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    Une femme heureuse
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    3,1
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    33 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 9 mai 2018
    C'est un film fade pour moi, un adolescent. Peut-étre, c'est plus convenable pour des femmes mariées. Elles peuvent comprendre la vie de Tara. Pourtant je peux apprendre quelques choses dans le film.
    Dans la musique d'ambiance, on peut écouter des sons du piano,du violon et du violoncelle. Ils composent la mélodie triste. La musique triste dit la tristesse dans le coeur de Tara,la premier rôle féminin. Quelque temps ,quand la femme a de mauvaise humeur, il y a trop beaucoup de bruit ennuyeux. Ils disent que la femme va s'effondrer. Quand elle rencontre des choses ou le personne qu'elle aime, la musique est romantique. La musique d'ambiance mes fait facile à comprendre l'émotion de la femme.
    À vrai dire, quelques scènes ne sont pas très bien. Les scènes s'agiter fort. Mais dans l'autre partie, on peut dire que ce n'est pas mal. Par exemple, la scène de la maison désordonnée, de la belle rue à Paris et le paysage au dehors du train. On peut voir le coeur de la famme. Elle ne veut pas faire de ménage. Elle veut fuir la vie fade. Elle voudrait changer et chercher son seul désir et quelque chose auquel elle peut mettre son esprit.
    Yuya Q.
    Yuya Q.

    1 critique Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 mai 2018
    À mon avis, les acteurs sont magnifiques.Je peux savoir ses émotions et ses idées par ses regards. Ils ont joué ces rôles naturellement. Mais je pense que ce film ne convient pas aux jeunes. Et la fin m'a fait sentir très déprimé.
    Charles R
    Charles R

    51 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 mai 2018
    Il y a des films qui devraient se borner à leur première partie et se limiter ainsi à une durée de trois quarts d'heure. C'est exactement le cas de cette Madame Bovary version anglaise qui débute fort bien et s'achève très mal. Tara a, semble-t-il, tout pour être heureuse : un mari aimant, des enfants pleins de vie, une vie confortable... Oui, mais voilà, le mari est un gros balourd un peu trop exigeant sur l'oreiller et totalement inapte à discerner les choses de l'esprit, les enfants sont bien mignons mais peuvent devenir franchement insupportables et la vie que mène Tara a quelque chose d'étriqué qui ne lui convient plus. Alors, plutôt que de sombrer dans la dépression, une solution s'impose que le titre anglais du film exprime clairement : "The Escape". Jusqu'alors tout va bien : Gemma Arterton est filmée au plus près, quasiment auscultée par un cinéaste qui entend rendre compte des moindres battements de cœur de son héroïne. Et l'on est séduit par la grâce cinématographique, la légèreté et la mobilité de la caméra qui épie la jeune femme dans son quotidien le plus banal. Mais voilà que survient la deuxième partie. Changement de décor : après Londres et ses environs, voici Paris que Tara souhaite découvrir ne serait-ce que parce qu'elle vient de lire un ouvrage sur la Dame à la Licorne, la célèbre tapisserie médiévale exposée au musée de Cluny. C'est alors que le scénario verse dans le ridicule. On s'en voudrait de raconter l'épisode parisien, on se contentera de dire que tous les ingrédients de la romance fleur bleue y figurent. Avec pour point final une moralité : les hommes sont tous de tristes sires et se valent bien de quelque côté du Channel qu'ils se trouvent. Dommage : la caméra si élégante de Dominic Savage méritait un scénario plus subtil.
    Padami N.
    Padami N.

    61 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 mai 2018
    beau film sur le couple ,la quête de soi du bonheur, l'ennui et le manque de désir. si un peu d'émotions surjouėes, et de scènes caricaturales.,mais on s'attache à cette femme de foyer en attente de quelque chose.
    dominique P.
    dominique P.

