Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Un beau film triste, qui parle des abîmes ouverts sous la vie ordinaire.
Ouest France
par La rédaction
Les ellipses et les non-dits du scénario, qui cherche à faire ressentir plus qu'à affirmer et imposer, définissent une atmosphère en demi-teinte. Toute en pudeur et en délicatesse habilement maîtrisées, sur le clavier bien tempéré des émotions.
Positif
par Eithne O'Neill
La prestation des comédiens sert à rendre chez ces personnages l'impression d'authenticité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le résultat est plombant, austère et parfois un peu ennuyeux, mais le magistral glissement final confère finalement à cette première oeuvre une densité insoupçonnable qui reste longtemps après la fin de la projection.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
par PIerre Vavasseur
Ce film lance des pistes, en abandonne, s'égare parfois, mais s'interroge, nous trouble et laisse longtemps sa trace. Ames sensibles ne pas s'abstenir.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
La face cachée rappelle Se souvenir des belles choses (...) Campan y tient le même type de rôle, avec le même naturel et la même profondeur. Certes, même dirigée par un nourrisson, Karin Viard serait excellente. Mais sa prestation ici (...) ne peut être uniquement le fruit de son immense talent (...) un homme a su la regarder, la comprendre et lui donner la place qu'elle mérite.
TéléCinéObs
par Charlotte Lipinska
Un puzzle de l'intime, élégant et sensible.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Après s'être lancé dans une carrière de tragédien des prés (Se Souvenir des belles choses et autres nanars au lait de chèvre), Bernard Campan se prend pour Jean-Marc Barr (...) et réalise son premier mélo psychologique.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Journal du Dimanche
par La Rédaction
Aussi sombre que son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Isabelle Regnier
le processus est long, laborieux, et creux (...) Pour crédibiliser son propos, le réalisateur aurait toutefois pu faire en sorte que ses personnages regardent ce qu'ils avaient sous les yeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
(...) un premier film étouffé par sa sensiblerie (...) Campan s'est sans nul doute trompé de face - la meilleure de lui-même étant la hauteur de vue que procure l'humour.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
A force de vouloir donner du sens et de la profondeur à chaque scène, Campan oublie de raconter une histoire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Juliette Bénabent
Côté émotion, c'est l'encéphalogramme plat. Car à force de ne rien dévoiler, pour préserver cette fameuse "face cachée", le film tourne à vide.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Pleurons plutôt sur celle [de fin] du zouave [Bernard Campan] dont l'ultime chef-d'oeuvre, "Le Pari", rayonne à présent comme une splendide tache sur sa serviette de nouveau riche.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Un beau film triste, qui parle des abîmes ouverts sous la vie ordinaire.
Ouest France
Les ellipses et les non-dits du scénario, qui cherche à faire ressentir plus qu'à affirmer et imposer, définissent une atmosphère en demi-teinte. Toute en pudeur et en délicatesse habilement maîtrisées, sur le clavier bien tempéré des émotions.
Positif
La prestation des comédiens sert à rendre chez ces personnages l'impression d'authenticité.
aVoir-aLire.com
Le résultat est plombant, austère et parfois un peu ennuyeux, mais le magistral glissement final confère finalement à cette première oeuvre une densité insoupçonnable qui reste longtemps après la fin de la projection.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Ce film lance des pistes, en abandonne, s'égare parfois, mais s'interroge, nous trouble et laisse longtemps sa trace. Ames sensibles ne pas s'abstenir.
MCinéma.com
La face cachée rappelle Se souvenir des belles choses (...) Campan y tient le même type de rôle, avec le même naturel et la même profondeur. Certes, même dirigée par un nourrisson, Karin Viard serait excellente. Mais sa prestation ici (...) ne peut être uniquement le fruit de son immense talent (...) un homme a su la regarder, la comprendre et lui donner la place qu'elle mérite.
TéléCinéObs
Un puzzle de l'intime, élégant et sensible.
Chronic'art.com
Après s'être lancé dans une carrière de tragédien des prés (Se Souvenir des belles choses et autres nanars au lait de chèvre), Bernard Campan se prend pour Jean-Marc Barr (...) et réalise son premier mélo psychologique.
Le Journal du Dimanche
Aussi sombre que son sujet.
Le Monde
le processus est long, laborieux, et creux (...) Pour crédibiliser son propos, le réalisateur aurait toutefois pu faire en sorte que ses personnages regardent ce qu'ils avaient sous les yeux.
Les Inrockuptibles
(...) un premier film étouffé par sa sensiblerie (...) Campan s'est sans nul doute trompé de face - la meilleure de lui-même étant la hauteur de vue que procure l'humour.
Première
A force de vouloir donner du sens et de la profondeur à chaque scène, Campan oublie de raconter une histoire.
Télérama
Côté émotion, c'est l'encéphalogramme plat. Car à force de ne rien dévoiler, pour préserver cette fameuse "face cachée", le film tourne à vide.
Cahiers du Cinéma
Pleurons plutôt sur celle [de fin] du zouave [Bernard Campan] dont l'ultime chef-d'oeuvre, "Le Pari", rayonne à présent comme une splendide tache sur sa serviette de nouveau riche.