Un James Stewart qui ravage tout sur son passage comme à son habitude et un autre succès splendide d'Hitchock. Cependant il n'est pas mon préféré, j'ai trouvé Birds ou Rear Window beaucoup plus marquants de part leurs principe uniques, que ce soit dans la réalisation ou dans l'ambiance. Vertigo reste tout de même un grand film réalisé par un grand monsieur et qui ne prend presque aucune ride grâce à des jeux d'acteurs au poil et aussi à une trame plus intrigante que jamais.
J’en ai encore la chair de poule. Qu’est-ce que j’ai aimé ce film. On est dessus tout au long, on ne peut pas avoir un temps de répit spoiler: excepté les 20 premières minutes plutôt lente et on est toujours concentré car c’est vraiment captivant. L’énigme est fabuleusement bien pensée et on est vraiment absorbé par le scénario. Hitchcock réalise un chef d’œuvre visuel avec des plans qui nous mettent réellement dans la peau de Scottie notamment pour les vertiges. Enfin que dire de la conclusion du film déboussolante, effrayante, magnifique et en même temps bouleversante. Alfred Hitchcock m’a impressionné à vie avec ce film qui est absolument incroyable tant tous les genres sont en place amour, thriller, drame et même épouvante quelquefois. James Stewart est parfait et que dire de la sublime Kim Novak qui joue surement un des rôles de sa vie. Un monument du cinéma à voir et qui sera inoubliable pour vous !
Un des meilleurs Hitchcock avec un duo de choc et une superbe réalisation. Les effets spéciaux sont discutables mais ils commencent à dater! Un coup de maître du à une équipe très inspirée
Sueurs froides ( Vertigo dans son titre original ) est un excellent film d'Hitchcock munie d'une très bonne intrigue menée de bout en bout avec un rebondissement ( un peu prévisible certes ) mais vraiment bon . On suit une enquête assez étrange et mystérieuse qui va mettre en avant un détective fasse a ses propres peur , le vertige . On retrouve James Stewart avec une fois de plus son charisme habituel , un rythme lent mais extrêmement prenant qui ne nous fait pas sombrer une seul seconde dans l'ennui . La bande son est excellente et notons qu'une fois de plus comme de nombreux film d'Hitchcock ce film n'a pas vieillit d'un poil , il date de 1958 pourtant , la photographie est quand a elle soignée . La fin est tout de même surprenante et vraiment bonne , bref un film a voir au moins une fois .
Je n ai pas du tout aimé. Film trop lent avec une intrigue plate et qui force devient ennuyeuse à force. J'ai vraiment eu du mal à rentrer dans ce film tant je le trouvais trop long (mise en scène et montage). La plupart de décors ont l'air irréelle. En plus je commence à détester le jeu d'acteur de James Stewart qui est toujours pareil ! les mêmes expressions faciales, mêmes mimiques...Bref les deux heures j'ai commencé à les sentir dès le générique de début.
Probablement le film d'Hitchcock que j'ai préféré avec son intrigue d'une rare solidité, son rythme posé mais sans longueurs, l'incroyable interprétation d'un James Stewart extrêmement charismatique, une fine analyse psychologique des personnages, des décors naturels somptueux et une mise en scène novatrice très intelligente. Une œuvre phare, géniale.
Ce film représente la pure quintessence hitchcockienne. Un homme tombe amoureux d’une femme qui se suicide. Un jour il croit la reconnaître dans la rue. Sosie ? Revenante ? Hallucination ? Non : complot. Vertigo est un grand film paranoïaque, nécrophage, vampirique, infernal sur notre monde d’apparence et sur la représentation de l’amour comme force destructrice. Un film inépuisable et désespéré, l’un des plus grands de toute l’histoire du cinéma.
