Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Critikat.com
par Arnaud Hée
Claire Denis nous plonge ici dans une Afrique abstraite et cauchemardesque ; White Material est une oeuvre rude et remuante, d'une densité cinématographique peu commune.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Anne Diatkine
[Les scénaristes] portent à la vérité des sensations et des détails une attention scrupuleuse, que le cinéma oublie si souvent.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Excessif
par Romain Le Vern
On sort de là éberlué, sans prendre conscience qu'on vient de voir un grand film.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Eric Libiot
www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Marianne
par Danièle Heymann
White Material, porté par une actrice magnifique, est politiquement incorrect et artistiquement admirable.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Le film, un cauchemar éveillé à l'odeur de charnier lavé de tout regard compassionnel, repose tout entier sur les épaules d'Huppert, apparemment cantonnée à des actions purement physiques, et une fois de plus exceptionnelle.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
Pour: Claire Denis est l'une des rares cinéastes françaises à aller jusqu'au bout de ses hantises, à mettre en scène la vérité ultime de certaines pulsions (....). Il y a quelque chose de bestial - mais aussi de cathartique - dans sa vision.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) Claire Denis apporte une nouvelle perspective avec ce conte cruel sur la fin de la colonisation. La réalisatrice fait ainsi corps avec la terre africaine dans laquelle évoluent des personnages hallucinés dont les peaux incroyablement blanches se détachent sur des paysages aux couleurs chaleureuses. Leur passion pour ce continent est le moteur d'un film fort comme un arabica serré.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Brazil
par Franck Unimon
Michel Subor et Isaac de Bankolé sont tous deux brûlants de présence. Christophe Lambert est étonnant.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Ce léger intervalle entre la réalité et la perception que l'on en a que travaillent l'écriture de Marie NDiaye et le cinéma de Claire Denis : l'entre-deux comme désir.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Le film brille comme un voyage immobile se consumant de l'intérieur.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
ce tableau du chaos offre à Claire Denis de livrer son film le plus abouti, le plus convaincant depuis longtemps (...) "White Material" ou la rencontre d'une cinéaste et d'une comédienne, d'un monde qui change et d'un autre condamné à s'effacer, d'une ; énergie de la survie et d'un désir de vie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Dans cette représentation, à la fois élaborée, mystérieuse et très vraisemblable de l'Afrique, il n'est pas tant question de bons ou de méchants que d'égarements et de brusqueries, d'impasses et de méprises.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La beauté du cinéma de Claire Denis tient à cette manière d'aimanter le spectateur à sa rêverie, comme lui-même divague sur celle du cinéma, en s'inscrivant dans une généalogie esthétique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Olivier Séguret
White Material n'est pas un "truc de blancs". C'est une perle noire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Jean A. Gili
White Material jette un oeil terrifiant sur les soubresauts d'une Afrique postcoloniale qui n'a pas encore réglé ses comptes avec la présence des Blancs et qui ne peut s'émanciper que dans le chaos.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gérard Delorme
Claire Denis adopte un point de vue fataliste (...) une façon de confronter le regard du spectateur, qui est dans la certitude, à celui du personnage, foncièrement dans le doute.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheeze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
L'Humanité
par Jean Roy
Nous sommes là dans un film d'atmosphère, vécu de l'intérieur (...). Reste le sentiment qu'à s'intéresser aux malheurs d'une Blanche plutôt que d'épouser un point de vue africain, le film y a laissé des plumes (...).
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir le point.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Metro
par Rania Hoballah
Un film sans concession qui déroutera ceux qui ne sont pas familiers de l'univers de la réalisatrice.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Alain Spira
Claire Denis signe un beau portrait de femme à la tête dure. Isabelle Huppert, sans surprise, tenait déjà ce rôle dans Un barrage contre le Pacifique. Un sentiment de réchauffé.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
La Croix
par Arnaud Schwartz
Pourtant (...) on aurait aimé se laisser davantage happer par White Material. (...) Comme si les moyens ne nous étaient pas donnés de partager l'attachement de Maria à cette terre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par La rédaction
Une version africaine de Barrage contre le Pacifique où l'on retrouve une Isabelle Huppert combative et maussade, omniprésente. Pas le film le plus original de Claire Denis.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Télérama
par Jacques Morice
Contre: (...) on regarde ce théâtre de la débâcle de loin, froidement, en vibrant à peine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
Claire Denis nous plonge ici dans une Afrique abstraite et cauchemardesque ; White Material est une oeuvre rude et remuante, d'une densité cinématographique peu commune.