    834 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mai 2018
    C'est une histoire intéressante, émouvante mais on s'ennuie pas mal.
    C'est un drame féminin assez éprouvant, qui plombe le moral et qui est très lent.
    Cela dit, l'actrice principale est formidable dans ce rôle.
    mmarie13
    mmarie13

    4 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 mai 2018
    Bof. Une femme heureuse retrace l’histoire d’une pauvre bourgeoise malheureuse. L’histoire est fade comme cette maison sans livre dans laquelle elle vit. Le seul moment intéressant vient de la superbe Marthe Keller qu’on prend toujours plaisir à voir
    Jorik V
    Jorik V

    1 269 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 avril 2018
    Domininc Savage choisit de mettre en scène un sujet pas forcément simple à illustrer en images sans provoquer l’ennui du spectateur: la dépression d’une femme au foyer qui se morfond dans son quotidien et rêve d’ailleurs. Dans ce rôle pas facile, Gemma Arteton est parfaite et ne peut souffrir d’aucune critique dans son incarnation de la tristesse et d’un mal être propre à nos sociétés actuelles. Egalement productrice d’« Une femme heureuse », elle porte le film à bout de bras car il faut avouer que le cinéaste n’arrive pas à rendre passionnant son sujet et loupe complètement son long-métrage. Il parvient en effet davantage à créer la somnolence et le désintérêt du spectateur qu’une quelconque passion ou de l’empathie pour son personnage principal. S’il voulait que l’on ressente la même chose que Tara dans le film, effectivement il a tout bon, mais cela reste fort peu probable. On reste totalement en dehors du parcours de cette femme malheureuse et l’émotion n’arrive jamais ni à nous atteindre et encore moins à nous toucher. La grosse heure et demie que dure le film défile donc sous nos yeux de manière douloureuse sans que jamais rien ne vienne attiser ou réveiller notre attention.

    Savage s’emploie dans une première partie à nous montrer le quotidien triste et morose de cette femme mariée avec deux enfants, avec son beau train de vie en phase avec une certaine bourgeoisie. En tant que femme au foyer, on la voit répéter inlassablement les sempiternels mêmes actions chaque jour, des gestes et des activités qu’elle semble ne plus pouvoir supporter et que même le weekend ne vient plus embellir. Donc, pendant près d’une heure, on assiste à des plans fixes ou mobiles sur le visage d’Arteton, ses actions aussi peu intéressantes que de voir quelqu’un faire le ménage ou les courses et surtout pas très cinégéniques. Cela pour nous faire comprendre que Tara va mal et qu’elle s’ennuie. Comme s’il n’y avait pas d’autre moyen de rendre intéressant ce sujet pourtant pertinent. Il y a même certaines scènes qui sonnent un peu faux à cause de la réaction des personnages. Le basculement vers le point de non-retour apparaît également très mal négocié. Et quand il arrive, le fait de voir partir l’héroïne dans une parenthèse parisienne emplie de clichés et peu crédible finit d’achever le ratage complet d’« Une femme heureuse ». Véritable fausse note, ces vingt minutes annihilent tout espoir de rédemption pour un film au sujet contemporain très mal maîtrisé. Et la fin, quelque peu sibylline n’arrange rien… A voir vraiment si on est un fan inconditionnel de Gemma Arteton.

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    StudioCinePremiere
    StudioCinePremiere

    12 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 avril 2018
    une belle surprise. le titre est trompeur...et on est captivé par l histoire. superbe mise en scène, jeu d acteurs épatant, actrice sublime, j ai adoré...
    ffred
    ffred

    1 696 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 avril 2018
    Attiré uniquement par le casting, je ne savais pas de quoi cela parlait et je n’avais pas vu la bande-annonce. Risqué donc. Contre toute attente, je dois dire que j’ai beaucoup aimé. Une femme heureuse est le second long métrage du britannique Dominic Savage. Il fait preuve d’une belle maitrise dans sa mise en scène (même si j’aurais aimé un peu moins de caméra à l’épaule, j’ai failli avec la nausée, ça faisait longtemps...) et son scénario est écrit avec beaucoup de justesse, de tact et de sensibilité. Pas de violence, pas de misérabilisme. D’entrée, on éprouve une certaine empathie pour Tara, on la comprend. Tout comme les autres personnages. Ils ne sont pas jugés, même le mari (Dominic Cooper, très bien) complètement dépassé par les évènements. Personnellement, j’ai réussi un tant soit peu à m’identifier à chacun d’entre eux. Ils sont tous parfaitement interprétés par un casting très convaincant. Gemma Arteton trouve là son meilleur rôle. Aussi touchante que poignante, en un mot bouleversante, elle tient tout le film sur ses épaules. Espérons que sa carrière décolle enfin vraiment, avec plus de grands rôles comme celui-là. A noter qu’elle a aussi participé à l’écriture du film. Outre Dominic Cooper déjà cité, on retrouve avec plaisir les toujours impeccables Jalil Lespert, Frances Barber et Marthe Keller. Au final, un magnifique portrait, un film plutôt fort, au rythme plutôt lent, traversé par une mélancolie qui peut mettre mal à l’aise, auquel on repense longtemps après l’avoir vu. Une très belle surprise. Magnifique.
    virnoni
    virnoni

