Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
20 Minutes
par La rédaction
Caetano plonge dans le quotidien de prisonniers dont il laisse apparaître avec une crudité inouïe le désespoir face à la cruauté de leurs geôliers.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
(...) ce film interroge le passé pour mieux comprendre le présent. Il installe une atmosphère oppressante dans la maison des tortures et montre l'enfer psychologique subi par les détenus.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Metro
par Alexandre Zalewski
C'est un petit bijou (...) Le film d'Adrian Caetano prend littéralement aux tripes et nous renvoie avec force devant nos propres certitudes et nos propres peurs face à l'horreur et à l'arbitraire.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Alain Spira
Implacable et quasi documentaire, "Buenos Aires 1977" est un témoignage terrifiant qui, en rendant hommage aux victimes de la dictature argentine, nous rappelle que la bête immonde aux multiples visages grouille plus que jamais sur notre planète.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Score
par Léonard Haddad
Un film inclassable et sensationnel... à plus d'un titre.
La critique complète est disponible sur le site Score
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Dès les premières images, l'atmosphère est violente, délétère, âpre et aspire progressivement le spectateur dans son malaise (...) Futé, le cinéaste évite les pièges démonstratifs qui pendaient au bout de sa caméra.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Agata Makino
S'échappant du témoignage véridique, la chronique gagne les territoires d'une fiction étrange, une espèce de Dépeupleur argentin.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Dommage que le récit ne soit pas étayé par un discours politique, mais le cinéaste n'a pas voulu prendre ce parti, préférant opter pour le choc visuel plutôt que pour celui des mots. Une manière forte de faire oeuvre de mémoire. "Ni oubli ni pardon".
Ouest France
par La rédaction
(...) un sujet fort qui se perd dans les recherches esthétisantes et maniérées de sa mise en scène.
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
L'histoire (...) a beau être vraie (...) le réalisme historique cède sous les accords dissonants de la musique, des cadres et des mouvements de caméra à donner des hauts-le-coeur et un décor rappelant avec complaisance la maison de Psychose.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) d'une part le filmage est tout le contraire du froid constat qu'il devrait être, d'autre part l'horreur est trop décorative (...) Bien sûr, le film est éducatif (...) Mais une oeuvre précédente (...) Garage Olimpo (2 000) de Marco Bechis, avait déjà tout dit et mieux.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le spectateur est aspiré dans un univers terrifiant (...) Mais la rançon de cette efficacité spectaculaire est coûteuse : la tension permanente (...) suscite des réactions réflexes plutôt qu'une réelle empathie, sans parler d'une réflexion évacuée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Florence Colombani
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Eric Loret
(...) on a quitté Buenos Aires 1977 quarante minutes avant la fin, juste quand ça devient franchement insupportable (...) cette oeuvre sur la dictature à hauteur de pince coupante ne serait qu'une commande réussie (donc ratée) (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Philippe Descottes
L'universalité du propos est donc la qualité majeure du film, associée à la performance, notamment physique, des comédiens. Malheureusement, on regrettera des choix esthétiques qui le desservent.
TéléCinéObs
par Bernard Achour
L'ambiance est certes tendue, le final atteint même une certaine grandeur, mais le résultat coince sérieusement aux entournures.
Télérama
par Jacques Morice
L'horreur, censée croître à mesure que l'état des détenus se dégrade, finit, c'est le comble, par susciter l'ennui plus qu'autre chose. Dans le genre, Midnight Express reste nettement plus efficace.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par La Rédaction
(...) mêle scènes de torture et suspense au gré d'un crescendo esthético-fictionnel des plus douteux.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Caetano plonge dans le quotidien de prisonniers dont il laisse apparaître avec une crudité inouïe le désespoir face à la cruauté de leurs geôliers.
Le Journal du Dimanche
(...) ce film interroge le passé pour mieux comprendre le présent. Il installe une atmosphère oppressante dans la maison des tortures et montre l'enfer psychologique subi par les détenus.
Metro
C'est un petit bijou (...) Le film d'Adrian Caetano prend littéralement aux tripes et nous renvoie avec force devant nos propres certitudes et nos propres peurs face à l'horreur et à l'arbitraire.
Paris Match
Implacable et quasi documentaire, "Buenos Aires 1977" est un témoignage terrifiant qui, en rendant hommage aux victimes de la dictature argentine, nous rappelle que la bête immonde aux multiples visages grouille plus que jamais sur notre planète.
Score
Un film inclassable et sensationnel... à plus d'un titre.
aVoir-aLire.com
Dès les premières images, l'atmosphère est violente, délétère, âpre et aspire progressivement le spectateur dans son malaise (...) Futé, le cinéaste évite les pièges démonstratifs qui pendaient au bout de sa caméra.
Chronic'art.com
S'échappant du témoignage véridique, la chronique gagne les territoires d'une fiction étrange, une espèce de Dépeupleur argentin.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Dommage que le récit ne soit pas étayé par un discours politique, mais le cinéaste n'a pas voulu prendre ce parti, préférant opter pour le choc visuel plutôt que pour celui des mots. Une manière forte de faire oeuvre de mémoire. "Ni oubli ni pardon".
Ouest France
(...) un sujet fort qui se perd dans les recherches esthétisantes et maniérées de sa mise en scène.
Cahiers du Cinéma
L'histoire (...) a beau être vraie (...) le réalisme historique cède sous les accords dissonants de la musique, des cadres et des mouvements de caméra à donner des hauts-le-coeur et un décor rappelant avec complaisance la maison de Psychose.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
(...) d'une part le filmage est tout le contraire du froid constat qu'il devrait être, d'autre part l'horreur est trop décorative (...) Bien sûr, le film est éducatif (...) Mais une oeuvre précédente (...) Garage Olimpo (2 000) de Marco Bechis, avait déjà tout dit et mieux.
Le Monde
Le spectateur est aspiré dans un univers terrifiant (...) Mais la rançon de cette efficacité spectaculaire est coûteuse : la tension permanente (...) suscite des réactions réflexes plutôt qu'une réelle empathie, sans parler d'une réflexion évacuée.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
(...) on a quitté Buenos Aires 1977 quarante minutes avant la fin, juste quand ça devient franchement insupportable (...) cette oeuvre sur la dictature à hauteur de pince coupante ne serait qu'une commande réussie (donc ratée) (...)
MCinéma.com
L'universalité du propos est donc la qualité majeure du film, associée à la performance, notamment physique, des comédiens. Malheureusement, on regrettera des choix esthétiques qui le desservent.
TéléCinéObs
L'ambiance est certes tendue, le final atteint même une certaine grandeur, mais le résultat coince sérieusement aux entournures.
Télérama
L'horreur, censée croître à mesure que l'état des détenus se dégrade, finit, c'est le comble, par susciter l'ennui plus qu'autre chose. Dans le genre, Midnight Express reste nettement plus efficace.
Première
(...) mêle scènes de torture et suspense au gré d'un crescendo esthético-fictionnel des plus douteux.