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    Le Goût du saké
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    54 critiques spectateurs

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    Saba
    Saba

    8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 janvier 2024
    Film attachant, à l'apparente simplicité. Tout ici est millimétré (comme les autres Ozu). Les plans fixes en intérieurs ou extérieurs, sublimes, intimes. Et puis Yasujiro nous décrit avec subtilité le Japon d'après guerre et son redressement économique.
    sylvainlb
    sylvainlb

    15 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 novembre 2022
    "le goût du saké", dernier film d'ozu; où l'on voit les personnages boire le saké et fumer encore plus que d'habitude; il est toujours questions des relations dans la famille; l spoiler: e père, grâce à l'un de ses amis qui insiste pour lui dire qu'il doit marier sa fille (le père vit avec sa fille et son dernier fils , il est veuf) et aussi par la vue d'un de ses anciens professeurs devenu alcoolique qui vit avec sa fille aigrie, prend conscience qu'il empêche sa fille d'avoir sa propre vie; on le voit alors pris entre le remords - et il ne ménage pas ses efforts pour qu'il y ait mariage (mais le film semble sous-entendre qu'elle se marie "trop tard" car elle épouse un autre homme que celui qu'elle aime, qui à force d'attendre s'est fiancé à une autre femme) et entre la peur de se retrouver seul; dans la dernière scène d'ailleurs on le voit imbibé d'alcool et envahi par la tristesse
    . On note (en tout cas c'est mon impression) qu'il y règne toujours dans les films d'Ozu une solitude, solitude de chaque personnage depuis la naissance jusqu'à la mort; sauf que les personnages s'arrangent pour ne pas trop avoir à faire avec cette solitude: l'on boit, l'on fume, l'on se marie avec une femme de 30 ans plus jeune, on devient cynique (dans une fameuse scène on voit les personnages masculins discuter entre eux, et l'un dit: on n'arrive jamais à les garder pour soi nos filles , il faut qu'on les donne à un autre; et il rajoute: donc les filles ça sert à rien!") , on est dans la nostalgie, on s'occupe des autres comme dans le commérage etc etc ; peut-être Ozu nous suggère comment aborder cette solitude: vivre! et c'est dans le fait de vivre, sans lutter contre la vie (les stoïciens diraient peut-être : vois la réalité telle qu'elle est et non pas comme tu voudrais qu'elle soit); son cinéma est fait de plans fixes, comme si le regard s'attardait sur le moindre détail; son cinéma ne montre pas les événements (la mort, la maladie etc), il les suggère et insiste plutôt sur la façon qu'ont les personnages de les aborder.Il y a beaucoup de bienveillance dans le cinéma d'ozu, il ne juge pas, il montre.
    ps les acteurs et actrices qui ont travaillé sous sa direction racontent qu'ils n'avaient aucune latitude personnelle pour jouer: ils fallaient qu'ils jouent exactement comme il voulait qu'ils jouent, au moindre détail: leur intonation, leur position, leurs expressions , leurs gestes; ils ne se plaignent pas en racontant cela, trouvant cela intéressant de jouer ainsi; peut-être ozu, qui semblait pour ceux qui le côtoyaient masquer derrière une façade aimable, souriante, enjouée, une espèce de solitude qui apparaît chez nombre de ses personnages de film, donc peut-être cherchait-il ainsi à exprimer sa solitude, sa personnalité de la manière la plus juste possible dans ses films; d'ailleurs on boit et on fume beaucoup dans ses films et lui-même était un grand amateur de saké (il est mort d'un cancer de la gorge à 60 ans )
    Hotinhere
    Hotinhere

    569 abonnés 4 993 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 mai 2021
    Pour son dernier film, Ozu signe une chronique familiale sympathique et pleine de tendresse, à défaut d’être super prenante, sur la nécessaire et naturelle séparation des enfants et des parents.
    Y Leca
    Y Leca

