Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Brazil
par Sophie Sevestre
Sur le fond, c'est proche d'un Ken Loach soucieux de défendre des valeurs humaines, l'adulte en quête de reconnaissance. Il est fier pour s'accomplir. Le fond et la forme sont en parfaite adéquation. La mise en scène offre un terrain psychologique convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
(...) la partie contemporaine est plus réussie parce que plus risquée, plus bancale. Là le film trouve vraiment ses marques, dans la tension entre l'envol et la chute, la nuance entre la force et la brutalité.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Les Paumes blanches ne craint jamais la dissonance et une certaine emphase, mais parvient à se réceptionner toujours sur ses deux pieds. Ça mérite une médaille.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le portrait de ce petit Hongrois soumis à une discipline absurde porte (...) la marque d'un cinéaste de talent, qui fait montre par moments d'une virtuosité certaine.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le point faible du film réside dans l'articulation entre (...) deux niveaux de récit, auxquels le réalisateur ne confère visiblement pas une importance égale (...) un film qui aurait pourtant mérité qu'on s'y attache.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Certes le film, pas totalement abouti, tombe parfois dans le piège d'un pathos un peu lourd, mais il parvient à maintenir en équilibre une figure cinématographique cohérente et sensible.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par La rédaction
"Les Paumes Blanches" (...) maltraite les mauvais traitements infligés aux sportifs dans la Hongrie socialiste, mélo académique à l'appui.
MCinéma.com
par Camille Brun
(...) si le film décolle parfois pour sembler même s'envoler, il souffre également ça et là de quelques vraies lourdeurs.
Positif
par Eithne O'Neill
Si la prestation des acteurs est honorable et la photographie soignée, le film, (...) brouille ses propres pistes symboliques.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Didier Roth-Bettoni
Film cruel où plane la violence physique et psychologique, Les Paumes Blanches est surtout un beau récit initiatique sur la libération de soi.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Bernard Achour
(...)Szabolcs Hajdu signe une parabole cauchemardesque sur l'horreur des dictatures.
Télérama
par Garance Colbert
Le film faiblit dans sa seconde partie, notamment lors d'une scène peu crédible de championnat du monde, mais il sait créer quelques images fortement symboliques (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Alternant style classique et forme proche du Dogme, le réalisateur ne parvient pas vraiment à donner une unité esthétique à son film. Rien de rédhibitoire, mais l'extraordinaire photogénie de ce sport rarement vu au cinéma méritait une réalisation plus aboutie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Brazil
Sur le fond, c'est proche d'un Ken Loach soucieux de défendre des valeurs humaines, l'adulte en quête de reconnaissance. Il est fier pour s'accomplir. Le fond et la forme sont en parfaite adéquation. La mise en scène offre un terrain psychologique convaincant.
Cahiers du Cinéma
(...) la partie contemporaine est plus réussie parce que plus risquée, plus bancale. Là le film trouve vraiment ses marques, dans la tension entre l'envol et la chute, la nuance entre la force et la brutalité.
Chronic'art.com
Les Paumes blanches ne craint jamais la dissonance et une certaine emphase, mais parvient à se réceptionner toujours sur ses deux pieds. Ça mérite une médaille.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Le portrait de ce petit Hongrois soumis à une discipline absurde porte (...) la marque d'un cinéaste de talent, qui fait montre par moments d'une virtuosité certaine.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Le Monde
Le point faible du film réside dans l'articulation entre (...) deux niveaux de récit, auxquels le réalisateur ne confère visiblement pas une importance égale (...) un film qui aurait pourtant mérité qu'on s'y attache.
Les Inrockuptibles
Certes le film, pas totalement abouti, tombe parfois dans le piège d'un pathos un peu lourd, mais il parvient à maintenir en équilibre une figure cinématographique cohérente et sensible.
Libération
"Les Paumes Blanches" (...) maltraite les mauvais traitements infligés aux sportifs dans la Hongrie socialiste, mélo académique à l'appui.
MCinéma.com
(...) si le film décolle parfois pour sembler même s'envoler, il souffre également ça et là de quelques vraies lourdeurs.
Positif
Si la prestation des acteurs est honorable et la photographie soignée, le film, (...) brouille ses propres pistes symboliques.
Première
Film cruel où plane la violence physique et psychologique, Les Paumes Blanches est surtout un beau récit initiatique sur la libération de soi.
TéléCinéObs
(...)Szabolcs Hajdu signe une parabole cauchemardesque sur l'horreur des dictatures.
Télérama
Le film faiblit dans sa seconde partie, notamment lors d'une scène peu crédible de championnat du monde, mais il sait créer quelques images fortement symboliques (...).
aVoir-aLire.com
Alternant style classique et forme proche du Dogme, le réalisateur ne parvient pas vraiment à donner une unité esthétique à son film. Rien de rédhibitoire, mais l'extraordinaire photogénie de ce sport rarement vu au cinéma méritait une réalisation plus aboutie.