Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
Brisseau (...) filme [les ébats des jeunes femmes] en beauté par la grâce des cadrages et des compositions, d'un travail scrupuleux de la lumière qui étreint et sculpte.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Les Anges exterminateurs est une sorte de mélo-thriller. Les scènes érotiques y sont comme les morceaux de bravoure d'un film d'action qui s'organiseraient selon les principes d'une montée chromatique et dramatique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Louis Guichard
POUR Après sa condamnation, Jean-Claude Brisseau n'a pas fait appel : il a fait un film (...) Un film bizarre, baroque, bancal, peut-être. Mais aujourd'hui, cette nécessité, ou fatalité (...), imprègne Les Anges exterminateurs. Et lui donne une intensité spéciale, précieuse en soi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Eric Coubard
(...) tous devraient se ranger sous sa bannière pour sa formidable aisance à dénicher des perles rares (...)
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Cahiers du Cinéma
par Cyril Neyrat
L'obsession sexuelle de Frédéric/Brisseau n'est pas manie lubrique, mais passion du cinéma. Filmer le plaisir féminin, c'est pour lui chercher le coeur du cinéma, sa zone de plus haute intensité.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
La frontalité de ses visions érotiques, ces filles qui se masturbent sans que plane au dessus d'elles un quelconque sentiment de transcendance, cette frontalité de la représentation participe de cette mise à nu [du cinéaste]. C'est peut-être ce qu'il y a de plus rare et de plus beau aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) ce qui fait aussi la singularité de ce film (...) c'est le mélange entre sophistication et sincérité frontale, entre haute ambition et pauvreté de moyens (...) qui fait de Brisseau un cinéaste si étrange et unique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Frank Kausch
(...) ce chant à la désobéissance fertile que sont les "Les Anges exterminateurs" résonne avant tout par la punition qu'il offre à ses personnages, brisés d'avoir voulu plus.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Loin de se poser en bouc émissaire ou en martyr innocent, Brisseau explique que, comme le disait en substance l'un de ses illustres confrères, le cinéma est l'art de faire faire de vilaines choses à de jolies personnes.
Fluctuat.net
par Manuel Merlet
(...) une ode au corps de la femme, mais aussi au cinéma.(...) beauté fugitive mais évidente.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Obs
par Jacques Drillon
Hélas, texte et scénario sont médiocres ; seules les scènes érotiques sont vraiment splendides.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Eric Loret
(...) le film sait, dans ses soubresauts de génie, se moquer de lui-même, de la bêtise de l'homme livré à ses fantasmes, à son empêtrement désirant. Il n'est pas sûr que Brisseau aura réussi à filmer la masturbation féminine, mais la sienne assurément, mentale, drôle, hénaurme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Sophie Grassin
On a voulu briser les ailes de Brisseau mais, entre deux scènes saphiques et picturales (...) [il] réaffirme avec force sa volonté de ne rien céder.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Cinématographiquement, l'intérêt est relatif. Mais il ne réside pas dans les carences visuelles (nombre impressionnant de faux raccords) mais dans le fait qu'il est mû par l'urgence. C'est le film de la dernière chance et c'est peut-être ce qui le rend touchant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Éric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
Entre deux séquences saphiques plutôt bien filmées, [les spectateurs] doivent supporter les états d'âme sentencieux [du double de Brisseau] à l'écran, les apparitions-disparitions d'une grand-mère, et des messages abscons (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
MCinéma.com
par Camille Brun
On ne se prête jamais à cet immodeste jeu, agacé que l'on est par la post-synchro foirée, les fantômes ridicules qui donnent son titre au film, les dialogues faussement profonds qui n'en finissent jamais.
Paris Match
par Alain Spira
A l'exception d'une scène de triolisme sahique, il faut l'avouer assez émoustillante, Les Anges exterminateurs sont confondants de simplisme et de mauvaise foi.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Score
par Audrey Zeppegno
Les vicelards y verront une revanche, les autres tâcheront d'y décripter une mystique coïtale qui s'essoufle vite, faute de souffre.
La critique complète est disponible sur le site Score
Elle
par Michel Palmiéri
Que Jean-Claude Brisseau ait eu des problèmes avec la justice (...) serait ici hors sujet si le cinéaste n'avait cru bon de nous infliger un plaidoyer pro domo, où la malhonnêteté de la démarche intellectuelle le dispute à la médiocrité de l'oeuvre présentée.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
De duo en triolisme féminins, ce film, imprégné d'une dynamique de croupe, sert à Jean-Claude Brisseau de plaidoyer tarabiscoté à sa cause.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La rédaction
(...) la chair est triste. Concrètement, il n'a rien à dire ni à démontrer dans une succession de scènes sans émoi qui valent à son film d'être interdit aux moins de 16 ans.
