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    Fenêtre sur cour
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    4,4
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    497 critiques spectateurs

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    Vinz1
    Vinz1

    178 abonnés 2 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 décembre 2023
    Acteurs superbes (le sémillant James Stewart et la sublime Grace Kelly en tête), dialogues géniaux (notamment les joutes entre hommes et femmes à cette époque !), cadre incroyable (« Rear window » est un huis clos dans un appartement donnant sur une cour d’immeuble) font de ce film du grand Sir Alfred un classique du genre et arrivent même à faire oublier le fait qu’on y parle plus qu’on agit ! Un long-métrage réalisé par un virtuose de la caméra, mais pas le meilleur du maître à mon sens.
    Artriste
    Artriste

    116 abonnés 2 005 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 novembre 2021
    Avec Fenêtre Sur Cour, Alfred Hitchcock nous offre ici un film à suspens atypique. L'histoire nous fait suivre un reporteur photographe qui après s'être cassé la jambe se retrouve chez lui immobilisé. Petit à petit il va se passionner pour ce qui se passe derrière les fenêtres des voisins au point d'en devenir obsédé. Ce voyeur va entrainer avec lui son entourage dans les machinations qu'il se fait à travers ce qu'il voit jusqu'à aller trop loin. Ce huis clos astucieux est plaisant à suivre même s'il comporte quelques longueurs et qu'il se veut redondant. Il faut dire que l'on ne quitte pas cet appartement même si il se passe de l'action dans le voisinage. Tout l’intérêt de l'intrigue se joue dans les discussions entre les différents protagonistes. Les personnages sont agréables et interprétés par un superbe casting. Le charismatique James Stewart et la rayonnante Grace Kelly en tête d'affiches, secondés par Wendell Corey et Thelma Ritter. Ces quatre là vont douter, enquêter et se quereller ensemble jusqu'au dénouement final. Les dialogues qu'ils s'échangent sont central, ces derniers étant nombreux et pour la plupart du temps agréables à entendre. Hélas ce n'est pas tout le temps le cas et quelques passages sont un peu longs. Côté réalisation Alfred Hitchcock réussi à donner vie à ces façades, passant de fenêtres en fenêtres avec plus ou moins de discrétion, nous faisant à chaque fois découvrir de nouvelles choses. Les décors de ces bâtiments finissent par faire de nous un habitant de ce bout de quartier. Malheureusement les transitions ne sont pas aussi travaillés. La b.o. elle est plutôt discrète et plaisante même si on ne la gardera pas en tête. Reste une fin surprenante qui change de ton par rapport au reste du récit. Au final, Fenêtre Sur Cour possède de très belles qualités qui font que c'est un film maitrisé à voir même si tout n'est pas non plus parfait.
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    93 abonnés 1 549 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 janvier 2022
    Parmi les films de Hitchcock, je placerai "Fenêtre sur cour" dans le haut du panier.

    C'est en effet un film à suspense efficace. D'une part, parce que l'histoire en elle-même est redoutable : un photographe en fauteuil roulant espionne ses voisins pour tuer le temps et croit avoir découvert un meurtre dans l'immeuble d'en face. Il y a de la matière avec un tel pitch pour se jouer du spectateur, l'envoyer dans des impasses, le faire douter.

    D'autre part, parce que le réalisateur a su ne pas tomber dans l'immobilisme qui aurait pu résulter de son unité de lieu. Au contraire, la caméra se ballade le long de la façade, des effets visuels miment la vision au travers de jumelles ou d'un objectif d'appareil photo, etc ...

    De telle sorte que, malgré un personne principal qui ne bouge quasiment pas et donc un film qui se déroule exclusivement dans une pièce, on ne s'ennuie pas.

    Pour réussir cela, il fallait également des acteurs suffisamment magnétiques pour attirer l'attention du spectateur et la conserver. Ce fut une bonne pioche lorsque Grace Kelly fut recrutée. Difficile d'imaginer quelqu'un d'autre reprendre ce rôle aujourd'hui. Elle a mis la barre très haut.

