Vive la baleine est un cri d'alarme poétique. Marker se refuse à réciter bêtement la vulgate écologique, teintée de sermons larmoyants, cette démarche pouvant seoir à des militants, sûrement pas à des artistes. Sa défense des baleines et des écosystèmes qui en dépendent passe au contraire par une prose divine, dans laquelle le cétacé y est sublimé, presque déifié. Ennemis éternels, liés par le sang : sous l'œil de l'auteur, ...
Lire plus