Télérama
par Pierre Murat
CONTRE Trop visiblement construit comme un plaidoyer pro domo, le filme semble vouloir excuser à toute force les actes, même les plus contestables, de tout artiste, au nom de la pureté de ses intentions.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Brisseau (...) filme [les ébats des jeunes femmes] en beauté par la grâce des cadrages et des compositions, d'un travail scrupuleux de la lumière qui étreint et sculpte.
Le Monde
Les Anges exterminateurs est une sorte de mélo-thriller. Les scènes érotiques y sont comme les morceaux de bravoure d'un film d'action qui s'organiseraient selon les principes d'une montée chromatique et dramatique.
Télérama
POUR Après sa condamnation, Jean-Claude Brisseau n'a pas fait appel : il a fait un film (...) Un film bizarre, baroque, bancal, peut-être. Mais aujourd'hui, cette nécessité, ou fatalité (...), imprègne Les Anges exterminateurs. Et lui donne une intensité spéciale, précieuse en soi.
Brazil
(...) tous devraient se ranger sous sa bannière pour sa formidable aisance à dénicher des perles rares (...)
Cahiers du Cinéma
L'obsession sexuelle de Frédéric/Brisseau n'est pas manie lubrique, mais passion du cinéma. Filmer le plaisir féminin, c'est pour lui chercher le coeur du cinéma, sa zone de plus haute intensité.
Chronic'art.com
La frontalité de ses visions érotiques, ces filles qui se masturbent sans que plane au dessus d'elles un quelconque sentiment de transcendance, cette frontalité de la représentation participe de cette mise à nu [du cinéaste]. C'est peut-être ce qu'il y a de plus rare et de plus beau aujourd'hui.
Les Inrockuptibles
(...) ce qui fait aussi la singularité de ce film (...) c'est le mélange entre sophistication et sincérité frontale, entre haute ambition et pauvreté de moyens (...) qui fait de Brisseau un cinéaste si étrange et unique.
Positif
(...) ce chant à la désobéissance fertile que sont les "Les Anges exterminateurs" résonne avant tout par la punition qu'il offre à ses personnages, brisés d'avoir voulu plus.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Loin de se poser en bouc émissaire ou en martyr innocent, Brisseau explique que, comme le disait en substance l'un de ses illustres confrères, le cinéma est l'art de faire faire de vilaines choses à de jolies personnes.
Fluctuat.net
(...) une ode au corps de la femme, mais aussi au cinéma.(...) beauté fugitive mais évidente.
L'Obs
Hélas, texte et scénario sont médiocres ; seules les scènes érotiques sont vraiment splendides.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
(...) le film sait, dans ses soubresauts de génie, se moquer de lui-même, de la bêtise de l'homme livré à ses fantasmes, à son empêtrement désirant. Il n'est pas sûr que Brisseau aura réussi à filmer la masturbation féminine, mais la sienne assurément, mentale, drôle, hénaurme.
Première
On a voulu briser les ailes de Brisseau mais, entre deux scènes saphiques et picturales (...) [il] réaffirme avec force sa volonté de ne rien céder.
aVoir-aLire.com
Cinématographiquement, l'intérêt est relatif. Mais il ne réside pas dans les carences visuelles (nombre impressionnant de faux raccords) mais dans le fait qu'il est mû par l'urgence. C'est le film de la dernière chance et c'est peut-être ce qui le rend touchant.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
Entre deux séquences saphiques plutôt bien filmées, [les spectateurs] doivent supporter les états d'âme sentencieux [du double de Brisseau] à l'écran, les apparitions-disparitions d'une grand-mère, et des messages abscons (...)
MCinéma.com
On ne se prête jamais à cet immodeste jeu, agacé que l'on est par la post-synchro foirée, les fantômes ridicules qui donnent son titre au film, les dialogues faussement profonds qui n'en finissent jamais.
Paris Match
A l'exception d'une scène de triolisme sahique, il faut l'avouer assez émoustillante, Les Anges exterminateurs sont confondants de simplisme et de mauvaise foi.
Score
Les vicelards y verront une revanche, les autres tâcheront d'y décripter une mystique coïtale qui s'essoufle vite, faute de souffre.
Elle
Que Jean-Claude Brisseau ait eu des problèmes avec la justice (...) serait ici hors sujet si le cinéaste n'avait cru bon de nous infliger un plaidoyer pro domo, où la malhonnêteté de la démarche intellectuelle le dispute à la médiocrité de l'oeuvre présentée.
Le Parisien
De duo en triolisme féminins, ce film, imprégné d'une dynamique de croupe, sert à Jean-Claude Brisseau de plaidoyer tarabiscoté à sa cause.
Ouest France
(...) la chair est triste. Concrètement, il n'a rien à dire ni à démontrer dans une succession de scènes sans émoi qui valent à son film d'être interdit aux moins de 16 ans.
Télérama
CONTRE Trop visiblement construit comme un plaidoyer pro domo, le filme semble vouloir excuser à toute force les actes, même les plus contestables, de tout artiste, au nom de la pureté de ses intentions.