Mon compte
    Be Happy
    Note moyenne
    2,7
    1508 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Be Happy ?

    325 critiques spectateurs

    5
    59 critiques
    4
    79 critiques
    3
    34 critiques
    2
    55 critiques
    1
    48 critiques
    0
    50 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    hpjvswzm5
    hpjvswzm5

    46 abonnés 459 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 septembre 2014
    J'ai trouvé ça drôle et frais, Sally Hawkins est géniale dans ce rôle.

    Le film n'est pas aussi simple qu'on pourrait le croire, je pense que Mike Leigh est un type intelligent, et que malgré une histoire de base et un synopsis qui laisse méfiant, il arrive à rendre ses personnages touchants, intéressants, vrais, sans musique dégueulasse (sauf à la fin, mais finalement ça passe) sans pathos et c'est là que je trouve le film intelligent. Cette fille elle est un peu dingue dans sa tête, mais je trouve que le réalisateur arrive à nous la rendre sympathique, et sort finalement du cliché de la fille qui fait face à tout les les épreuves de la vie, entrepreneuse, qui veut se trouver un mec et bla bla bla, genre Bridget Jones (pas vu, mais pas du tout envie). Donc ouais, du coup c'est bien, j'ai ri, j'ai passé un bon moment en présence de vrais personnages qui ont une profondeur (comme le moniteur d'auto-école).

    J'en verrai d'autres de Leigh.
    Gabith_Whyborn
    Gabith_Whyborn

    39 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 février 2014
    Be Happy, un film qui fait du bien, qui donne envie de changer pour être mieux avec sois-même et avec les autres. Un film qui donne envie de changer notre vision du monde, de partager le bonheur et de rendre les autres heureux. Un film qui motive a être plus heureux et toujours garder le smile!
    J'ai découvert Sally Hawkins dans "Blue Jasmine" et dans ce film je suis tomber sous son charme.
    Je trouve qu'elle incarne la femme parfaite dans son rôle de "Poppy", si j'avais quelqu'un comme ça dans mon entourage je serais bien plus heureux encore.
    C'est un film qui doit être vu car il donne de l'énergie positive.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 janvier 2014
    Be Happy est un film quelque peu déroutant. Pourquoi réaliser un film sur une trentenaire heureuse de vivre ? Où Mike Leigh veut-il en venir ? Le film est construit comme un ensemble de rencontres, où Poppy (Sally Hawkins) complètement délurée et passablement agaçante (mais sans doute suis-je aigri) se trouve face à une personne soit indifférente, soit folle, soit hystérique et en colère, soit désoeuvrée. Ces rencontres faites plus ou moins au hasard montrent à Poppy que la vie est loin d’être aussi belle qu’elle veut bien le dire. Mike Leigh profite de son personnage pour peindre une société triste et presque malade, où le bonheur n’a que rarement sa place. Le personnage le plus emblématique du film est sans conteste le moniteur d’auto-école Scott (Eddy Marsan), totalement fou, aigri, méfiant voire paranoïaque. Dans une scène finale éclatante, sa rage explose et il avoue avoir été séduit par Poppy qui se trouve démunie devant ce spectacle de souffrance qu’elle n’imaginait pas. En fait, durant tout le film, Poppy énerve tout le monde -à cause de sa joie de vivre, de ses vêtements et de ses attitudes langagières- y compris le spectateur. C’est là qu’est le nœud du film : Be Happy semble se vouloir comme baromètre du bonheur.
    Remlap AruaL
    Remlap AruaL

    1 abonné 25 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 août 2013
    Ce petit film est plutôt réussi. Léger, drôle et proposant une alternative à notre société parfois déprimante, 'Be happy' rempli tous ses objectifs. Les bons points : les dialogues incroyablement bien écrits (le résultat est très juste!), la brochette d'acteurs principaux et la réalisation qui ose un peu d'originalité!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 juin 2013
    Une horreur... Plus le film avance, plus l'héroïne nous crée un sentiment de haine. Son rire constant accompagné de répliques toujours plus vives et débiles fait de ce film une nullité sans nom. Alors faut-il chercher un sens existentiel voire philosophique à sa crédulité quotidienne ? Je ne sais pas ou je ne l'ai pas trouvé. J'ai juste eu un sentiment de colère intense qui, même après la fin du film, a continué à s'animer en moi.
    BeatJunky
    BeatJunky

