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Un visiteur
5,0
Publiée le 14 février 2009
Chef d'oeuvre. Passionnant du début avec ce premier plan se baladant entre les pièces de l'immeuble d'en face jusqu'à la fin et ce face à face tout simplement scotchant. Du suspense, de l'humour, des acteurs immenses (James Stewart est un des plus grands) bref un monument du cinéma. Indémodable.
Un film saisissant, et des acteurs génialissimes dans leurs rôles respectifs. C'est un réel plaisir d'observer, d'épier ces voisins tous aussi intéressants les uns que les autres !
J'ai du le voir une demi douzaine de fois, on ne s'en lasse pas, ce film même maintenant à garder sa fraicheur. Excellent, c'est un des films d'Hitchcock que je conseille parmi tant d'autres.
Très long par moments puisque les scènes de voyeurisme alternent avec des scènes de parlotte, heureusement que les dialogues sont travaillés et non désuets de drôleries acerbes. L'intrigue à la higgins clark intéresse surtout par ses détails, par ses personnages et par ses rares coups de théâtre à la fin. Une fin diablement réussie bien que le film soit à mon goût beaucoup trop long. Très théâtral somme toute, c'est du hitchcock.
Le scénario et les personnages sont très réaliste et la fin donne une vraisemblance énorme au film.Le film se démarque par son scénario originale et son authenticité.Il est parfait,surtout que le film tout entier se déroule dans la même pièce,ce qui fait qu'il n y a aucun moment d'ennui.
Hitchcock signe, avec ce Fenêtre sur cour, l’une de ses meilleures œuvres, épatante de réalisme et d’intensité. Grâce à une mise en scène efficace, qui lorgne un peu (beaucoup) sur le théâtre, le maître du suspense parvient à nous tenir en haleine avec au final bien peu de choses ; tout y est supposé, suggéré, sans pour autant en être moins angoissant. Un classique.
Un film marquant, sur le thème du voyeurisme, le tout en huis-clos. L'histoire est intéressante et la mise en scène parfois ingénieuse, même si quelquefois rébarbative (travelling similaires, fondu au noir trop présents). Le jeu des acteurs est appréciable, recelant quelques doses d'humour. En bref, un film devenu culte, mais dont les défauts, avec le temps, sont de plus en plus flagrants.
Un des plus grand chef d'oeuvre de Hitchcock! On y retrouve l'habituel mélange du maitre, érotisme (discret certes, année 50 oblige), suspense et humour, le tout avec une mise en scéne résolument avant gardiste: le film se déroule dans un décors unique l'appartement de Jeffries (que la camera ne quitte presque jamais) et la cours, et est entiérement basé sur le champ/contre-champ et la camera subjective. Ces choix auraient pu faire sombrer le film dans le théâtre filmé, mais ce n'est le cas a aucun moment, Hitchcock conservant toujours une véritable intensité dramatique et renvoyant finalement au spectateur sa propre image. Puisque Jeffries est dans la même situation que nous, bloqué dans son fauteuil spectateur de ses fantasmes. Le films capte l'essence du cinema ce qui fait qu'il fascine autant: le voyeurisme. Et voila un chef d'oeuvre, un film qui fait preuve d'une très grande modernité pour l'époque, et qui n'en déplaise a certains qui reproche a Hitchcock un manque d'engagement politique, un manque de noirceur, ou même de ne pas être assez intellectuel, supporte bien mieux le temps qu'une grande majorité de polar ou de film soit disant moderne des années 60 qui sont parfois iregardable aujourd'hui, alors qu'Hitchcock a atteint depuis longtemps l'universalité.
Un très bon film sur le voyeurisme porté par le couple James Stewart/Grace Kelly. Le scénario est très intelligent et la mise en scène efficace. Dommage que le film souffre de quelques manques de rythme à certains moments notamment au début.
Une fois de plus, Alfred Hitchcoq nous donne une grande leçon de cinéma en réalisant un film époustouflant.
En effet, au même titre que l’acteur principal, j’ai pris beaucoup de plaisir à observer les évènements qui se déroulaient de l’autre coté de la rue. Jetais littéralement captivé par ce qui se passait à l’écran.
Dans un décore « banale » (un appartement), Alfred Hitchcoq réussi à créer une « ambiance ».
Grace à une mise en scène irréprochable, à des idées de géni, ainsi qu’à un suspense qui dure jusqu’à la dernière minute, ce film m’a fait passer une très bonne séance de cinéma.
Petite perle de ludisme et d'humour. Cette fois-ci, Alfred s'adresse directement au spectateur, qui est représenté par ce génial Jimmy. Rear window, c'est plusieurs films. D'une part l'enquête d'un platré qui visiblement, VEUT voir un meutre dans sa cour, pour le distraire. Il y a aussi la vie de tous les jours de cette cour, où chaque élément renvoie au couple... et au problème principal de Jimmy, celui qu'il cherche à fuir justement, à savoir son couple avec Grace Kelly, plus belle que jamais (ca veut dire quelque chose!), qui trouve là probablement le seul rôle où on peut dire d'elle qu'elle est une bonne actrice. C'est un festival d'astuces cinématographiques que nous offre Alfred, les plans-séquences, l'utilisation des décors, regards-caméra... Bien sûr le film n'a pas la gravité et la richesse thématique de Vertigo, mais c'est avant tout une comédie. Et comment ne pas frissonner lorsque Jimmy est impuissant dans son siège alors que Grace est en danger (typiquement la terreur que recherche le spectateur qui va au cinéma), lorsqu'il est vu par le "méchant" (fantasme des films d'horreu) et lorsque ce dernier vient attaquer Stewart (après les livres dont vous êtes le héros, les films dont vous êtes le héros!). Quelques fous rires garantis donc, tant le second degré d'Hitchcock fait merveile.
Immobilisé à la suite d'un accident, un photographe s'ennuie à mourir dans son appartement. Mais avec la chaleur de l'été, les voisins laissent leurs volets ouverts, et c'est l'occasion pour notre protagoniste de jouer les voyeurs pour tromper l'ennui. Jusqu'à ce qu'il soit témoin de ce qu'il pense être un meurtre... "Rear Window" est un véritable tour de force en terme de mise en scène, proposant une intrigue policière filmée du point de vue du seul personnage statique, et du seul appartement où il ne se passe pas grand chose ! Jouant avec des plans larges et des zooms serrés, Alfred Hitchcock parvient à construire un suspense très efficace, qui n'a pas vieilli du tout, et qui apporte également une réflexion sur le voyeurisme (faut-il envahir la vie privée des gens, si cela permet de les sauver ou de les punir à juste titre ?). Sans compter une intrigue amoureuse intéressante entre James Stewart, impeccable en photographe intrépide mais cloué au fauteuil, et la ravissante Grace Kelly en petite amie amoureuse mais distancée, qui profitera des péripéties pour se rapprocher de notre héros.
Fenêtre sur cour est un suspens qui prend son temps. La première heure et demi en est même agaçante... Heureusement que Grace Kelly saupoudre son charme sur cet Hitchcock mineur.