    James Stewart, également, parvient à capter l'attention et à nous maintenir en haleine, malgré un personnage très tête à claques.

    Et puis, j'ai une petite affection pour l'infirmière, peut-être le personnage avec les meilleures lignes de dialogues. Belle trouvaille, elle apporte des instants humoristiques bienvenus pour faire descendre la pression.

    Mais ce que je retiendrai, c'est probablement ce final. Vite expédié mais diablement marquant.

    Un bon Hitchcock en somme.
    Bernard D.
    Bernard D.

    111 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 janvier 2023
    Quel plaisir que de revoir « Fenêtre sur cour » (1955) d’Alfred Hitchcock. James Stewart est un grand reporter-photographe qui suite à une fracture de la jambe est cloué dans son appartement sous la chaleur de l’été. Il va pour s’occuper regarder ses voisins, un panel de la société. Certaines allers et venues vont l’intriguer et il passera de l’œil à une paire de jumelles puis au puissant téléobjectif de son appareil photo. Il va imaginer un meurtre et aura du mal à en parler à son infirmière (Thelma Ritter), son amie (la rayonnante Grace Kelly) et son copain de guerre devenu détective privé (Wendell Corey). Petit à petit la sauce va prendre et la chute – au sens propre du terme – clouera notre héros dans son fauteuil roulant les 2 jambes cassées, le sourire aux lèvres.
    Un film d’une très grande finesse remarquable par le décor et le montage. Un chef d’œuvre du cinéma qu’on savoure à chaque fois.
    Xavier D
    Xavier D

    59 abonnés 1 064 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 août 2022
    Un modèle du genre, ce huit clos, d'où on se retrouve, comme le charismatique James Stewart, qui a d'ailleurs un rôle très physique, a avoir envie de jouer les voyeurs. Même si parfois cela peut porter préjudice. Comme être le témoin d'un meurtre, ou que l'on le soupçonne. La présence féminine de Grace Kelly, arrange visuellement les choses, autre en tous cas, que ce suspense, réalisé par un maître en la matière. Un humour délicieux est aussi présent que la crainte. Ce chef d'œuvre joue sur tous les tableaux !
    Kalie
    Kalie

    60 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mars 2019
    Il s'agit là d'un film d'Alfred Hitchcock de très bonne facture qui se distingue par la prouesse de sa réalisation. Malgré une entrée en matière un peu longue à venir et une intrigue tout de même assez invraisemblable, le maître du suspense réussit l’exploit de retenir notre attention avec spoiler: un homme convalescent bloqué dans sa chambre et des habitants d'un immeuble filmés uniquement à travers leurs fenêtres
    ! Comme toujours chez le réalisateur, le jeu des acteurs et la photographie en Technicolor d'époque sont de qualité.
    Philippe C
    Philippe C

