Parce que j'étais peintre
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poster du film Bande-annonce Parce que j'étais peintre
Presse
3,3 12 critiques
Spectateurs
3,6 12 notes, 2 critiques
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noter :
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1.5 Mauvais
2 Pas terrible
2.5 Moyen
3 Pas mal
3.5 Bien
4 Très bien
4.5 Excellent
5 Chef-d'oeuvre

Synopsis

Ce film mène une enquête inédite parmi les oeuvres réalisées clandestinement dans les camps nazis. Il dialogue avec les rares artistes déportés encore vivants et avec les conservateurs de ces oeuvres : des émotions qu'elles suscitent, de leur marginalisation, leurs signatures ou leur anonymat, de leur style, ainsi que de la représentation de l'horreur et de l'extermination.

Surtout peut-être, il contemple longuement les dessins, croquis, lavis, peintures, conservés dans les fonds en France, en Allemagne, en Israël, en Pologne, en Tchéquie, en Belgique, en Suisse...

Dans ce voyage parmi ces fragments d'images clandestines et les ruines des anciens camps, il propose une quête sensible entre visages, corps et paysages, pour questionner la notion d'oeuvre et interroger frontalement l'idée de beauté. L'enjeu en est dérangeant, mais peut-être pourrons-nous mieux nous figure ce que furent ces camps, appréhender les possibles de l'art et éprouver ce qu'est l'honneur d'un artiste - aussi infime et fragile que soit le geste de dessiner.

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4,5
Publiée le 1 novembre 2014
C’est une thématique très complexe qu’a choisie Christophe Cognet pour son 1er long métrage documentaire. Peut-on évoquer la notion d’art, et donc de fait d’esthétique, par rapport aux œuvres clandestines réalisées par quelques artistes amateurs ou professionnels dans les camps de la mort ? Sujet polémique, auquel il est difficile d’apporter une réponse franche. D’ailleurs le réalisateur se garde bien de le faire, il ...
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4,0
Publiée le 24 mars 2014
Ce documentaire nous propose une rencontre très émouvante avec des survivants des camps de la mort qui, comme ils avaient l’habitude de dessiner, ont représenté à la hâte, en cachette et sur des bouts de papiers improbables ce dont ils étaient témoins avec pour certains le désir de laisser une trace. Le film est très respectueux, ne joue pas sur l’émotion superficielle mais nous atteint au plus profond. Il pose la question de la ...
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Premier long métrage

C'est le premier long-métrage pour Christophe Cognet après plusieurs réalisations de courts et moyens-métrages. Il signe ici sa onzième réalisation.

Un triptyque ?

Parce que j'étais peintre est la troisième réalisation que Christophe Cognet signe à propos des peintres dans les camps. Ses films "L'Atelier de Boris" en 2004 et "Quand nos yeux sont fermés" en 2005 avaient déjà pour thème les peintures clandestines des artistes déportés à Buchenwald.

Un projet de longue haleine...

Il aura fallu dix longues années à Christophe Cognet pour parvenir à réaliser son film. Parce que j'étais peintre est également le premier film à se concentrer sur ces oeuvres clandestines mêlant témoignages d'anciens déportés et restaurateurs de ces oeuvres qui témoignent de l'horreur vécue. Le film se veut être un questionnement sur la notion de beauté dans l'horreur.

Infos techniques

Nationalités France, Allemagne
Distributeur Jour2fête
Année de production 2013
Date de sortie DVD -
Date de sortie Blu-ray -
Date de sortie VOD 01/03/2023
Type de film Long métrage
Secrets de tournage 10 anecdotes
Box Office France 1 375 entrées
Budget -
Langues Français, Allemand, Hébreu, Polonais
Format production -
Couleur Couleur
Format audio -
Format de projection -
N° de Visa 128731