Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Brazil
par Christophe Goffette
Au nom de la liberté est bien équilibré, bien tenu, bien amené, c'est à la fois un film d'action, un film de guerre, un film historique, une histoire d'amour....
La critique complète est disponible sur le site Brazil
L'Obs
par François Forestier
Une affaire d'hier ? Non. Car Au nom de la liberté montre comment on fabrique un terroriste. La suspicion génère la réaction, l'injustice provoque le feu.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Incarné par un Tim Robbins ambigu, à la fois impitoyable, cynique et fraternel, le policier est au-delà du stéréotype du méchant raciste blanc.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
En dépitde ces quelques maladresses, Au nom de la liberté réussit à panacher gaieté et politique, un mélange rare et stimulant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Frédéric Strauss
La scénariste, Shawn Slovo (...) a reconstitué cette page d'histoire en y engageant une sensibilité et une conviction personnelles. Elle a aussi voulu y ajouter un brin de sentimentalisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Africultures.com
par Olivier Barlet
La maîtrise technique du thriller captive et distraie mais schématise le temps passé sans dire grand chose pour le temps présent.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
(...) ce film raconte la fin de l'apartheid avec émotion et dignité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Alain Grasset
Touchant et nécessaire, dramatique et prenant, ce film de facture classique mais efficace vaut aussi par l'interprétation remarquable de Derek Luke (...) et de Tim Robbins (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
MCinéma.com
par Anthony Clément
Ecartelé entre le document historique ponctué d'images d'archives et le thriller politique sous fond d'histoire d'amour, Au nom de la liberté n'explore vraiment aucune de ces pistes. Il laisse au final un petit goût d'inachevé.
Metro
par Jérôme Vermelin
(...) un passionnant thriller de Philip Noyce (...)
La critique complète est disponible sur le site Metro
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Le film jongle avec les symboles et prétend résumer par le spectacle toute la complexité de quarante ans d'apartheid.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
par Bayon
La fadeur du navet "engagé" afférent est indigne du martyr de l'Afrique du Sud, crime contre l'humanité toujours impuni. La morale du film est l'oubli noir des offenses roses, son seul intérêt Tim Robbins dans la peau du Mengele boer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Phillip Noyce (...) reste figé dans un propos démonstratif très appliqué.
Positif
par Eithne O'Neill
Au lieu de compassion, le film suscite l'indifférence, un agacemenr, le désir de voir une touche d'ironie ou des nuances.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Score
par Vincent Guignebert
(...) la résonance reste ici dans le registre du récit édifiant : on est forcé d'être d'accord. Heureusement, on n'est pas forcé d'aimer ça.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
(...) le film, à trop vouloir coller à la réalité, reste désespérément plat. Dommage.
Brazil
Au nom de la liberté est bien équilibré, bien tenu, bien amené, c'est à la fois un film d'action, un film de guerre, un film historique, une histoire d'amour....
L'Obs
Une affaire d'hier ? Non. Car Au nom de la liberté montre comment on fabrique un terroriste. La suspicion génère la réaction, l'injustice provoque le feu.
Le Monde
Incarné par un Tim Robbins ambigu, à la fois impitoyable, cynique et fraternel, le policier est au-delà du stéréotype du méchant raciste blanc.
Les Inrockuptibles
En dépitde ces quelques maladresses, Au nom de la liberté réussit à panacher gaieté et politique, un mélange rare et stimulant.
Télérama
La scénariste, Shawn Slovo (...) a reconstitué cette page d'histoire en y engageant une sensibilité et une conviction personnelles. Elle a aussi voulu y ajouter un brin de sentimentalisme.
Africultures.com
La maîtrise technique du thriller captive et distraie mais schématise le temps passé sans dire grand chose pour le temps présent.
Le Journal du Dimanche
(...) ce film raconte la fin de l'apartheid avec émotion et dignité.
Le Parisien
Touchant et nécessaire, dramatique et prenant, ce film de facture classique mais efficace vaut aussi par l'interprétation remarquable de Derek Luke (...) et de Tim Robbins (...)
MCinéma.com
Ecartelé entre le document historique ponctué d'images d'archives et le thriller politique sous fond d'histoire d'amour, Au nom de la liberté n'explore vraiment aucune de ces pistes. Il laisse au final un petit goût d'inachevé.
Metro
(...) un passionnant thriller de Philip Noyce (...)
Chronic'art.com
Le film jongle avec les symboles et prétend résumer par le spectacle toute la complexité de quarante ans d'apartheid.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
La fadeur du navet "engagé" afférent est indigne du martyr de l'Afrique du Sud, crime contre l'humanité toujours impuni. La morale du film est l'oubli noir des offenses roses, son seul intérêt Tim Robbins dans la peau du Mengele boer.
Ouest France
Phillip Noyce (...) reste figé dans un propos démonstratif très appliqué.
Positif
Au lieu de compassion, le film suscite l'indifférence, un agacemenr, le désir de voir une touche d'ironie ou des nuances.
Score
(...) la résonance reste ici dans le registre du récit édifiant : on est forcé d'être d'accord. Heureusement, on n'est pas forcé d'aimer ça.
TéléCinéObs
(...) le film, à trop vouloir coller à la réalité, reste désespérément plat. Dommage.