L'uomo di vetro (litt. "L'homme de verre"), tiré de l'ouvrage du même nom de Salvatore Parlagreco (Ed. Bompiani) qui s'inspire de la vie du premier repenti de la Mafia, Leonardo Vitale, qui décida d'enfreindre l'omerta qui protège les rouages mafieux, un choix qui le conduisit à la prison et à l'hôpital psychiatrique judiciaire avant de lui coûter sa vie. En 1984, alors qu'il avait été remis en liberté depuis quelques mois, Vitale fut assassiné par un mercenaire.