    33 abonnés 1 003 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 mars 2021
    Un chef d'œuvre selon Telerama ...cadrages répétitifs, musique insupportable, courbettes, sourires forcés, soirées saké entre hommes...bref tout au plus un témoignage de la vie au bureau et en famille au Japon, et surtout de la condition subalterne de la femme. Bien loin de #metoo.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 199 abonnés 4 182 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 octobre 2019
    "Le goût du saké", traduction imparfaite du titre original du dernier film de Yasujiro Ozu qui est en réalité "Le goût du cololabis saira" ("Sanma no aji"), fait référence à un poisson très prisé des japonais et consommé de préférence en automne. En 1962, le réalisateur est lui aussi parvenu à l'automne de sa vie tout comme les personnages principaux de son film sorti quelques mois avant sa mort le 12 décembre 1963, jour de son 60ème anniversaire. Se sachant condamné par un cancer survenu après une vie d'intempérance alcoolique, Ozu convoque à nouveau ses acteurs fétiches dont Chishu Ryu pour lui donner une dernière fois la place centrale comme dans beaucoup de ses films. Seule Setsuko Hara est absente du générique sans que l'on sache exactement pourquoi si ce n'est qu'elle stoppa net sa carrière après la mort d'Ozu. La société japonaise comme toujours examinée avec minutie par Ozu continue d'évoluer à travers une américanisation rampante que le réalisateur n'aura cessé d'exposer dans tous les recoins des décors de chacun de ses films. Désormais les femmes revendiquent une place concrète au sein du foyer et n'acceptent plus de s'en laisser compter sans riposter. C'est conscient de ces changements et influencé par la pression de ses deux meilleurs amis que Shuhei Hirayama (Chishu Ryu) décide qu'il doit laisser sa fille Michiko (Shima Iwashita) voler de ses propres ailes et se chercher un époux plutôt que de continuer à veiller à la tenue du foyer comme elle le fait depuis que Shuhei est devenu veuf. C'est dans les bars autour des nombreux verres de saké pris lors des rencontres rituelles se tenant après le travail que le problème est débattu. Jusqu'à son dernier centimètre de pellicule filmé, Ozu se sera interrogé sur le temps qui passe et sur l'impossibilité de le retenir si ce n'est par le déni. C'est en réalité le chemin de la vérité que doit parcourir Shuhei comme beaucoup des personnages du réalisateur confrontés à la solitude et au renoncement qui souvent l'accompagne. Impossibilité de retenir le temps qui passe, expliquant la difficulté ressentie par les personnages "ozuniens" à franchir les étapes incontournables de la vie qui font avancer un peu plus sur la route qui mène jusqu'à l'issue finale. Illustration parfaite de cet état d'esprit, le mariage de Michiko à la fin du film qui bien que magnifiquement filmé, tient plus du rite sacrificiel que de l'avènement heureux d'un accomplissement. Sur la tombe d'Ozu sera gravé "Mu" qui signifie en japonais impermanence, terme qui symbolise aux yeux d'Ozu la condition de l'homme sur Terre qui devrait sans doute l'inciter à plus de sagesse et de prudence plutôt que d'agir en se rêvant immortel. C'est à travers l'observation du quotidien de la classe moyenne de son pays et au moyen d'une expression marquée du sceau de la rigueur et de la simplicité que la nature humaine est appréhendée par Ozu qui pensait sans doute et à raison que les choses du quotidien en disent aussi long sur un homme que les moments tragiques qui jalonnent son histoire qu'elle soit collective ou personnelle. Ennuyeux, Ozu ? Allons donc !
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 185 abonnés 5 188 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 septembre 2018
    La couleur change un peu la façon de filmer et l’abondance des plans du bar est un signe du temps qui s’allonge sans vraiment s’améliorer. Toujours les mêmes thèmes mais j’y vois une sorte d’espoir au-delà de la jeune fille qu’il faut absolument marier pour ne pas se flétrir: peut-être que le vieil homme pourra-t-il réconforter sa vieillesse avec la jeune serveuse qui ressemble à son ancienne femme. Malgré tout la fin n’est pas joyeuse et signe d’une inéluctable solitude.
    Criticman17
    Criticman17