    97 abonnés 1 050 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 février 2020
    j'ai revu récemment ce célèbre film de Hitchcock et mon opinion est qu'il fait partie de ces films qui ne vieillissent pas très bien, plombés par la manière de jouer et de parler des acteurs qui, près de 70 ans après, fait date; malheureusement, le scénario, un peu lent n'occulte pas le coté artificiel du jeu des acteurs James Steward s'en tire finalement mieux que Grace Kelly.
    Restent quelques atouts, comme l'unité de lieu, puisque tout se passe vu d'une chambre ayant "fenètre sur cour" et cette observation de la vie des habitants de la cour, qui nous en apprend beacoup sur eux, juste grace à leur rmode de vie affiché ou deviné à travers une baie vitrée ou sur un balcon puisqu'on ne les entend quasimment pas parler. Le jeu de la caméra ( donc les yeux du voyeur) qui balaie les façades et fenètres, parfois les grossit quand le photographe utilise ses jumelles ou son téléobjectif, permet de suivre l'action....et donne lieu à des petites scènes amusantes comme celle du chien qui l'on descend dans un panier...quelques scènes de tension, à la Hitchcok ne suffisent pas sauver l'ensemble; Le dénouement est finalement sans surprise. On aurait aimé que les autres habitants de l'imemuble jouent un rôle plus actif dans le scénario.
    this is my movies
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    700 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 juillet 2016
    A. Hitchcock a réalisé le fantasme de tous les plus grand réalisateurs : mettre le spectateur en position de voyeur ultime. Pour ça, il a déployé toute sa science de la mise en scène pour nous offrir un des thrillers les plus passionnants de l'histoire. Imposant ses personnages, multipliant les scènes de dialogues mais surtout en utilisant les décors avec intelligence tout comme la lumière ou encore les angles de vue. Oui, car comment tenir en haleine le spectateur sans jamais sortir du salon du héros. L'exploit n'est pas mince et l'on se passionne très vite pour cette enquête en position assise tout en scrutant la vie des voisins du héros. Exercice de style brillant, acteurs exceptionnels, scénario ciselé pour un résultat bluffant, visuellement très abouti (mais ignoré par l'Académie, qui préférera récompensé E. Kazan) et véritable inspiration pour des dizaines de films du genre. D'autres critiques sur
    dougray
    dougray

    238 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 mars 2011
    Grand classique de la filmographie d’Alfred Hitchcock, "Fenêtre sur cour" ne peut cependant pas se vanter d’avoir aussi bien vieilli que "Psychose" ou "La mort aux trousses". La faute sans doute au soin tout particulier apporté par le réalisateur à sa mise en scène, qui use et abuse des contre-champs et des plans séquences à une époque où ces techniques étaient encore innovantes et qui paraissent aujourd’hui bien datées. Autre défaut : le temps que met l’intrigue à démarrer après une mise en place pas particulièrement efficace du en partie aux contraintes techniques inhérentes au huis clos (le point de vue du spectateur étant exclusivement limité à l’appartement du héros, immobilisé en raison d’une jambe cassée). Je serai moins dur avec le caractère désuet des us et coutumes de l’époque (les portes des appartements qui ne sont jamais fermées à clés, les voisins qui se connaissent tous, la place de la femme dans la Société…) et la lenteur de la mise en scène qui participent au charme du film. La place habituelle de ce "Fenêtre sur Cour" dans les classements des meilleurs films du 7e art n’est cependant pas entièrement usurpée. Outre l’originalité de l’intrigue (un homme cloué dans son appartement est persuadé que son voisin vient d’assassiner sa femme) et les formules habituelles d’Hitchcock pour nous tenir en haleine (le spectateur doute jusqu’à la révélation finale), c’est l’immense talent des acteurs à l’ancienne avec le formidable James Stewart qui n’a jamais vraiment été remplacé à Hollywood dans ce rôle de Monsieur Tout le monde si sympathique malgré ses travers, la superbe Grace Kelly dans un rôle étonnement bien écrit pour une production de l’époque (où les femmes étaient souvent réduites au rôle de la potiche asservie aux hommes), Thelma Ritter en femme de ménage curieuse et l’inquiétant Raymond Burr en voisin louche. Dommage néanmoins que la scène finale ne soit pas davantage surprenante. J’aurais sans doute préféré que le voisin soit innocent, ce qui aurait permis une étude intéressante de la tendance du héros à s’inventer des énigmes à résoudre pour tuer l’ennui et qui n’aurait pas eu pour conséquence de légitimer le voyeurisme.
    Rotten Tomatoes
    Rotten Tomatoes

    100 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mai 2014
    Fenêtre sur Cour n’est même plus un classique. C’est un indispensable indémodable, un policier à suspense indétrônable et une équipe d’exception. 5/5
    Scorcm83
    Scorcm83

