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Synopsis
Tarsilla, Fortunata et Camilla sont trois vieilles filles en mal d’amour qui viennent de faire un bel héritage. Emerenziano, fonctionnaire des impôts et adepte de la théorie des trois «C» (caresse, chaleur, confort), flaire l’aubaine et cherche à épouser l’une d’elles. Mais elles sont trois... à satisfaire...
Une comédie italienne avec un thême familier et un déroulement classique il ne faut pas s'attendre à de grosses surprises. Ugo Tognazzi est à son affaire en coq de basse cour. Il y avait de la place pour un peu plus de folie tout de même.
zorro50
119 abonnés
249 critiques
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5,0
Publiée le 7 décembre 2018
Ce film d'Alberto Lattuada avec l'excellentissime Ugo Tognazzi flanqué de 3 vieilles filles riches en mal d'amour, est un pur chef d'oeuvre. J'ai dû le voir une quinzaine de fois et je ne m'en lasse pas. C'est drôle, caustique, ironique, cynique, mais c'est aussi attendrissant et même romanesque. Des films géniaux comme celui-là on n'en fait plus depuis longtemps. Je le recommande vivement.
jeanmarcd
13 abonnés
174 critiques
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4,0
Publiée le 18 août 2020
Une comédie italienne pas très connue mais qui mérite d'être vue. C'est rythmé, la distribution est parfaite, avec juste ce qu'il faut de férocité.
Frédéric P
15 abonnés
185 critiques
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2,5
Publiée le 7 février 2019
Cette comédie de Lattuada avec Tognazzi n’a pas aussi bien vieilli que d’autres comédies comme Mafioso du même réalisateur avec Sordi.
Tognazzi campe la médiocrité d’un quinquagénaire qui jette son dévolu sur 3 héritières coincées.A son âge il ne cherche plus les aventures mais seulement « carezze, caldo, comodo ». Mais après les avoir honorées toutes les trois sa situation de mâle dominant changera du tout au tout en ...
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Venez donc prendre le café... chez nous ! est inspiré du roman La spartizione ("le partage") de Piero Chiara, publié en 1964. Le film se situe néanmoins dans les années 70 tandis que le livre se déroule dans les années 30, en pleine période fasciste. Ainsi, le métrage n'est plus une satire politique mais sociale, critiquant les moeurs de l'époque, la bureaucratie et la représentation de l’Eglise, devenue une institution sociale et non plus un lie
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