Les nuits rouges du bourreau de jade : Critique presse
Les nuits rouges du bourreau de jade
Note moyenne
2,8
16 titres de presse
Critikat.com
L'Ecran Fantastique
L'Humanité
Libération
Mad Movies
Positif
20 Minutes
Excessif
Le Monde
Première
Cahiers du Cinéma
Studio Ciné Live
Les Inrockuptibles
Metro
TéléCinéObs
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Critikat.com
par Ursula Michel
Le premier long métrage de Julien Carbon et Laurent Courtiaud revisite l'iconographie du giallo transalpin en la mâtinant d'une exquise élégance chinoise, tout en extase mutique et fétichisme sophistiqué.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Ecran Fantastique
par Nathalie Dassa
"Les Nuits rouges du bourreau de jade" envoûte par son rendu propre et classieux, sa direction artistique stylisée et maîtrisée, ses images léchées (...), avec des séquences violentes, perverses et gores. (...) Oeuvre certes composite, mais néanmoins curieuse, intéressante et mystérieuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
L'Humanité
par Vincent Ostria
Si les parties (objets, lieux) sont plus palpitantes que le tout (l'histoire), ce n'en est pas moins l'oeuvre la plus étrange et stylée du moment.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Bruno Icher
"Les Nuits rouges du bourreau de jade" forment un territoire familier - énième tentative de résurrection d'un cinéma de genre - mais, pour une fois, lesté d'agréables surprises. Le film est avant tout une généreuse collection de fantasmes, de pellicule ou simplement sexuels (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
On n'est jamais au bout de ses surprises avec ce thriller sophistiqué et libertin, qui mélange divers ingrédients jusqu'à obtenir un cocktail... piquant.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Positif
par M. Ca.
Ce film n'est donc rien d'autre qu'un exercice de passage réussi de l'écriture standardisée à la réalisation singulière.
La critique complète est disponible sur le site Positif
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) cet hommage au cinéma de Hongkong dont l'enthousiasme et l'esthétique rendent indulgent pour un scénario trop touffu.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Excessif
par Nicolas Gilli
Une oeuvre de cinéma hypnotique parfois artificielle dans sa construction, manquant de liant, mais renouant avec la tradition d'un cinéma de genre sexué qui n'a pas peur de montrer le désir autant que la chair meurtrie.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Monde
par Thomas Sotinel
Dans un monde parfait, le scénario, la direction d'acteurs, la mise en scène seraient à la hauteur de cette bizarrerie. Dans les salles, on découvrira un film bancal, parfois déplaisant, mais dont les défauts sont en partie masqués par une élégance qui procède d'un réel amour du cinéma - et pas seulement de ses genres les plus obscurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Bernard Achour
Autour de ces micro-inspirations esthétiques et verbales, les réalisateurs, des Français expatriés de Hong Kong, orchestrent un hommage fétichiste au cinéma de genre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Néo-cinéma de genre français, chapitre 52. "Les Nuits rouges du bourreau de jade" n'est pas la moins intéressante des tentatives d'imaginer un cinéma bis domestique, faisant se croiser une myriade de références pop et vicieuses (...) dans les ténèbres d'un Hongkong étrangement déserté
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Au mépris de toute progression dramatique, le duo de réalisateurs aligne en vain les références, mêlant au hasard du budget une séquence de torture porn fétichiste (la plus inspirée), une imagerie giallo, des clins d'oeil au théâtre kabuki, et un léger parfum de serial. Tellement abîmé par son esprit de sérieux, le film se refuse même le statut de simple Z un peu chic.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Jennifer Lesieur
Sensations fortes que les réalisateurs confondent avec musique grandiloquente, gestes théâtraux et violence sans nuance.
La critique complète est disponible sur le site Metro
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Passé un prologue intriguant, ce polar SM (...) afflige à mesure qu'il révèle son fétichisme stérile et son incapacité à faire vivre toute situation.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Là, c'est la cata : sadisme crétin, esthétisme benêt, hiératisme fumeux : comme anesthésiées, de pauvres filles se traînent sans raison, d'un plan à l'autre, entre Hongkong et Macao...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
Le premier long métrage de Julien Carbon et Laurent Courtiaud revisite l'iconographie du giallo transalpin en la mâtinant d'une exquise élégance chinoise, tout en extase mutique et fétichisme sophistiqué.
L'Ecran Fantastique
"Les Nuits rouges du bourreau de jade" envoûte par son rendu propre et classieux, sa direction artistique stylisée et maîtrisée, ses images léchées (...), avec des séquences violentes, perverses et gores. (...) Oeuvre certes composite, mais néanmoins curieuse, intéressante et mystérieuse.
L'Humanité
Si les parties (objets, lieux) sont plus palpitantes que le tout (l'histoire), ce n'en est pas moins l'oeuvre la plus étrange et stylée du moment.
Libération
"Les Nuits rouges du bourreau de jade" forment un territoire familier - énième tentative de résurrection d'un cinéma de genre - mais, pour une fois, lesté d'agréables surprises. Le film est avant tout une généreuse collection de fantasmes, de pellicule ou simplement sexuels (...).
Mad Movies
On n'est jamais au bout de ses surprises avec ce thriller sophistiqué et libertin, qui mélange divers ingrédients jusqu'à obtenir un cocktail... piquant.
Positif
Ce film n'est donc rien d'autre qu'un exercice de passage réussi de l'écriture standardisée à la réalisation singulière.
20 Minutes
(...) cet hommage au cinéma de Hongkong dont l'enthousiasme et l'esthétique rendent indulgent pour un scénario trop touffu.
Excessif
Une oeuvre de cinéma hypnotique parfois artificielle dans sa construction, manquant de liant, mais renouant avec la tradition d'un cinéma de genre sexué qui n'a pas peur de montrer le désir autant que la chair meurtrie.
Le Monde
Dans un monde parfait, le scénario, la direction d'acteurs, la mise en scène seraient à la hauteur de cette bizarrerie. Dans les salles, on découvrira un film bancal, parfois déplaisant, mais dont les défauts sont en partie masqués par une élégance qui procède d'un réel amour du cinéma - et pas seulement de ses genres les plus obscurs.
Première
Autour de ces micro-inspirations esthétiques et verbales, les réalisateurs, des Français expatriés de Hong Kong, orchestrent un hommage fétichiste au cinéma de genre.
Cahiers du Cinéma
Néo-cinéma de genre français, chapitre 52. "Les Nuits rouges du bourreau de jade" n'est pas la moins intéressante des tentatives d'imaginer un cinéma bis domestique, faisant se croiser une myriade de références pop et vicieuses (...) dans les ténèbres d'un Hongkong étrangement déserté
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Les Inrockuptibles
Au mépris de toute progression dramatique, le duo de réalisateurs aligne en vain les références, mêlant au hasard du budget une séquence de torture porn fétichiste (la plus inspirée), une imagerie giallo, des clins d'oeil au théâtre kabuki, et un léger parfum de serial. Tellement abîmé par son esprit de sérieux, le film se refuse même le statut de simple Z un peu chic.
Metro
Sensations fortes que les réalisateurs confondent avec musique grandiloquente, gestes théâtraux et violence sans nuance.
TéléCinéObs
Passé un prologue intriguant, ce polar SM (...) afflige à mesure qu'il révèle son fétichisme stérile et son incapacité à faire vivre toute situation.
Télérama
Là, c'est la cata : sadisme crétin, esthétisme benêt, hiératisme fumeux : comme anesthésiées, de pauvres filles se traînent sans raison, d'un plan à l'autre, entre Hongkong et Macao...