    101 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 avril 2015
    La minutie et la maîtrise hitchcockiennes, qui d'autre que lui pouvait réaliser un film de cette envergure ? Un excellent huis clos que ce "Fenêtre sur Cour", porté par des acteurs au top du top. James Stewart, malgré son air détaché et son attitude quelque peu irritante arrive à nous attacher à son personnage en un rien de temps, sa relation avec le personnage de la sublime Grace Kelly est géniale et évolue en même temps que l'intrigue principale, si bien qu'hormis le postulat de départ, on s'intéresse autant à cet hypothétique meurtre qu'aux relations entre les différents protagonistes. La mise en scène est (mais est-il nécessaire de le rappeler ?) parfaite, dans ses cadrages, ses mouvements de caméra et son ambiance sonore, on est plongé dans le film dés la première minute, on ressent la lourdeur de l'été new-yorkais, coincé dans cet immeuble, à la manière du personnage, sans d'autre choix que de "regarder".

    Une belle réussite, un film que je conseille à tout le monde, du grand art !
    Melissa Zka
    Melissa Zka

    38 abonnés 485 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 février 2020
    Un des chefs-d'oeuvre d'Alfred Hitchcock. Le scénario peut paraître quelque peu tiré par les cheveux, il n'en reste pas moins qu'il est intéressant, avec un personnage aussi obsessionnel qu'attendrissant et intelligent. James Stewart est excellent dans ce rôle bien qu'il reste en fauteuil roulant durant tout ce film. Sa partenaire Grace Kelly incarne une jeune femme brillante malgré sa blondeur, ce qui casse un peu l'image des blondes écervelées, tout en gardant son éternel charme et sa magnifique beauté. Nous retrouvons ce côté palpitant qui ne fait que s'accroître au fil de l'histoire pour atteindre son sommet à la fin. Évidemment, ce genre de films ne convient pas à tout le monde, puisqu'il s'agit d'un thriller qui repose avant tout sur la réflexion et la psychologie. D'ailleurs, j'aime beaucoup les arguments donnés ainsi que les contre-arguments.
    Stephenballade
    Stephenballade

