Prix du Jury à Cannes en 1992 (Président : Gérard Depardieu), cette suite de "Bouge,pas, meurs,ressuscite" ne vaut pas l'original, et souffre d'un excès de complaisance dans le sordide et l'insolite. Cela reste une curiosité du cinéma soviétique de la dernière période, quand la dénonciation sociale n'était plus un sujet tabou.
Un visiteur
5,0
Publiée le 17 mai 2011
La suite des tribulations de Valerka ... Un film inclassable , d'une simplicité confondante , d'une beauté à couper le souffle , sublimé par le noir et blanc . Peu importe ce que vous entendrez dire à son propos , toute personne qui dit aimer le 7ème art devrait voir ce film qui est une véritable leçon de cinéma et de mise en scène . La preuve qu'il n'est pas besoin de millions de dollars pour réaliser des chefs-d'oeuvre , seul le ...
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