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Synopsis
Si en 2050, les accouchements ne représentent plus qu'une simple formalité, celui qui doit donner naissance à Désiré se révèlera particulièrement douloureux...
Albert Dupontel nous offre ici un court métrage complètement barré, un accouchement en 2050, voilà ce que ça donne et c’est un très bon court métrage d’une quinzaine de minutes, un très bon moments.
La mise en scène est très bonne avec une BO plutôt sympa, tout le monde joue très bien et c’est même très drôle à certains moments. Bref un court métrage qui regorge d’idées brillantes, dommage que la qualité d’image et ...
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NeoLain
5 058 abonnés
4 741 critiques
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4,0
Publiée le 3 février 2011
Albert Dupontel réalise son premier court-métrage avec audace et bouscule les codes sans retenue, une science fiction qui va bien pus loin et donne un avant gout de ce que peut donner le futur de notre société pas si éloigné que cela. Donc nous somme face à une SF d'anticipation, il anticipe la sexualité et les naissances à venir, en tout cas possible et non pas imaginaire. A voir absolument pour ne pas rester ignorant de ce qui nous entoure.
Ricco92
230 abonnés
2 156 critiques
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4,5
Publiée le 6 novembre 2017
Deux ans après avoir débuté dans le one man show, Albert Dupontel signe un court métrage complètement déjanté qui condense tout son univers. On y trouve ainsi déjà la folie qui habite son univers et qui se développera dans ses films suivants. En outre, il s’entoure de solides comédiens encore peu connus qui peupleront plus tard ses longs-métrages (Philippe Uchan, Michel Vuillermoz, Éric Elmosnino ou Nicolas Marié). La mise en ...
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Un visiteur
4,0
Publiée le 13 juin 2009
Ce qui rend passionnant le travail de Dupontel c'est sa faculté à rendre drôle la réflexion, à donner à réflechir d'une manière ludique et délirante. Avec cette première réalisation sous forme de court métrage on se rend compte que c'était déjà quelque chose d'encré chez Dupontel (on peut même remonter jusqu'a ses spectacles) et que son ton acide, provocateur, inspiré et légèrement teinté de péssimisme (réalisme?) était ...
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