    396 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 avril 2018
    J’ai tellement entendu parler de "Fenêtre sur cour" que j’en attendais beaucoup. Sans doute beaucoup trop parce que j’en suis sorti relativement déçu. Il se peut cependant que ma déception vienne aussi du fait que j’ai commis la bêtise de découvrir avant son remake modernisé et rajeuni, j’ai nommé "Paranoiak" (2007) avec Shia LaBeouf. Mais revenons en 1954 et sur ce mythique "Fenêtre sur cour". Eh bien je ne vais pas être très original parce que je partage complètement l’avis de l’internaute cinéphile ChroniqueMécanique, à la différence près que je suis un tout petit peu plus généreux dans ma note. Car il faut tout de même tenir compte de l’époque, bien que tout comme lui, je considère que nous n’avons pas là le meilleur du cinéaste britannique. Traduction : pour reprendre les termes de ChroniqueMécanique, "Fenêtre sur cour" est loin d’être mon Hitchcock préféré, des œuvres telles que "Les oiseaux" ou "La mort aux trousses" m’ayant nettement plus marqué. Pourtant ce film est différent. Différent parce que la totalité de l’intrigue se passe en huis-clos, par ailleurs savamment maîtrisé. La preuve : laissez-vous donc emmener à New-York, dans l’appartement occupé par un reporter photographe répondant au nom de Jeffries (James Stewart), cloîtré chez lui à cause d’une jambe intégralement plâtrée. Imaginez donc ce que peut donner un homme condamné à rester oisif quand celui-ci est habitué à parcourir le monde… Oui, il tourne comme un lion en cage (c'est imagé bien sûr), alors il meuble ses journées à la chaleur accablante comme il peut. Pensez donc, il fait 94°F à l’ombre (soit en Celsius 34,4°), rendant les nuits bien peu reposantes et les démangeaisons sous plâtre beaucoup plus désagréables. Ainsi le spectateur est invité comme lui à observer le voisinage étendu sur les nombreux appartements des immeubles alentours sur lesquels il a une vue imprenable. Certains vaquent à leurs occupations habituelles, d’autres tentent de s’affranchir de la température caniculaire en allant dormir sur le balcon après y avoir improvisé un lit de fortune. Le reporter peut cependant compter sur son amie Lisa, une sorte de bien jolie femme du monde aux toilettes toujours soignées portées avec beaucoup de classe par la sublime Grace Kelly. Celle-ci a beau essayer de le distraire, il lui suggère plutôt de passer « à d’autres attractions ». Grand dieu ! Mais il est fou ? Se peut-il que son voyeurisme lui fasse reléguer les activités plus friponnes au second plan ? C’est le monde à l’envers ! D’habitude ce sont les femmes qui ne sont plus enclines à la bagatelle dès lors que quelque chose les préoccupe. Au prix d’une mise en scène encore une fois remarquable, on remarque comment le cinéaste parvient à casser les codes régissant la vie de couple. Mais que voulez-vous ? Quand on commence à connaître sur le bout des doigts toutes les habitudes des voisins jusque dans les moindres détails à force de les observer, le moindre quelque chose d’inhabituel a vite fait de vous interpeller et de vous triturer l'esprit. C’est exactement la mécanique de ce scénario, un scénario qui utilise tous les outils possibles et imaginables pour nous faire glisser tous ensemble vers la paranoïa : l’élaboration de théories, la moquerie amusée des différents interlocuteurs de Jeffries, et de très bons dialogues entre les deux personnages principaux, le tout en concordance pour susciter à la fois mystère et suspense. Sauf que je n’ai pas ressenti plus que ça cette paranoïa, pas plus que l'emprise d’un suspense poignant. En dépit d’un scénario intelligent et bien ficelé, peut-être est-ce dû à un ton un peu trop théâtral (à cause du rang social de Lisa ?) ? Pourtant le rythme gagne en intensité au fur et à mesure que l’intrigue se déroule, notamment sur la fin quand les protagonistes décident de passer à l’action pour tenter de précipiter les choses et voir si leur théorie est justifiée ou non, mais on a connu plus intense chez Hitchock, y compris au niveau du suspense. Cependant l’homme à la silhouette connue dans le monde entier laisse planer son ombre comme une incertitude, car impossible de savoir si Jeffries fabule ou pas. Car ce qui est remarquable, c’est que tous les scénarii envisagés sont plausibles. En conclusion : bien mais sans plus, dans tous les cas intéressant à découvrir si ce n’est déjà fait.
    DarkParadise
    DarkParadise

    122 abonnés 1 032 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 juin 2011
    Un film marquant, une intrigue passionnante et des acteurs parfaits dans leur rôle, avec une Grace Kelly toujours aussi somptueuse. Tous les ingrédients du suspense sont finement réunis dans ce film. L'angoisse de l'immobilisation du héros, un rôle en or pour James Stewart en passant, la montée en tension rendu par les expressions du visage renforcé par l'incrédulité et le côté volage de Grace Kelly vous donne à vous aussi une monté adrénaline. Le suspens du film vous transporte dans ce petit appartement, auprès du protagoniste. Un classique à voir et à revoir! Ce chef d'oeuvre est INCONTOURNABLE.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    103 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 mars 2019
    Grand classique de la filmographie d’Alfred Hitchcock, Fenêtre sur cour raconte l’histoire d’un photo-reporter cloué chez lui après s’être cassé une jambe. Ne sachant comment combler ses journées, il va développer une passion quasi-maladive pour la vie de ses voisins, jusqu’à soupçonner l’un d’entre eux de meurtre. Porté par le duo James Stewart/Grace Kelly, le long-métrage déroule son rythme assez tranquillement, sans grande surprise, jusqu’à un final un peu plus mouvementé. Non dénué d’humour, ce huis-clos sur le voyeurisme, presque entièrement composé de plans subjectifs, vus depuis l’appartement du protagoniste principal, reste un très bel exercice de style du maître du suspense.
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