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Un visiteur
5,0
Publiée le 7 février 2010
Mon préféré de tout les Hitchcock. La camera ne quitte pas la chambre, nous sommes avec le personne principal, nous voyons ce qu'il voit, son suspence est le nôtre.James Stewart est parfait dans ce rôle.
Un thriller réussit et intelligemment mené par Hitchcock.
J'ai trouvé que le spectateur était vraiment bien intégré au film, car tout comme le personnage de James Stewart, il n'a droit qu'à des plans à partir de son appartement. De ce fait, il se pose les mêmes questions que le personnage etc.
Le duo James Stewart - Grace Kelly fonctionne très bien. Un très bon thriller très bien mené. En tout cas, j'ai beaucoup apprécié ce film, avec un scénario simple mais original, une très bonne réalisation, et des comédiens en forme.
Je m'attendais à un grand film, j'ai été un peu déçu. Les acteurs sot très bons et Grace Kelly est superbe, mais l'histoire met bien trop de temps à se mettre en place. C'est long et ça parle constamment, avec quelques scènes de voyeurisme de temps en temps. La dernière demi-heure est très bonne et avec beaucoup de tensions mais on se rend compte aussi que quelques éléments ne servaient à rien.
Il y a que hichcock qui peut imaginer quelqu'un observer des personnes à travers une cour. Bien vu hitchcock. Film reusi mais je m'attendais à un peu mieu. Par moment c'est long.
Le voyeurisme peut conduire à etre plus intéréssé par ce qui se passe dans la cour de son immeuble que par la cour effectuée par Grace Kelly. C'est ce qui arrive à un James Stewart immobilisé et fasciné par le spectacle de la vie de ses voisins. Toutes les vies privées contiennent leur lot d'étrangeté insondable, c'est que semble nous dire Hitchcock. Superbement illustré, les images intriguent et nous mettent en lieu et place du héros, c'est un suspense un peu statique mais un brillant exercice de style. Pas mal d'humour aussi, typiquement hitchcockien.
Un des meilleurs films de Alfred Hitchcock, un petit chef d'oeuvre, marqué par un personnage central tres intéressant, joué brillamment par James Stewart, un personnage a mobilité réduite et qui vis seul, des détails presque sans importances dans l'absolu, surtout pour une histoire de ce genre, mais qui seront incroyablement bien utilisés par le cinéaste pour créer une ambiance passionnante, énormément de suspens, une Grace Kelly formidable, une mise en scene formidable et un scenario magistralement écrit... Génial.
Le maître du suspense ne porte pas son sobriquet par hasard. Car pendant près de deux heures, il ne filme l'action que d'un endroit fixe: l'appartement duquel James Stewart observe, espionne ses voisins. De par ce procédé, le cinéaste anglais réalise deux choses. De une, il nous projette totalement dans le film en nous posant dans la chambre du héros (et le cinéma, n'est-ce pas quelque part du voyeurisme, une façon de se projeter en tant que spectateur invisible et omniscient dans un cadre que l'on détaille hypocritement avec une satisfaction personnelle, en fin de compte un reflet de nos désirs?), formidablement incarné par James Stewart, et de deux il nous tient prisonnier de ce cadre renfermé, dans un huis-clos captivant et qui met les nerfs à rude épreuve. Impressionnant techniquement, ça c'est la marque de fabrique de Sir Alfred. Mais cette fois, il va au-delà du simple divertissement pour tirer une fable sur le voyeurisme banal. Le résultat n'en est que plus fort et efficace.
Enorme succès et classique aujourd’hui. Suspense intense, angoisse, énigme: un des meilleurs film du réalisateur. La dernière demi-heure est parfaite...
Un film intéressant, même si le suspense hitchcockien n'est pas extraordinaire ici. On retiendra surtout la réflexion sur le voyeurisme et sur la description de faits divers. Un des points forts de Hitchcock est particulièrement mis en exergue dans Rear Window : la qualité du scénario et le travail des personnages, de leur histoire. Le cinéaste a le mérite de ne pas articuler simplement son film autour du crime, et c'est ce qui donne de la saveur à son œuvre !
Un film que seul le maître du suspense pouvait créer, j'ai nommé l'immense Alfred Hitchcock. Un film en tous points mythique et captivant, grâce aux beaux décor de la cour, au super casting, aux véritables jeux de regard... On ne veut pas en perdre une miette de cette intrigue, dont nous sommes les témoins muets. Près de 70 plus tard, ce film fonctionne encore !
Hitchcock s'attaque avec Fenêtre sur cour à un quasi huit clos. Après un accident sur un circuit automobile, le reporter-photographe L. B. Jeffries (James Stewart) est immobilisé chez lui pendant quelques semaines. Cloué sur son fauteuil il n'a comme distraction que la visite de son infirmière et de sa tendre amie Lisa (Grace Kelly). La vue de son appartement donnant sur la cour intérieure, il s'amuse à observer ses voisins de l'immeuble. Divers personnages sont présentés mais tous ont un rapport avec une chose: l'amour. Il y a la femme seule sans mari ni amant, les jeunes mariés qui font l'amour toute la journée, le musicien célibataire qui s'enivre, la petite danseuse que les hommes convoitent, le couple sans enfant qui a reporté son affection sur le petit chien, et surtout le couple marié dont les disputes sont de plus en plus violentes jusqu'à la mystérieuse disparition de la femme. C'est cette disparation qui paru louche à Jeff, persuadé que quelque chose de louche se tramait il contacta son ami détective. C'est à partir de ce moment que le film jusqu'à présent teinté d'humour et de légèreté commença à devenir de plus en plus sombre jusqu'à un final haletant. le problème du personnage incarné par James Stewart c'est aussi la demande en mariage de Lisa et du manque d'attention qu'il lui prête afin d'observer les voisins qui comme dit plus haut ont tous une relation avec l'amour. On reste la majeure partie du temps cantonné à son point de vue mais Hitchcock réussi pourtant à nous captiver. La fenêtre par laquelle regarde Jeff est comme un écran d'un écran par lequel on observe tout ce petit monde, ces différents mode de vie. Hitchcock nous offre un très grand film, représentatif du voyeurisme. Un nouveau coup de maître.