Elle
[Les scénaristes] portent à la vérité des sensations et des détails une attention scrupuleuse, que le cinéma oublie si souvent.
Excessif
On sort de là éberlué, sans prendre conscience qu'on vient de voir un grand film.
L'Express
www.lexpress.fr
Marianne
White Material, porté par une actrice magnifique, est politiquement incorrect et artistiquement admirable.
TéléCinéObs
Le film, un cauchemar éveillé à l'odeur de charnier lavé de tout regard compassionnel, repose tout entier sur les épaules d'Huppert, apparemment cantonnée à des actions purement physiques, et une fois de plus exceptionnelle.
Télérama
Pour: Claire Denis est l'une des rares cinéastes françaises à aller jusqu'au bout de ses hantises, à mettre en scène la vérité ultime de certaines pulsions (....). Il y a quelque chose de bestial - mais aussi de cathartique - dans sa vision.
20 Minutes
(...) Claire Denis apporte une nouvelle perspective avec ce conte cruel sur la fin de la colonisation. La réalisatrice fait ainsi corps avec la terre africaine dans laquelle évoluent des personnages hallucinés dont les peaux incroyablement blanches se détachent sur des paysages aux couleurs chaleureuses. Leur passion pour ce continent est le moteur d'un film fort comme un arabica serré.
Brazil
Michel Subor et Isaac de Bankolé sont tous deux brûlants de présence. Christophe Lambert est étonnant.
Cahiers du Cinéma
Ce léger intervalle entre la réalité et la perception que l'on en a que travaillent l'écriture de Marie NDiaye et le cinéma de Claire Denis : l'entre-deux comme désir.
Chronic'art.com
Le film brille comme un voyage immobile se consumant de l'intérieur.
L'Obs
ce tableau du chaos offre à Claire Denis de livrer son film le plus abouti, le plus convaincant depuis longtemps (...) "White Material" ou la rencontre d'une cinéaste et d'une comédienne, d'un monde qui change et d'un autre condamné à s'effacer, d'une ; énergie de la survie et d'un désir de vie.
Le Journal du Dimanche
Dans cette représentation, à la fois élaborée, mystérieuse et très vraisemblable de l'Afrique, il n'est pas tant question de bons ou de méchants que d'égarements et de brusqueries, d'impasses et de méprises.
Le Monde
La beauté du cinéma de Claire Denis tient à cette manière d'aimanter le spectateur à sa rêverie, comme lui-même divague sur celle du cinéma, en s'inscrivant dans une généalogie esthétique.
Libération
White Material n'est pas un "truc de blancs". C'est une perle noire.
Positif
White Material jette un oeil terrifiant sur les soubresauts d'une Afrique postcoloniale qui n'a pas encore réglé ses comptes avec la présence des Blancs et qui ne peut s'émanciper que dans le chaos.
Première
Claire Denis adopte un point de vue fataliste (...) une façon de confronter le regard du spectateur, qui est dans la certitude, à celui du personnage, foncièrement dans le doute.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
L'Humanité
Nous sommes là dans un film d'atmosphère, vécu de l'intérieur (...). Reste le sentiment qu'à s'intéresser aux malheurs d'une Blanche plutôt que d'épouser un point de vue africain, le film y a laissé des plumes (...).
Le Point
Voir le point.fr
Metro
Un film sans concession qui déroutera ceux qui ne sont pas familiers de l'univers de la réalisatrice.
Paris Match
Claire Denis signe un beau portrait de femme à la tête dure. Isabelle Huppert, sans surprise, tenait déjà ce rôle dans Un barrage contre le Pacifique. Un sentiment de réchauffé.
La Croix
Pourtant (...) on aurait aimé se laisser davantage happer par White Material. (...) Comme si les moyens ne nous étaient pas donnés de partager l'attachement de Maria à cette terre.
Le Figaroscope
Une version africaine de Barrage contre le Pacifique où l'on retrouve une Isabelle Huppert combative et maussade, omniprésente. Pas le film le plus original de Claire Denis.
Télérama
Contre: (...) on regarde ce théâtre de la débâcle de loin, froidement, en vibrant à peine.