    6 abonnés 237 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 septembre 2018
    Le goût du saké est un film qui parle de Femmes. Les femmes ont un rôle central dans le film car elles sont la clé du bonheur des hommes dans le film. L'ivresse des hommes que montre le film dans plusieurs scènes témoignent qu'ils ont besoin de cela pour vivre et les oublier. Car sans cet état second, la réalité leur fait rappeler à certains hommes qu'ils sont veufs et qu'ils ont besoin de s’enivrer pour ne pas y penser. Le titre du film le goût du saké est une recherche d'un goût oublié celui de l'amour. Le saké représente l'amour de ces Femmes qui ont existé et qui ne sont plus là avec ces hommes et d'autres hommes mariés dans ces scènes accompagnent ces hommes veufs dans ces beuveries. Le film a plusieurs grilles de lecture, il est réalisé avec un cadrage et une mise en scène très spécifique à Ozu, le champ contre champ y est utilisé avec génie. Dernier film de la carrière d'Ozu à découvrir.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    69 abonnés 779 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 août 2018
    Osons Ozu en plein été, puisque j'avoue très peu connaitre ce grand maitre du cinéma japonais. Un peu dur de rentrer dans cette succession de scènes d'intérieur où les hommes boivent autant de saké que les russes de la vodka! Le propos est universel: comment intervenir ou pas dans le mariage de ses enfants? Avec un corollaire, faut-il souhaiter/imposer que l'un d'entre eux reste à domicile pour soulager la solitude des vieux jours. Nous voilà en face d'un bel objet, bien travaillé, mais difficile de ne pas décrocher si on est un tant soit peu fatigué! Ce qui reste un grand mystère, c'est quand , comment et pourquoi le Japon a-t-il renié sa culture pour s'occidentaliser, et du coup intérioriser complètement toutes les émotions personnelles. Il faut être patient pour voir la carapace se fendre et saisir la subtilité des analyses psychologiques d'Ozu. Je reste plus enthousiaste des films de Kurosawa ( les deux), Kitano ( certains) ou Imamura ( La ballade de Nayarama, complètement aux antipodes sur les mêmes thèmes!). DVD1 - aout 2018
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 août 2018
    Ce film est tellement beau qu'il m'a rendu joyeuse et que je l'ai regardé deux fois de suite.
    Simplement beau.
    Benjamin A
    Benjamin A

    717 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 mai 2017
    Testament pour Ozu qui décèdera brutalement d'un cancer peu de temps après, Le Goût du Saké met en scène un père veuf qui songe à l'avenir de sa fille lorsqu'un de ses amis lui propose un gendre pour elle.

    D'abord, je retrouve dans Le Goût de Saké tout ce que j'ai aimé dans ma courte expérience avec le cinéma d'Ozu, c'est-à-dire une façon unique de filmer la vie avec justesse, intelligence et sans excès, avec un art pour rendre les destins qu'il met en scène passionnant. Ici, c'est autour de la fin de l'éducation qu'il axe son film, il met en avant un père qui veut lancer sa fille dans la vie, la rendre autonome et indépendante de lui, ce qui passe, selon les traditions, par un mariage. Un des autres points du cinéma d'Ozu que j'aime beaucoup, c'est sa manière de capter l'époque qu'il filme en nous plongeant dans le contexte avec les coutumes qui vont avec, ce qu'il fait parfaitement bien ici.

    La force d'Ozu avec Le Goût du Saké, c'est de faire ressortir toute l'émotion et la richesse des enjeux et personnages. Ces derniers sont assez vite rendu intéressants, il les capte dans de simples moments de vies tandis qu'il jongle toujours avec brio, et talent, entre plusieurs genres. Il sait se faire bouleversant sur la situation du père, qui voit la vie défiler, la vieillesse arriver et sa fille toujours seule mais alterne avec des moments plus légers, de vies à l'image de ceux, parfois drôles, où les amis sont assis autour d'une table pour boire du Saké et par moments tomber dans l'ivresse. Derrière ces personnages, il aborde aussi la solitude et l'angoisse que ça peut engendrer, les scènes avec l'ancien professeur et sa fille sont d'une rare justesse et puissance.

    Derrière la caméra, il se montre à nouveau brillant, que ce soit sa façon de filmer les personnages ou de jouer avec les couleurs, toujours sans aucun excès et avec justesse (je me répète mais quel talent !). Il donne de la puissance à son récit, sans tomber dans le spectaculaire ou la dramatisation, et nous y immerge en plein cœur, aux côtés des personnages. Ces derniers sont tous très bien dirigés, se fondent dans leur rôle et font eux aussi ressortir la richesse et l'émotion de leur personnage, mention spéciale à Chishu Ryu.

    C'est un testament d'une richesse, profondeur et justesse rare que propose Ozu qui, à travers les sept films que j'ai vus de lui, m'aura déjà très fortement marqué, notamment par sa façon de filmer la vie, ses émotions et dilemmes, et ce avec puissance, intelligence, dramaturgie et justesse.
     Kurosawa
    Kurosawa

