Avec pour slogan « un vent frais pour faire bouger la politique », M. Wichmann fait campagne dans la région d’Uckermark où son parti la CDU est historiquement minoritaire. Sur les foires, les marchés, dans les maisons de retraite, il déploie son parasol bancal et diffuse ses cartes, flyers et stylos en essayant de convaincre les électeurs. Dans ce combat un peu absurde, les désirs, espoirs et doutes des gens font surface et mettent en évidence les difficultés de la politique face à une société désillusionnée.