    155 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 avril 2013
    Feel Good movie! ce film vous met de bonne humeur grâce à la joie de vivre de son actrice principale Sally Hawkins qui est excellente! Le scénario n'est pas exceptionnel mais suffit à nous intéresser au parcours de Popy et ses heures de conduite avec ce moniteur frustré et névrosé. Popy veut rendre tout le monde heureuse mais se heurte ici à ce moniteur aigri déçu de la vie et certainement irrécupérable. Elle doit se rendre à l'évidence que tout le monde n'a pas cette joie de vivre en soi. C'est très agréable à suivre même s'il n' y a pas vraiment d'intérêt, d'enjeu pour nous captiver. Seul intérêt: le jeu de lSally Hawkins qui nous livre une belle performance. A voir.
    SansCrierArt
    SansCrierArt

    54 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 février 2013
    Poppy, 30 ans, institutrice, dégage une fantaisie et une gaité hors du commun. Elle partage ses journées entre ses élèves qu’elle soigne avec attention et ses copines. Son travail la passionne, elle s’éclate aux cours de flamenco et de trampoline et prend des leçons de conduite.

    Poppy croise des personnes qui adhèrent à son euphorie forcenée, d’autres qui en sont irrités et qui parviennent, un peu, à ébranler son optimisme. La joie de vivre exprimée par Poppy est tellement excessive qu’elle semble sur-jouée par le personnage même. Du coup, on cherche ce que cela cache et on ne trouve pas grand chose.
    On ne comprend pas très bien quel message Mike Leigh veut faire passer : qu’on ne peut imposer à ses contemporains une gaité qui n’est pas la leur ? Que le spleen peut se transmettre aux êtres les plus joyeux ? Pas très intéressant.
    www.zabouille.over-blog.com
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    274 abonnés 1 651 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 septembre 2013
    Grand adepte du réalisme social, récompensé d'une Palme à Cannes pour Secrets et Mensonges, auteur de films durs et sombres tels que Naked, All or Nothing ou Vera Drake, Mike Leigh nous prendrait-il à contre-pied avec une pure comédie, comme le suggèrent le titre et l'affiche colorée ? Eh bien pas tout à fait... Il ne faut pas s'attendre à voir Amélie Poulain. L'expression "Be Happy" est ici plus une injonction (un peu vaine) qu'un état. Car, sous le regard du cinéaste, la vie est rarement très rose. Si le film est drôle par moments, sympathique et attachant, c'est grâce au personnage principal, dont la gaieté et l'énergie sont communicatives (mais à la limite du trop-plein parfois). Poppy transcende un constat social qui demeure peu reluisant : sinistrose, frustrations, violence, racisme... L'optimisme a ses limites. Et la comédie aussi ! Mike Leigh croque avec lucidité de petites tranches de vie et dirige parfaitement ses acteurs (épatants). Quant aux dialogues, sous forme de réparties mitraillettes, ils donnent le ton du film : piquants, mais jamais insouciants.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 20 octobre 2012
    L'étoile, c'est pour l'histoire du moniteur d'auto école, seule partie du film ayant un peu de corps. Sinon, le reste c'est un patchwork de saynètes sans lien entre elles... le réalisateur connait un bon prof de flamenco ? Tiens, on va mettre une séance de flamenco dans le film...
    Cluny
    Cluny

    79 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 octobre 2012
    Le générique défile sur un écran où apparaît une Poppy bariolée qui circule à vélo dans Londres, déjà avec un sourire extatique, faisant bonjour de la main deci delà. Elle rentre dans une librairie, tenue par un type taciturne, qu'elle commence à saouler de remarques et de questions. Quand elle ressort de la boutique, son vélo a disparu, ce qui ne lui fait pas perdre son sourire, et lui arrache simplement cette remarque "Je n'ai même pas pu te dire au revoir !". Petite cause, grands effets : puisqu'elle ne veut pas remplacer sa bicyclette chérie, elle va prendre des leçons de conduite.

    Car Poppy est comme ça, incurablement positive, heureuse d'être contente, comme le suggère le titre anglais "Happy-go-lucky", stupidement "traduit" par "Be Happy" : il lui suffit d'être joyeuse, elle ne se prend pas non plus pour une missionnaire de de la bonne humeur, elle attend tout au plus un effet de contagion qu'elle observe auprès de ses copines, de ses collègues, de ses élèves et de sa coloc et meilleure amie. Malgré cette bonhommie, elle est toujours célibataire à 30 ans, et même si le modèle de sa petite soeur mariée, enceinte et déjà préoccupée de son plan de retraite ne peut que la décomplexer, on sent bien qu'il y a comme un manque que masque son éternel sourire.

    Tant de jovialité finit cependant par devenir crispant, et le jeu tout en mimiques de Sally Hawkins couronnée au Festival de Berlin amène le spectateur à se demander combien de temps il tiendrait avant de craquer devant cette débauche de positivité stressante et d'ironie ravageuse, et même son amie de dix ans la supplie d'arrêter d'être si gentille.