    591 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mars 2017
    Dernier film de Yasujirô Ozu, "Le Goût du saké" s'emploie à raconter peu avec une mise en scène minimaliste, à bercer le spectateur dans un rythme nonchalant tout en menant ses réflexions, intimes et universelles, avec clarté. Le film se concentre sur une poignée de personnages, un trio d'amis et une famille, qui réfléchissent à leur avenir et à celui de leurs enfants, à la nécessité qu'ils ont de se marier et à quitter le berceau familial. Ces questionnements ne sont pas inscrits dans un scénario ample mais dans de brèves situations, qui reprennent les mêmes motifs (la solitude, le mariage, le passé, l'avenir) en leur apportant constamment des nuances, ce qui humanise les personnages - très souvent en état d'ébriété - de plus en plus touchants. Ozu signe un film d'une infinie tendresse, rigoureux et cohérent dans sa mise en scène, qui parvient à plusieurs reprises à mêler en une scène des sentiments contradictoires et à provoquer à la fois le rire et les larmes, preuve que la maîtrise tranquille affichée est à la hauteur de la complexité des personnages.
    Acidus
    Acidus

    735 abonnés 3 720 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mars 2016
    Pour "Le goût du saké", son ultime long métrage, Ozu ne créé pas la surprise et fait du Ozu. Ce dernier film peut se voir comme une synthèse de l'ensemble de sa carrière. Effectivement, on retrouve dans "Le goût du saké" des thématiques chères au cinéaste japonais: la famille, les conflits intergénérationnels, les problèmes sociaux liées au développement du Japon de l'époque,... Pour ce qui est de la forme, on reconnaît facilement la mise en scène si caractéristique du cinéaste nippon: ces plans de caméras, sobres et statiques, que l'on dit "à hauteur de tatami". Le visuel est également marqué avec une photographie typée jouant magnifiquement bien avec les couleurs; couleurs qu'il n'a adopté que tardivement, depuis "Fleurs d'équinoxe" en 1958. Si Ozu possède son style propre, il faut encore l'apprécier et je dois admettre que son cinéma ne m'a guère emballé. Mais, des films vus du réalisateur, "Le goût du saké" est mon préféré. Il faut aimer la lenteur, les histoires avec peu d'enjeux et une direction d'acteurs que l'on peut qualifier de personnelle. Il faut savoir se laisser porter et apprécier cette histoire simple et touchante.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 octobre 2014
    Un des chefs-d'oeuvre d'Ozu. Un film chronique, comme la plupart des films du maître; à travers la description du quotidien du Japon contemporain (en l'occurrence, celui du Japon des années 60) le cinéaste sonde les profondeurs de l'âme de l'être humain. Quelle scène bouleversante que celle de la vieille fille aigrie qui récupère au petit matin son ivrogne de père, le vieux professeur, que ses anciens élèves ramènent ivre mort chez lui, après une soirée de libations ! Elle réalise tout à coup qu'elle a perdu sa vie auprès de ce vieux soûlard, qui n'est qu'un intellectuel raté... Bouleversante aussi, la scène finale où le frère monte dans la chambre de sa soeur, à qui le père vient d'apprendre qu'elle ne pourra pas épouser l'homme qu'elle aime; elle est immobile devant sa coiffeuse, on voit une larme qui soudain coule sur sa joue: rien de plus, pas de cris, pas de sanglots convulsifs. Le fils retourne auprès du père et lui dit quelque chose comme : "Je crois qu'elle est triste", rien de plus. Et c'est sublime! Une leçon de vrai cinéma. A voir et à revoir!
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    599 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 février 2014
    Peu différent de ‘’Printemps tardif’’ mais encore plus déprimant, mon admiration que je peux porter à Ozu s'atténue au fur et à mesure de la connaissance de son oeuvre. Force en est à la répétition de ses propos qui finissent par lasser le français que je suis. Sa forme cinématographique ne me permet plus de passer sur son contenu et à force de côtoyer l’intimité des ses personnages masculins, je finirais par une déprime. Le film est clair, sans ambiguïté, facile à suivre mais sa respiration basée sur des vues urbaines, des fumées mouvantes ou des lumières qui clignotent ne suffit plus à mon plaisir. Le cinéma, c’est du rêve jouissif avec le moins de cauchemars possibles. Vivre dans le passé ou l’avenir ne me convient pas et comme le présent de Ozu est plus que morose, je finis par m’en lasser. La mise en scène évidemment irréprochable mais avec une prise de risque insignifiante permet juste de dire que c’est un beau film; Pour moi, ce n’est pas suffisant. Je laisse Ozu aux cinéphiles japonais.
    NeoLain
    NeoLain

    5 051 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 novembre 2013
    Le réalisateur Ozu, pour son dernier film sorti un mois avant la mort de celui ci, il ne partira pas sans nous avoir fait encore une petite perle. Autre le goût du saké, le goût du soin, le goût d'un film avec un sujet qui mit en scène à plusieurs reprises, il nous enivre toujours.
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