Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Metro
par Rania Hoballah
Mêlant habilement les différentes histoires qui composent le film, 2h37 bénéficie également d'un casting d'une justesse remarquable. Un réalisateur est né.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Le Figaroscope
par Dominique Borde
Avec une sobriété documentaire, le réalisateur Murali K. Thalluri tente de cerner le malaise adolescent dans une mosaïque de portraits croisés. Tandis que le suspense se prolonge pendant toute la durée du film.
Le Monde
par Thomas Sotinel
2h37 évoque tant Elephant, de Gus Van Sant, que le film s'écroule sous le poids de la comparaison: à la fluidité froide du réalisateur américain, le trés jeune (22ans) australien Murali K. Thalluri oppose des effets dramatiques convenus.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un clone d'Elephant de Gus Van Sant. Bien interprété mais surchargé de pathos.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Score
par Audrey Zeppegno
2h37 pompe allégrement sur Elephant, et niveau formel, l'exercice du style mérite une mention trés bien.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Sans jouer de façon malsaine avec ce suspense, Murali K. Thalluri le met à profit pour disséquer le mal-être lancinant de chacun des protagonistes.
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Malgré une mise en scène sensible, la barque du pathos est trop chargée.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le film accumule les stéréotypes mais le dénouement, terrible, justifie la démarche du réalisateur australien.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
L'ensemble alterne avec des entretiens cadrés serrés, en noir et blanc, sur les visages des lycéens qui témoignent de leur mal d'être...L'ennui c'est que l'exercice de style phagocyte l'enquête initiale.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par La rédaction
(...) 2h37 vaut surtout pour la conviction de son trés jeune réalisateur, Murali K.Thalluri (...)
Positif
par Vincent Thabourey
Entre Elephant de Gus Van Sant et Le Suicide de Durkheim, Two thirty 7 peine à trouver son originalité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
(...) Il ne réussit qu'une copie douteuse, en passant en revue les problèmes de chacun avec une insistance qui confine à la délectation.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par La rédaction
(...) 2h37, de l'Australien Murali K. Thalluri, ne peut cacher qu'il est entièrement pompé sur Elephant. Mais l'étude de la jeunesse reste ici du niveau MTV.
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
(...) ce produit local, tout juste digne d'un exercice de style de première année de fac, n'aurait jamais dû voyager.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Un manque de profondeur sérieusement aggravé par la prétention de l'entreprise, forçant sur la démonstration visuelle et la lourdeur du raisonnement.
Ouest France
par La rédaction
(...) récit australien pompé, sur le fond comme dans la forme, sur le Elephant de Gus Van Sant. En forcément moins bien, et en plus lourd.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Manipulateur, putassier et complaisant, 2h37 ne laisse par ailleurs aucune place à l'ambiguïté, ne donne aucune alternative entre le noir et le blanc en récusant toute nuance intermédiaire, échoue à instiller du trouble et ne carbure qu'au bavardage oiseux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Metro
Mêlant habilement les différentes histoires qui composent le film, 2h37 bénéficie également d'un casting d'une justesse remarquable. Un réalisateur est né.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Le Figaroscope
Avec une sobriété documentaire, le réalisateur Murali K. Thalluri tente de cerner le malaise adolescent dans une mosaïque de portraits croisés. Tandis que le suspense se prolonge pendant toute la durée du film.
Le Monde
2h37 évoque tant Elephant, de Gus Van Sant, que le film s'écroule sous le poids de la comparaison: à la fluidité froide du réalisateur américain, le trés jeune (22ans) australien Murali K. Thalluri oppose des effets dramatiques convenus.
Les Inrockuptibles
Un clone d'Elephant de Gus Van Sant. Bien interprété mais surchargé de pathos.
Score
2h37 pompe allégrement sur Elephant, et niveau formel, l'exercice du style mérite une mention trés bien.
TéléCinéObs
Sans jouer de façon malsaine avec ce suspense, Murali K. Thalluri le met à profit pour disséquer le mal-être lancinant de chacun des protagonistes.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Malgré une mise en scène sensible, la barque du pathos est trop chargée.
Le Journal du Dimanche
Le film accumule les stéréotypes mais le dénouement, terrible, justifie la démarche du réalisateur australien.
Le Parisien
L'ensemble alterne avec des entretiens cadrés serrés, en noir et blanc, sur les visages des lycéens qui témoignent de leur mal d'être...L'ennui c'est que l'exercice de style phagocyte l'enquête initiale.
Libération
(...) 2h37 vaut surtout pour la conviction de son trés jeune réalisateur, Murali K.Thalluri (...)
Positif
Entre Elephant de Gus Van Sant et Le Suicide de Durkheim, Two thirty 7 peine à trouver son originalité.
Première
(...) Il ne réussit qu'une copie douteuse, en passant en revue les problèmes de chacun avec une insistance qui confine à la délectation.
Télérama
(...) 2h37, de l'Australien Murali K. Thalluri, ne peut cacher qu'il est entièrement pompé sur Elephant. Mais l'étude de la jeunesse reste ici du niveau MTV.
Cahiers du Cinéma
(...) ce produit local, tout juste digne d'un exercice de style de première année de fac, n'aurait jamais dû voyager.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
Un manque de profondeur sérieusement aggravé par la prétention de l'entreprise, forçant sur la démonstration visuelle et la lourdeur du raisonnement.
Ouest France
(...) récit australien pompé, sur le fond comme dans la forme, sur le Elephant de Gus Van Sant. En forcément moins bien, et en plus lourd.
aVoir-aLire.com
Manipulateur, putassier et complaisant, 2h37 ne laisse par ailleurs aucune place à l'ambiguïté, ne donne aucune alternative entre le noir et le blanc en récusant toute nuance intermédiaire, échoue à instiller du trouble et ne carbure qu'au bavardage oiseux.