Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
(...) Jane Birkin s'y révèle une belle cinéaste (...) D'emblée, l'expression des sentiments les plus forts se teinte de cocasseries surréalistes, quelque part entre Buñuel et Arsenic et vieilles dentelles.
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Certains seront peut-être énervés par ce déballage intime. On peut aussi apprécier la liberté avec laquelle l'actrice et réalisatrice convoque ses fantômes et saluer la façon dont elle fait, l'air de rien, son autocritique (...)
Télérama
par Pierre Murat
Narcissisme ? Mais que font tous les auteurs du monde, sinon, toujours, parler d'eux-mêmes ? Indécence ? Sûrement pas (...) Par moments, c'est vrai, l'humour british de Birkin s'affadit et l'absurde qu'elle recherche âprement la fuit. Mais c'est dans la tendresse vulnérable qu'elle excelle (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
L'ensemble appelle une sympathie de toute manière éprouvée pour sa réalisatrice, laisse supposer quelque chose de joyeux et d'ému dans la fabrication du film - rien pour autant qui en fasse d'avantage que l'addition de ses composants.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
C'est un peu triste, car le film n'a rien de superficiel, il est incontestablement habité mais trop facilement conforté dans ses certitudes, engoncé par les multiples références qui l'empêchent de se déployer.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
On peut trouver la démarche un peu narcissique, mais Jane Birkin y met une sincérité inquiète, fantasque et touchante.
Libération
par La rédaction
Le film devrait plaire aux fans, les autres trouveront l'exercice d'une excentricité un rien forcée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
L'économie des moyens est au service de l'intimité du récit (...) Boxes confirme la place singulière de Jane B. Quelque part entre Angleterre en France, entre chanson et cinéma, entre naturel et sophistiqué, entre réel et fiction.
Ouest France
par La rédaction
(...) une comédie qui nous touche tous (...) Dommage que Jane Birkin ne tienne pas jusqu'au bout cet état d'esprit léger qui peu à peu cède devant des tonalités plus sombres et bavardes.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Paris Match
par Christine Haas
Au coeur d'une mise en scène plus théâtrale que cinématographique, une Jane Birkin androgyne et "franglaise" offre en spectacle sa quête d'apaisement avec une nostalgie à fleur de peau. Elle signe une oeuvre singulière, aussi agaçante qu'émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Vincent Thabourey
Le charme anglophile de ce journal intime réside dans une posture de distanciation à la fois magique et comique, et le refus systématique de toute dramatisation.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Sophie Grassin
Birkin (...) ne craint ni de travailler à vif ses cicatrices, ni de filmer des corps vieillissants et d'abord le sien, ni de pallier par une mise en scène aussi passionnelle qu'inventive la faiblesse de ses moyens.
La critique complète est disponible sur le site Première
Brazil
par Sam Lowry
Qui a osé donner une caméra à Jane Birkin, qui ?
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le Journal du Dimanche
par Eric Mandel
(...) une oeuvre singulière, indubitablement personnelle, mais trop inégale, narcissique et impudique pour emporter une totale adhésion.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par La rédaction
Tentative d'autofiction foutraque, le film est essentiellement un avatar de plus de la marque Birkin.
L'Obs
par Bernard Achour
Voici un film "sincère". Autrement dit : alerte rouge, tous aux abris, les femmes et les enfants d'abord.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Dans ce psychodrame mou, le spectateur n'a qu'une envie : s'en aller sur la pointe des pieds. De toute façon, personne ne s'occupait de lui. Ces boîtes, c'était des cartons sans invitation.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Metro
par Talia Soghomonian
Qui a osé laisser une caméra entre les mains de Jane Birkin? La célébrité est-elle une raison suffisante pour s'improviser réalisatrice? Je peux hélas confirmer que non.
La critique complète est disponible sur le site Metro
L'Humanité
(...) Jane Birkin s'y révèle une belle cinéaste (...) D'emblée, l'expression des sentiments les plus forts se teinte de cocasseries surréalistes, quelque part entre Buñuel et Arsenic et vieilles dentelles.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
TéléCinéObs
Certains seront peut-être énervés par ce déballage intime. On peut aussi apprécier la liberté avec laquelle l'actrice et réalisatrice convoque ses fantômes et saluer la façon dont elle fait, l'air de rien, son autocritique (...)
Télérama
Narcissisme ? Mais que font tous les auteurs du monde, sinon, toujours, parler d'eux-mêmes ? Indécence ? Sûrement pas (...) Par moments, c'est vrai, l'humour british de Birkin s'affadit et l'absurde qu'elle recherche âprement la fuit. Mais c'est dans la tendresse vulnérable qu'elle excelle (...)
Cahiers du Cinéma
L'ensemble appelle une sympathie de toute manière éprouvée pour sa réalisatrice, laisse supposer quelque chose de joyeux et d'ému dans la fabrication du film - rien pour autant qui en fasse d'avantage que l'addition de ses composants.
Chronic'art.com
C'est un peu triste, car le film n'a rien de superficiel, il est incontestablement habité mais trop facilement conforté dans ses certitudes, engoncé par les multiples références qui l'empêchent de se déployer.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
On peut trouver la démarche un peu narcissique, mais Jane Birkin y met une sincérité inquiète, fantasque et touchante.
Libération
Le film devrait plaire aux fans, les autres trouveront l'exercice d'une excentricité un rien forcée.
MCinéma.com
L'économie des moyens est au service de l'intimité du récit (...) Boxes confirme la place singulière de Jane B. Quelque part entre Angleterre en France, entre chanson et cinéma, entre naturel et sophistiqué, entre réel et fiction.
Ouest France
(...) une comédie qui nous touche tous (...) Dommage que Jane Birkin ne tienne pas jusqu'au bout cet état d'esprit léger qui peu à peu cède devant des tonalités plus sombres et bavardes.
Paris Match
Au coeur d'une mise en scène plus théâtrale que cinématographique, une Jane Birkin androgyne et "franglaise" offre en spectacle sa quête d'apaisement avec une nostalgie à fleur de peau. Elle signe une oeuvre singulière, aussi agaçante qu'émouvante.
Positif
Le charme anglophile de ce journal intime réside dans une posture de distanciation à la fois magique et comique, et le refus systématique de toute dramatisation.
Première
Birkin (...) ne craint ni de travailler à vif ses cicatrices, ni de filmer des corps vieillissants et d'abord le sien, ni de pallier par une mise en scène aussi passionnelle qu'inventive la faiblesse de ses moyens.
Brazil
Qui a osé donner une caméra à Jane Birkin, qui ?
Le Journal du Dimanche
(...) une oeuvre singulière, indubitablement personnelle, mais trop inégale, narcissique et impudique pour emporter une totale adhésion.
Le Monde
Tentative d'autofiction foutraque, le film est essentiellement un avatar de plus de la marque Birkin.
L'Obs
Voici un film "sincère". Autrement dit : alerte rouge, tous aux abris, les femmes et les enfants d'abord.
Le Parisien
Dans ce psychodrame mou, le spectateur n'a qu'une envie : s'en aller sur la pointe des pieds. De toute façon, personne ne s'occupait de lui. Ces boîtes, c'était des cartons sans invitation.
Metro
Qui a osé laisser une caméra entre les mains de Jane Birkin? La célébrité est-elle une raison suffisante pour s'improviser réalisatrice? Je peux hélas confirmer que non.