En vue d’obtenir le prix Pulitzer, un journaliste cynique et ambitieux (Peter Breck) se fait passer pour un fou et interner dans un asile afin d’enquêter sur un meurtre. Mais plus il se rapproche de l’assassin, plus sa propre folie le guette...
Caxton, petite ville du sud des États-Unis, dans les années 1950. Un homme en complet blanc descend d’un car, valise à la main, et se rend à l’hôtel le plus proche. Il se nomme Adam Cramer et travaille pour une organisation « à vocation sociale ».
Hud est un jeune homme sans complexe et sans principes, que son père Homer ne tient pas en haute estime. Dans leur foyer, se trouve aussi le neveu et petit-fils, Lon, qui admire son oncle. La seule femme de la maisonnée est Alma, la gouvernante. Arrive une catastrophe...
Marcello Rubini, a quitté sa province italienne pour Rome dans le but de devenir écrivain. Mais celui-ci est devenu chroniqueur dans un journal à sensations. Il fait donc la tournée des lieux dans lesquels il est susceptible de décrocher quelques scoops afin d’alimenter sa chronique.
Après deux meurtres de sang-froid, Robert Stroud est transféré dans les quartiers de haute sécurité de la prison d’Alcatraz. Un jour, dans la cour, il trouve un moineau blessé. Il le recueille, le soigne et l'apprivoise. Etudiant sans relâche, il passe maître en ornithologie et devient "l’homme aux canaris".
Les dernières 48 heures d’un homme perdu. Alain quitte la maison de santé où il a suivi une cure de désintoxication. Lydia, sa maîtresse, une amie de sa femme Dorothy qui l’a quitté, veut l’aider. Alain se rend à Paris et commence à travers les bars et chez d’anciens amis une sorte de recherche de lui-même en remontant le passé. Au terme de ce pèlerinage, Alain va se préparer au grand départ. Sur la glace de sa cheminée il a inscrit une date et sur la table de chevet, le revolver est prêt.
Lydia et Giovanni sont mariés, mais leur amour est à l'agonie. Après une nuit mouvementée, où chacun va aller de rencontres en séductions, ils se retrouveront pour une dernière étreinte...