Excellent comestible. Joyeux bordel que cette suite au cultissime Wayne's world, film hard rock. C'est pour moi du grand art (du grand hard?). Drollissime avec des répliques tordantes (pourquoi il marche mal votre oeil bizarre?) un must.
La suite excellente de l'excellent "wayne's world". Si le film est un peu plus conventionnel que le premier, il en reprend tout les ingrédients majeurs et l'humour sans les usés ou les dénaturés. Toujours culte évidemment, avec ses deux personnages inoubliables, notammment Garth Algar, un des rôles les plus délirants et des plus originals de l'histoire du cinéma. Avec en plus les participations au film du très grand Christopher Walken et de la sublime Kim Basinger. Si vous avez adoré le premier, vous aimerez le second, même si lui ne révolutionne rien comme le précédent. MEGATEUF !!!!!!!!!!!!!!!!!
wayne's world 2, c'est comme le premier mais en mieux maitrisé, un rythme mieux géré et des parodies meilleurs, le point faible, c'est qu'il manque la découverte de ce milieu complétement déjanté que nous avions dans le premier. mais pour ceux qui ne l'on pas encore vu, de bon moments en perspectives ;)
Oeuvrant habituellement pour le petit écran (il signe des épisodes pour de nombreuses séries), Stephen Surjik succède à Penelope Spheeris. Lors de l'intro, Wayne nous souhaite la bienvenue dans "Wayne's World 2". Changement de réalisateur mais pas d'état d'esprit donc, bonne nouvelle. Un an a passé, ils ne vivent plus chez leurs parents et Garth a désormais des poils pubiens, voilà pour les évolutions majeures dans l'univers de nos deux loustics au démarrage de ce deuxième opus. A partir de maintenant, c'est le producteur de Cassandra, Bobby Cahn (Christopher Walken), qui cherchera à l'éloigner de Wayne (jusqu'à le poursuivre dans une boîte gay pour l'un des passages les plus drôles du film). "Wayne's World 2" marque le questionnement existentiel de Wayne Campbell et trace le chemin vers ses réponses. Et c'est un Jim Morrison plausible jusque dans la dégaine qui le lui révèle. Cet objectif portera un nom : Waynestock ! Après un voyage à Londres (occasion d'un excellent gag visuel) commence donc l'organisation d'un gigantesque concert de rock en plein air, à Aurora, Illinois. Des paperasses administratives aux collectes de fonds (j'adore le concept de la fête communiste !), le défi est de taille. Ce second volet très plaisant fait fréquemment dans la parodie cinématographique. Que ça apporte un petit quelque chose à l'histoire ou non, c'est globalement réussi. Le long détournement de "The Graduate" ("Le lauréat") est d'ailleurs parfaitement intégré au récit. Preuve qu'il s'agit d'une suite d'un film à succès, les stars qui se prêtent au jeu ne sont pas insignifiantes : Kim Basinger (qui a de super scènes avec Garth dans une intrigue parallèle), Drew Barrymore (dont je ne dirai jamais assez de bien), Charlton Heston (sans fusil, ça fait plaisir) et bien entendu Steve Tyler ! A ce propos, la bande-son rock est légèrement moins intéressante que celle du premier, Aerosmith éclipse aisément le reste. Attention, ce film comporte un indien zarbi à moitié à poil.
La digne suite du précédent (oui je sais c'est stupide comme phrase). On voit même un Indien zarby à moitié à poil et Jim Morrisson. La parodie va plus loin et le film se prend encore moins au sérieux que le précédent (à noter la sublime scène de doublage rajoutée pour le combat entre Wayne et le père de Cassandra, et le fait que la Paramount leur ait payé un voyage à Londres au lieu d'envoyer des doublures). Je n'ai qu'une seule chose à dire : ON N'EST PAS DIGNE, ON EST A CHIER, ON EST TOUT P'TIT.