    98 abonnés 578 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 avril 2018
    Gemma Arterton et Dominic Cooper sont le seul attrait de ce film qui se perd en route avec une 2ème partie sirupeuse et quelque peu improbable dans un Paris, une fois encore, idéalisé (c'était pourtant bien parti avec une arrivée à Gare du Nord, sans cacher la noirceur parfois de ce quartier). La 1ère partie dépeint parfaitement le conflit interne de cette héroïne bovarienne, qui pourrait se satisfaire de ce quotidien bien huilé et quelque peu planplan. On la voit lutter contre son ennui et la dépression qui prend rapidement le dessus sans que son mari ne sache quoi en faire, tout en essayant de se montrer présent et compréhensif. Dominic Cooper interprète là encore une fois un mari à fleur de peau, un homme perdu mais aimant, rustre parfois mais qui cherche à suivre sa femme. C'est ici d'ailleurs que le film séduit de prime abord, par les échanges et tentatives d'explication et de réconciliation du couple, magnifiquement filmé par des plans serrés qui traduisent bien la sensation d'étouffement de cette femme à bout. Grâce à l'interprétation tout en finesse et nuance de Gemma Arterton, on ressent vite de l'empathie pour sa détresse, comme envers son mari désarçonné. Le spectateur est au plus près du couple dans son délitement, conséquence de la dépression de cette femme qui ne semble plus pouvoir lutter et ne voit en son mari et ses enfants, que des obstacles à son épanouissement personnel, priorité à sa survie et qu'elle va tenter de retrouver à paris.
    C'est donc au cours de ce périple que nous perdons tout l’intérêt pour elle qui se montre alors totalement en marge. Si on comprend ce "voyage" et surtout sa fuite, le rendu n'est pas du tout crédible (elle rencontre en 2 jours un homme qui lui correspondrait en tout point comme par magie, et une femme qui l'accueille dans sa détresse et la conseille! Miracle Parisien ridicule).
    La fin intrigue et laisse autant perplexe que songeur. L'empathie pour cette femme s'est envolée avec !
    Joce2012
    Joce2012