    Comme pas mal d'enseignants, Poppy est une déplorable apprenante. En flamenco tout d'abord, où elle se lance en sus de ses séances de trampoline à la suite d'une copine, malgré le talent pédagogique de la prof ibérique qui vit si intensément la passion anadalouse qu'elle part en pleurs de sa salle de danse. En tant qu'apprentie-conductrice ensuite ; faut dire qu'elle est tombée sur son exacte antithèse en la personne de Scott : grognon, bourré de complexes et de préjugés, et ayant recours à une pédagogie musclée. Quand il craque à la fin, il lui reproche de l'avoir vampirisé et de lui avoir ôté sa joie de vivre, et Poppy découvre enfin qu'à vouloir un monde à son image, elle peut elle aussi faire du mal.

    Je reste dubitatif devant le propos de Mike Leigh. On ne retrouve pas ici la fluidité narrative et la justesse des personnages de "Vérités et Mensonges" et de "Vera Drake", la faute sans doute à cette héroïne hypervoltée, et certains passages tournent carrément au ridicule, comme la rencontre qui se veut onirique avec un S.D.F. ; les ruptures de rythme, si elles reposent un peu le spectateur, ne gagnent pas en véracité, à l'instar de l'épisode de Nick, digne de "L'Instit" ou de "Fabien Cosma". Restent quelques scènes qui fonctionnent grâce à leur énergie, comme le cours de flamenco ou certaines escarmouches entre Scott et Poppy ; c'est insuffisant pour en faire une comédie vraiment réussie, et on n'a pas non plus d'un autre côté une comédie dramatique cohérente.
    http://www.critiquesclunysiennes.com
    Julien B.
    Julien B.

    9 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 septembre 2012
    Personnellement, quand je vois des gamines gâtées de 5 ans faire des caprices en jouant à des jeux débiles comme Barbie ou autre, j'ai envie de leur mettre des fessées.
    Eh bien ce film montre ce genre de gamines, dont la principale est institutrice, animée par un optimisme qui relève de la lobotomie...
    Bref, au bout de 20 minutes de cet "humour" reposant sur la vacuité, j'ai décroché du film et, si j'en crois d'autres critiques, j'ai évité un gâchis de temps d'une heure.
    J'attendais beaucoup mieux de Mike Leigh !
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 209 abonnés 4 193 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 août 2012
    Mike Leigh est ici plus léger qu'à son habitude. Poppy entourée de sa sœur et de ses copines a choisi de vivre une vie de célibataire assumée qui mêle tout-à-la fois passion pour son métier (elle est institutrice) et loisirs. C'est un univers qui semble exclure les hommes, comme si la rencontre avec le sexe opposé était synonyme d'un embourgeoisement abêtissant. A l'appui de cette démonstration, la scène où Poppy va voir sa sœur mariée et enceinte jusqu'au cou est édifiante. Poppy a donc choisi de prendre la vie comme elle vient et avec un optimisme conquérant qui la conduit a prendre quelquefois les choses à la légère. Ainsi sa relation avec son moniteur auto-école change de tournure sans qu'elle s'en rende compte. Le moniteur grincheux s'est épris de la jeune femme au sourire permanent et Poppy n'a pas su le voir à temps. Mike Leigh nous montre ainsi l'éternelle difficulté des relations entre les êtres qui font rarement l'effort réciproque de mettre un pied dans l'univers de l'autre ce qui peut-être la source de quiproquos parfois douloureux. Poppy un moment déstabilisée et qui entre temps a rencontré l'amour continuera malgré tout son chemin . Avec ce film Mike Leigh nous fait entrevoir une autre façon d'appréhender la vie dans nos sociétés modernes accessibles à tous ceux qui acceptent de porter un autre regard sur le monde
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 juin 2012
    Une gentille comédie avec des personnages vraiment excellent et bien interprétés. D'abord Sally Hawkins qui est parfaite en trentenaire hyper joyeuse (mais celui qui est aussi impressionnant de film en film c'est Eddie Marsan dans le rôle du moniteur). Niveau mise en scène c'est secondaire, les atouts principaux sont le casting et les dialogues.
    The Claw
    The Claw

    66 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mai 2012
    Un bon petit film à la bonne humeur communicative! Une curiosité à voir. Très plaisant.
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    72 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 avril 2012
    Plein d'énergie, des acteurs au poil, une bonne humeur communicative, une mise en scène parfaite .... bref du bon cinoche, alors Be Happy !!!
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top