, déjà mince, vire à l'artificiel dans la dernière ligne droite. Reste un tandem d'acteurs convaincant...
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Didier Péron
Sympathique grâce au casting.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site Studio Cinelive
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Excessif
par Romain Le Vern
Une fable cafardeuse déguisée en feel-good movie.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Journal du Dimanche
par stéphanie Belpêche
Tendresse et humour pour ce récit (...). Une dynamique brisée par l'arrivée d'un personnage féminin superflu. La sincérité de l'interprétation compense un dénouement prévisible, qui torpille l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Car The Good Heart est plein de mauvaises idées comme "une hôtesse de l'air qui a peur de l'avion".
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
(...) Dagur Kári renoue avec le comique absurde qui faisait le charme de son premier long, mais peine à boucler son affaire. Passée la première partie haute en couleur, les bons sentiments l'emportent et l'originalité s'émousse. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Soulignons l'impératif suprême pour faire exister des héros décalés : un regard calé.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Caricature d'un cinéma indé américain psycho-poisseux, le film se coule (et se noie) dans une obscurité plombante, lourde de sens, et laisse libre cours à de pénibles numéros de cabotinage (...) Rien à faire, The Good Heart ne prend pas.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Filmsactu
Avec ses dialogues aux petits oignons et son duo savoureux de comédiens, The Good Heart est de ces films d'auteur qui ont pour immense qualité de ne jamais chercher ostensiblement à l'être.
Le Point
voir le point.fr
20 Minutes
(...) rubrique "Film indépendant américain réussi". Cette fable (...) se révèle touchante, mais sans miévrerie. (...) New York, personnage à part entière, contribue à donner envie de soutenir ce film de bon coeur.
Brazil
Baignant dans une lumière ambrée, The good heart est un film d'atmosphère et d'ambiance qui, s'il doit trouver comparaison, mais est-ce utile, lorgne du côté des meilleurs Aki Kaurismaki.
Ouest France
Cinéaste atypique et inclassable, Dagur Kari se dit tout aussi friand de sitcom que d'art et essai. (...) On le suit volontiers sur le terrain de sa générosité candide, parce qu'il met de l'humour et de la tendresse dans le propos.
Positif
Le premier film anglophone de l'islandais Dagur Kari offre une variation originale autour du "buddy movie". (...) Paul Dano est épatant. Tout comme Brian Cox, véritable comédien caméléon.
Première
(...) fable désabusée mais paradoxalement chaleureuse, sur la nécessité de se faire du mal pour se faire du bien.
Télérama
Avec l'arrivée d'Isild Le Besco (sans que l'actrice en soit responsable), le film mollit un brin, avant qu'un dénouement inattendu et cynique lui fasse retrouver son étrangeté...
Chronic'art.com
Rarement des personnages auront semblé aussi peu furieux, autant préservés du débordement de leur être au-delà du cadre ultra-circonscrit de scènes sur écrites.
Critikat.com
Dans une veine similaire à Noi Albinoï, on retrouve (...) des personnalités hors normes, un humour grinçant, une histoire absurde (...) et surtout une femme, venue chambouler le scénario et le coeur de ces hommes, si bien que le réalisateur s'emmêle les pinceaux.
La Croix
Une fable délicate sur la rencontre d'un jeune SDF dépressif et d'un patron de bar patibulaire.
Le Parisien
(...) des moments amusants. Rien d'inoubliable, toutefois, d'autant plus que le scénario, déjà mince, vire à l'artificiel dans la dernière ligne droite. Reste un tandem d'acteurs convaincant...
Libération
Sympathique grâce au casting.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Cinelive
Excessif
Une fable cafardeuse déguisée en feel-good movie.
Le Journal du Dimanche
Tendresse et humour pour ce récit (...). Une dynamique brisée par l'arrivée d'un personnage féminin superflu. La sincérité de l'interprétation compense un dénouement prévisible, qui torpille l'émotion.
Le Monde
Car The Good Heart est plein de mauvaises idées comme "une hôtesse de l'air qui a peur de l'avion".
TéléCinéObs
(...) Dagur Kári renoue avec le comique absurde qui faisait le charme de son premier long, mais peine à boucler son affaire. Passée la première partie haute en couleur, les bons sentiments l'emportent et l'originalité s'émousse. Dommage.
Cahiers du Cinéma
Soulignons l'impératif suprême pour faire exister des héros décalés : un regard calé.
Les Inrockuptibles
Caricature d'un cinéma indé américain psycho-poisseux, le film se coule (et se noie) dans une obscurité plombante, lourde de sens, et laisse libre cours à de pénibles numéros de cabotinage (...) Rien à faire, The Good Heart ne prend pas.