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Shékiinä .
52 abonnés
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4,0
Publiée le 7 octobre 2012
A voir pour passer un bon moment de sport et de rigolade. Un sens de l'honneur et de courage sans faille, des situations drôles et pas du tout prévisibles ( spoiler: à en juger par la fin ).
Ce film possède une des écritures certainement les plus inouïes et réfléchies de l'histoire du cinéma. Derrière chaque phrase devenue aujourd'hui culte, se cache un message, une réflexion, une défense de sa propre identité.
Jouant habilement avec leur univers "décalé", on partage leur avancée dans leurs périples habités par à un humour OVNI. Et toutes les difficultés rencontrées sont prétexte à en faire l'utilisation dans la vue d'une résolution mêlant ferveur, grâce et esprit d'équipe.
Les personnages sont forts et alors qu'on ne fait qu'entre apercevoir leur passé, souffrance et rêve...nous sommes irrémédiablement touché et en empathie avec eux. Au point que
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Film assez mythique qui passe une fois par an à Noël sur TF1 que tout le monde a déjà vu, Rasta Rockett est un film très connu. Je ne l'avais jamais vu...J'ai enfin "réparé cet écart". Et j'ai été très déçu.
Dans une Jamaïque ressemblant à n'importe quel pays d'Afrique vu par un cinéaste abruti (sable par terre, familles rassemblées, le bonheur dans le village, bref, plus de clichés que dans un magasin Kodak), le film se lance très lentement, avec l'excellent, néanmoins, John Candy en ex-tricheur appelé à la rescousse par Derice Bannock, joué par un Leon Robinson mal à l'aise en comédie, pour l'aider à monter une équipe de bobsleigh. Les autres acteurs sont nuls, Doug E. Doug et Rawle D. Lewis en premier. En revanche, Malik Yoba est sous-utilisé, bon comme il est.
Le film, écrit à six mains est un ramassis de clichés, avec les méchants sportifs contre les gentils amateurs, ces derniers qui se crashent à la fin alors qu'ils étaient sur les temps d'un record du monde (bah voyons, et pourquoi pas le mur du son, pendant qu'on y est?) et surtout, les excuses à la fin... Un film niais et totalement pour enfants, dont les personnes de plus de 12 ans en sortiront ennuyés.
Comédie culte des années 90, Rasta Rockett possède tous les ingrédients nécessaires pour conserver son statut, le film de Jon Turteltaub (Ninja Kids) restant encore aujourd'hui un divertissement aussi hilarant que foncièrement intelligent. Car loin des potacheries vulgaires et des scénarios prétextes à de nombreux gags, cette histoire vraie raconte comme quatre Jamaïquains ont décidé, en 1988, de participer aux Jeux Olympiques d'hiver. Leur catégorie ? Le bobsleigh. Leur entraîneur ? Un ancien tricheur devenu aujourd'hui un parieur colérique. Leur climat ? Torride. Si l'histoire est bien entendu ici romancée et assez différente sur certains points (notamment les personnages), nous ne bouderons pas notre plaisir à voir ces quatre illuminés plus déterminés que jamais à s'affranchir de la dure loi des sports officiels où tout n'est que compétitions, affrontant des jurés septiques, des railleries quasi-racistes et surtout le froid canadien inhabituel pour ces gaillards venus des îles ! L'humour est également bien présent, notamment grâce aux différentes personnalités des quatre concurrents, surtout venant de Sanka le blagueur invétéré qui embrasse son œuf avant de courir. Constamment boostés par leur déjanté de coach (excellent John Candy, dans l'un de ses derniers rôles avant sa tragique disparition), nos Jamaïcains vont réussir à réaliser leur rêve, à nous faire rire et même à nous émouvoir le temps de quelques scènes sérieuses brillamment incorporées au récit. De doutes en problèmes familiaux, de rêves déchus en dépassement de soi, cette histoire drôle et touchante demeure une excellente comédie sportive comme on en voit hélas peu au cinéma.
une comédie assez originale des acteurs charismatiques et un scénario simple mais qui nous fait passer un excellent moment. une pure comédie familiale.
Une belle histoire (à défaut d'un scénario exceptionnel), de l'humour, des bons sentiments... Rasta rockett mérite peut-être entre 3 étoiles et 3,5, mais je lui en mets 3,5, pour participer à sa bonne notation !
Pourtant engoncé dans les gros clichés des films qui traitent de sports notamment au niveau de la trame scénaristique très très classique, Rasta rocket parvient malgré tout à endosser le costume de bon film grâce, notamment, à un casting qui se veut très sympathique avec en tête John Candy, mais aussi grâce à un humour assez basique mais efficace. On passe donc un agréable moment devant son écran, le sourire au coin des lèvres. Parfois, on en demande pas beaucoup plus.
J'aime beaucoup ce film qui est l'un de mes préféré. A travers l'humour et les scénes cocasses, ce film développe surtout le théme de la tolérance dans le sport et en particulier aux JO qui sont quand même des épreuves sportives internationales et démontre également une éniéme fois l'inutilité du racisme. Personne ne croyaient en cette équipe de Bosleigh Jamaiquenne !
Bon film mais qui a tout de même plutôt mal vieilli. L'humour est très simple, très naïf, parfois très convenu et attendu, malheureusement. Les acteurs sont atypiques et ont malgré ma réticente un réel pouvoir comique. Original, ce film est un excellent hommage à l'équipe jamaïcaine de bobsleigh qui réussit finalement à surprendre lors des JO. Parfois trop attendu, le film n'est reste pas moins un très bon divertissement, 4/5.