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Votre avis sur Fenêtre sur cour ?
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Je profite des ressorties des Hitchckock en copies neuves en ce moment pour combler cet énorme trou dans ma culture cinématographique !
Ce réalisateur est vraiment génial, c'est fou quand on y pense d'arriver à scotcher le spectateur devant un film ou toutes les scènes se déroulent dans une pièce de 15m2 à tout casser.
Et puis les acteurs, je n'avais jamais vu auparavant de films ou on leur prête autant d'attention : on ne voit plus si souvent des longues scènes de dialogues aussi savoureuses.
En tout cas, je ne suis pas prête d'oublier les yeux bleus de James Stewart.
Ce réalisateur est vraiment génial, c'est fou quand on y pense d'arriver à scotcher le spectateur devant un film ou toutes les scènes se déroulent dans une pièce de 15m2 à tout casser.
Et puis les acteurs, je n'avais jamais vu auparavant de films ou on leur prête autant d'attention : on ne voit plus si souvent des longues scènes de dialogues aussi savoureuses.
En tout cas, je ne suis pas prête d'oublier les yeux bleus de James Stewart.
Alfred Hitchcock est un des très grands d'Hollywood , mais comme tous les grands réalisateurs , je considère qu'il n'a pas fait que des chefs d'oeuvre , et pour moi , Fenêtre sur cour , qui était resté longtemps invisible dans les salles a été pour moi une très grande déception lorsque je l'ai vu en 1984 lors de sa réédition .
D'ailleurs , je pense que beaucoup de films d'Hitchcock tournés entre 1955 et 1959 sont largement surestimés :
La main au collet , Mais qui a tué Harry , La mort aux trousses , tous en couleurs .
Hitchcock n'a jamais été meilleur ( avant 1962 ) que dans ses films en noir et blanc : Henry Fonda dans Le faux coupable joue 100 fois mieux que James Stewart ( acteur surestimé , sauf dans ses comédies de Frank Capra ) ou que Cary Grant dans La mort aux trousses .
Psychose , L 'inconnu du Nord Express et La loi du silence sont des chefs d'oeuvre comparé aux films tournés avec James Stewart ou Cary Grant .
D'ailleurs , je pense que beaucoup de films d'Hitchcock tournés entre 1955 et 1959 sont largement surestimés :
La main au collet , Mais qui a tué Harry , La mort aux trousses , tous en couleurs .
Hitchcock n'a jamais été meilleur ( avant 1962 ) que dans ses films en noir et blanc : Henry Fonda dans Le faux coupable joue 100 fois mieux que James Stewart ( acteur surestimé , sauf dans ses comédies de Frank Capra ) ou que Cary Grant dans La mort aux trousses .
Psychose , L 'inconnu du Nord Express et La loi du silence sont des chefs d'oeuvre comparé aux films tournés avec James Stewart ou Cary Grant .
Le suspense va crescendo jusqu'au dénouement dans ce film palpitant, comme toujours avec Hitchcock. Peut être pas son meilleur, mais tout de même très intéressant avec un James Stewart voyeur dans le plâtre et une gracieuse Grace Kelly. Peut être la jambe cassée du héros empêche de le film de se promener un peu plus dans l'intrigue ? Reste une mise un scène tout de même impeccable, entièrement du point de vue du voyeur, ce qui donne tout son intérêt au film.
Parmi toutes les autres oeuvres du maître, celle ci est celle qui m'a pour l'instant le moins transporté. Je trouve les effets spéciaux limites, même pour l'époque. Des longueurs et une fin précipitée. Reste la qualité du jeu des acteurs et une mise sur tension efficace et progressive.
Tout le cinéma d'Hitchcock peut se résumer à ce seul film. Chef d'oeuvre absolu du thriller pararoïaque... genre peut-être même inventé par ce huis-clos intelligent et subtil mené par un James Stewart flippant de réalisme. Ne pas aimer Fenêtre sur cour reviendrait à ne pas aimer le cinéma tout court.
Un monument du suspense. Peut-être mon préféré de Hitchcock. Incontournable!
En expérimentant le point de vue, Alfred Hitchcock réalise un chef-d'oeuvre de tension et de suspens dans lequel James Stewart a rarement été plus sermonné. Avec son décor monumental et sa photographie caniculaire, Fenêtre sur Cour est naturellement devenu un classique.
La forme du film est admirable, mais le fond l'est tout autant, on rentre dans le jeu de voyeurisme avec James Stewart et avec Grace Kelly, quel chef d'oeuvre!
De tous les films d'Hitchcock, peut-être le plus riche, le plus inépuisable, de ceux que l'on peut voir et revoir en y découvrant à chaque fois quelque chose de nouveau.
Fenêtre Sur Cour est du cinéma pur, le cinéma étant avant tout du voyeurisme, Hitchcock nous transforme en voyeur et nous assoit dans le fauteuil roulant de James Stewart. La distribution est formidable, la mise en scène superbe, c’est du Hitchcock au sommet et c’est donc un film qui mérite plusieurs visions pour bien en comprendre tout les rouages. Le choix d’utiliser de la musique intégrée à l’action se révèle extrêmement payant et donne même lieu à une scène où la musique est en contradiction avec l’image, procédé en avance sur son temps qui sera rendu populaire la décennie suivante. Bref, un film à voir impérativement et à étudier, du grand art.
Un chef-d'oeuvre classique du genre. Ca n'a pas pris une ride, c'est toujours aussi intense, toujours aussi drôle ( si, si, parfois...) Du pur Hitchcock !
FENETRE SUR COUR fait partie des grands films cultes des années 50. Et pour cause, une mise scène d’une qualité indéniable et une histoire au suspense haletant. Grace Kelly est rayonnante et joue à la fois la carte de la naïveté et celle de l’assurance qu’ont les grandes actrices. L’immoralité est l’atout majeur du film puisqu’il allie voyeurisme et meurtre dans un environnement aux allures de micro société où personne n’est en sécurité. On apprécie chaque phrase, chaque scène, sans longueur et sans fausse note on peut dire que le soleil brille dans la cour.
Tout a été dit sur ce film. Adulé par les critiques et les professionnels, il est pour moi un peu inférieur aux productions suivantes. Trop bavard !
BB POSSO
BB POSSO
Julien D
A travers ce nouveau huis clos que réalise Hitchcock six ans après La corde, il parvient une fois de plus à créer un suspense particulièrement soutenu en utilisant de manière très aboutie le thème du voyeurisme. Ce thème est ici incarné par le personnage de James Steward, particulièrement charismatique dans sa chaise roulante, dont les yeux vont permettre aux spectateurs d’observer ses voisins ainsi la belle Grace Kelly et ses mésaventures. Derrière ce synopsis simple se révèle une technicité parfaitement aboutie en matière de mise en scène, de photographie et de composition qui donne au film son statut de classique.
Une mise en scène phénoménale pour un film phénoménal ! Un ascétisme fascinant pour un effet de tension - pourtant attendu - prodigieux. Un bel exemple « oxymorique » de la complexe simplicité d'un maître.
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