Le 1er avril 1944, à 22h44, un groupe de résistants commet un sabotage sur la voie ferrée d'Ascq, près de Lille, avec pour objectif de ralentir l'approvisionnement d'armes et de marchandises allemandes en direction de la Normandie. Une explosion retentit et le train s'immobilise. Les résistants l'ignorent mais le train est en réalité occupé par 400 SS qui massacreront 86 innocents en représailles. 80 ans plus tard, quelques-uns des derniers témoins de ce drame méconnu sortent du silence et témoignent pour la première fois des horreurs commises cette nuit-là par la 12e Panzerdivsion SS, la Hitlerjugend.
De la pédophilie aux réseaux pédocriminels, 8 survivantes témoignent de leur incroyable parcours au cœur d’un système innommable qui touche tous les milieux.
Michel Legrand entre au Conservatoire de Paris à l’âge de 10 ans et s’impose très vite comme un surdoué. 3 Oscars et 75 ans plus tard, ce véritable virtuose n’a jamais cessé de repousser les frontières de son art.
Parmi les millions de personnes ayant vécu une expérience de mort imminente, les témoins de ce docufiction rapportent des faits déconcertants tels qu’un détachement corporel et des perceptions extrasensorielles, confirmés par des proches et par le monde médical. Sonia Barkallah nous plonge au cœur de son enquête à travers des témoignages inédits, émouvants, au-delà des frontières, qui déstabilisent les spécialistes du cerveau, du coma et de la conscience.
Devenir alpiniste et gravir l’Everest en 1 an jour pour jour ? C’est le rêve de Inoxtag, un jeune Youtuber de 21 ans ne pratiquant pas de sport. En le suivant pendant 1 an, nous découvrirons dans ce documentaire tout son changement de vie pour atteindre ce rêve.
Averroès et Rosa Parks : deux unités de l’hôpital Esquirol, qui relèvent du Pôle psychiatrique Paris-Centre. Des entretiens individuels aux réunions « soignants-soignés », le cinéaste s’attache à montrer une certaine psychiatrie, qui s’efforce encore d’accueillir et de réhabiliter la parole des patients.
"Bienvenue dans ma vie", cette phrase, Sylvie Hofmann la répète à longueur de journée ou presque. Sylvie est cadre infirmière depuis 40 ans à l’hôpital nord de Marseille. Sa vie, c’est courir. Entre les patients, sa mère, son mari et sa fille, elle consacre ses journées aux autres depuis toujours.
« C’est quoi ce pays d’assistés ? De feignasses ? » Sur le plateau des Grandes Gueules, l’avocate parisienne Sarah Saldmann s’emporte: « Le Smic, c’est déjà pas mal. » D’où l’invitation du député François Ruffin : « Je vous demande d’essayer de vivre, madame Saldmann, pendant trois mois, avec 1 300 €. - Admettons, mais une semaine, ça sera déjà pas mal. » Alors : peut-on réinsérer les riches ? Une comédie documentaire, avec des rires et des larmes, qui met à l’honneur ceux qui tiennent le pays debout.
Ils sont de toutes origines et ont vécu près d’un siècle. Ils ont traversé les bouleversements de l’histoire. Ils sont drôles, émouvants, rebelles. Ils nous surprennent et nous émerveillent. Pourtant, on entend rarement leur voix. Ce film est une invitation au voyage, à travers la France, à leur rencontre : les Vieux.
Penseur inclassable, la base de son enseignement est la conviction que les mutations fondamentales de la société ne peuvent aboutir qu'au prix d'une transformation de la conscience individuelle. Ce film veut nous aider à pénétrer l'une des pensées les plus fascinantes du XXème siècle. Son message continue de marquer par sa profondeur et son intemporalité. Jiddu Krishnamurti est l'une des plus authentiques figures spirituelles.
La Fatiha est la première sourate du Coran. Dans la tradition musulmane, c'est aussi le nom qu'on utilise pour la cérémonie d'hommage à un défunt. Aujourd'hui, c'est la fatiha d'Amir, le père de Feurat Alani, journaliste français et irakien. L'occasion pour ses proches de revenir sur l'histoire d'Amir, et pour Feurat de revenir sur sa propre histoire et celle de l'Irak.
1993. Emmanuel croit trouver un refuge auprès de Hubert, le curé de son village en Alsace. Mais un après-midi pluvieux, Emmanuel ressort du presbytère après avoir juré de ne jamais raconter ce qui s’y est passé.Trente ans plus tard, Emmanuel se souvient de ce jour. À la gendarmerie, il active discrètement l’enregistreur de son téléphone et commence sa déposition.
Enceinte de quatre mois, Eugénie Zvonkine perd sa deuxième fille, Marie, à cause d'une interruption médicale de grossesse (IMG). Ce traumatisme personnel, appelé deuil périnatal, pousse Eugénie à entreprendre un voyage cinématographique. Elle filme trois autres mères, Juliette, Ikram et Kamila, qui ont également vécu la perte de leur bébé. Ensemble, elles transforment "Le Sentier des Absents" en une quête pour exprimer la douleur silencieuse de perdre un enfant. Ce film est une exploration intime de leur cheminement à travers le deuil, des ténèbres à l'aube.
Dernier volet du triptyque initié avec Sur l’Adamant puis Averroès & Rosa Parks, le film poursuit sa plongée au sein du pôle psychiatrique Paris centre. Ici, le cinéaste accompagne des soignants bricoleurs au domicile de quelques patients soudain démunis face à un problème domestique, un appareil en panne, etc…