    204 abonnés 581 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 avril 2018
    Enfin ce film m'explique ce que j'ai ressenti il y a 40 ans et dont je n'avais pas la réponse, le 6e sens, je me suis tellement culpabilisee ! merci, merci mais cela ne m'explique toujours pas comment on trouve le bonheur .... avec ou sans mari ? il manque toujours quelque chose .... il n'y a pas de bonheur parfait !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 avril 2018
    Très beau film introspectif . Si vous cherchez de l'action ou de l'allégresse passez votre chemin car le thème est la dépression naissante d'une mère au foyer, son rejet d'une vie répétitive et peu valorisée (pourtant choisie), sa dépendance à un mari atteint de machisme voire de beaufitude, ses enfants en bas âge turbulents, l'ennui, le sentiment de vide et surtout celui d'impuissance à pouvoir s'en sortir. Une fugue improvisée peut elle être la solution ou le remède qui permettra de redémarrer ? Même si ce thème a déjà été abordé je crois ne l'avoir jamais trouvé aussi bien traité . J'ai aussi aimé l'hommage aux capitales Londres et Paris. Beaucoup y trouvent l'air irrespirable , alors qu'en réalité on y trouve une vraie respiration et un peu de liberté. Gemma Arterton assure (je ne l'avais pas aimée dans Gemma Bovery), cependant sa beauté est trop codée et trop figée (bouche et seins siliconés ?) .
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 avril 2018
    Des intentions louables, un assez beau rendu atmosphérique des affects, mais un ensemble décevant, poussif, trop prévisible, étiré à l’excès, mollement féministe, traitant d’un sujet convenu et rebattu : la crise existentielle d’une jeune mère au foyer, Tara, interprétée avec finesse par la belle Gemma Arterton. Car oui, une fois de plus, le joli pavillon de banlieue s’avère être une prison dorée, le lieu où la « cellule familiale » se mue en cellule carcérale. De fait, les journées de Tara se suivent et se ressemblent, invariablement dédiées à l’accomplissement des tâches domestiques et à celui, non moins stoïque, des devoirs conjugaux : en effet, avec un époux fruste réclamant matin et soir son « petit coup », pourvoir au « repos du guerrier » n’est pas moins aliénant que de se consacrer jour après jour aux activités ménagères les plus répétitives. C’est même plus dégradant, et quelques scènes du film nous le font sentir avec force. Pourtant, c’est au mari que revient le beau rôle (« breadwinner »/papa cool qui lâche la bride), et c’est à lui que va la préférence des deux enfants du couple. Ainsi, les conditions sont réunies pour que Tara présente des signes de dépression et soit victime de ce syndrome jadis appelé « bovarysme », en référence à Emma Bovary, le personnage éponyme du roman de Flaubert. Mais derrière les symptômes, il y a bien sûr ici une envie légitime : celle de s’extraire du lit de renoncements et de souffrances qu’impose la vie sacrificielle de mère au foyer. Envie de fuite qui se paye d’un sentiment de culpabilité, et qui doit passer outre la morale « réaliste » distillée par l’entourage (ex. : « ce n’est qu’une phase, ça va passer », « la sécurité et le confort d’une vie réglée valent bien que l’on accepte d’abandonner une part de liberté », etc.). Tara est donc vouée au déchirement, à la contradiction sans issue autre que celle du « choix », avec ses éléments de deuil. Peut-être le film nous montre-il d’ailleurs le difficile processus de mort (au sens où la Tara-mère-au-foyer paraît à l’agonie) préludant à une seconde vie ? En tout cas, il a le mérite de nous faire sentir qu’aucune des deux options (rester, partir) ne peut épargner à Tara l’épreuve du deuil. De plus, bien qu’il soit sans surprises sur le plan scénaristique et carrément faiblard dans sa seconde partie (l’escapade parisienne), le film de Dominic Savage comporte de beaux passages où le mal-être de Tara est rendu comme contagieux par la puissance évocatrice des images et des sons : tout se passe alors comme si nous ressentions nous-mêmes la sarabande vertigineuse de ses tourments et de ses peines.
    Marcel D
    Marcel D

    104 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 avril 2018
    Je ne suis pas habitué à mettre de si mauvaises notes, malgré le grand nombre de films que je vois (environ 150 par an). Mais ici, j'ai vite compris que les 1h45 allaient passer très difficilement, tant le film n'a rien à raconter. Un amoncellement de clichés et de situations univoques. On a bien compris que la femme au foyer s'ennuyait auprès de ce mari vraiment très rustre, qui ne pense qu'à lui, à sa carrière et à sa libido. On a bien compris que le rôle de mère était ingrat. Heureusement l'art et le charme parisien sont là. spoiler: Pour rencontrer un nouvel homme, autre version du goujat.
    Femme actuelle note à 5/5 : j'imagine que c'est dans l'air du temps, le portrait d'une femme qui se tait depuis trop longtemps... Mais bon, ça devient quand même plus que redondant.
    traversay1
    traversay1

    3 570 abonnés 4 860 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 avril 2018
    Dans le CV de Dominic Savage figure un seul rôle d'acteur, enfant, dans le Barry Lyndon de Kubrick. 12 ans après son premier film en tant que réalisateur (Love Hate), il signe Une femme heureuse (The Escape), interprété et coproduit par Gemma Arterton. Autant dire d'emblée qu'on ne voit qu'elle à l'écran, ou presque, dans ce portrait de femme au foyer guettée par la dépression. La comédienne est formidable, le plus souvent sans maquillage, rendant palpable l'étouffement progressif de cette mère de famille qui n'en peut plus de sa vie routinière toute entière dévolue aux autres. Le film joue la carte du naturalisme, hormis dans sa deuxième partie, plus romanesque et pas très réussie, dans un Paris idéalisé. Cependant, en privilégiant un point de vue unique, celui de son héroïne, et en ne laissant guère au mari la chance d'exister, si ce n'est dans des scènes domestiques souvent suffocantes, le film se condamne à une vision étroite et monotone renforcée par une mise en scène qui privilégie les gros plans. On a beau adorer Gemma, la tristesse quasi constante d'Une femme heureuse et son atmosphère raréfiée ont pour conséquence d'assombrir fortement le moral du spectateur.
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