Vertigo est devenu en 1/2 siècle, une œuvre incontesté du cinéma dépassant, dans la revue Sight et Sound, le plus grand film de l’histoire du cinéma, Citizen Kane, en lui chipant la 1ère place en 2012. Pour certains, LE chef d’œuvre d’Hitchcock, pour d’autre un film trop surestimé, il reste encore aujourd’hui une grande référence dans l’histoire du cinéma avec autant d’ouvrages consacrés à l’analyse si particulière de ce film. De mon côté, c’est un de ces films qu’on attend beaucoup mais qui déçoit un peu. Les acteurs sont, comme d’habitude chez Hitchcock, très bien dirigés: James Steward en ex-inspecteur de police sujet aux vertiges est brillant et Kim Novak sublime les deux rôles qu’elle joue, plus particulièrement celui de Judy. Tout le prodige d’Hitchcock et encore une fois-là, avec une mise en scène au top, de magnifiques mouvements de caméras avec sa nouvelle création « l’effet vertigo » et d'une belle image tout en finesse. L’un des principaux problèmes de ce film c’est le scénario. Une enquête puis une histoire d’amour trop rapide pour être crédible, et une fin ridicule. Le rythme dans la première partie est très lent et on s’ennuie vite mais la 2ème partie est plus efficace et tient en haleine jusqu’au dénouement final. On n’oublie pas la musique de Bernard Herrmann qui porte le film avec une réelle efficacité. Une œuvre qui est toujours maîtrisée par le maître du suspense, bien jouée, très belle, mais qui patine un peu avec un scénario lent dont on peut vite perdre le fil si on n’est pas attentif. Malgré tout, il reste un incontournable du cinéma qu' il faut voir au moins une fois dans sa vie!
Véritable chef-d’œuvre d’Alfred Hitchcock, peut-être son plus grand, mais qui me paraît, ô sacrilège, passablement vieillissant. La double histoire est déroutante, la mise en scène et le montage sont parfaits, la musique sublime, etc. Quant aux héros, dirigés admirablement par le « Maître », ils sont irréprochables ; Kim Novak use de son charme troublant… bref, du grand art. Et cependant, comme lors des deux visions précédentes, j’ai ressenti un soupçon d’ennui, chose que ne n’ai jamais connue dans les autres films d’Hitchcock.
Sueurs froides : Grand classique Alfred Hitchcock. Vertigo est une œuvre majeur ou on voit encore tout la maestria du réalisateur. Déjà, on a le droit a une réalisation qui est toujours aussi magnifique et sublime avec une mise en scène soigné comme il avait le génie a l’époque. De plus, on a le droit a une nouvelle invention de Hitchcock : un mouvement de caméra absolument excellent et ingénieux qui simule et donne l’impression de vertige (qui est un des thèmes du film et surtout la phobie du personnage principale). Enfin ce mouvement de caméra est juste énorme et a était réutilisé dans de nombreux films connu (les dents de la mer…). Donc voila, coté réalisation : c’est juste du grand Hitchcock. Ensuite, coté scénario : on est entre une enquête et une histoire romantique dans la deuxième partie du film. C’est deux sujet sont bien traité et intéressant a suivre, tous comme les personnages. Mais le problème de ce film (que on voit assez souvent dans les Hitchcock) : c’est des longueurs et des problèmes de rythme. Sert, il prend son temps et laisse place aux personnages (leur relations, psychologies…) mais bon des fois, on perd un peu le fil jusqu'à la vers la fin ou l’intérêt resurgit (avec des révélations et un suspense a son maximum). Mais ça tache en rien les qualités indéniable du film, mais il faut tout de même le souligné (je parle pour moi bien sur, ils y a des personnages qui trouverons peut être pas de longueurs). Parlons des acteurs qui sont tous particulièrement convaincants avec de sublimes jeux d’acteur. Et on retrouve encore (pour notre plus grand plaisir je souligne) l’excellent James Stewart. Donc voila, un film romantique dramatique sous fond de thriller. Cette œuvre est maitrisée et dirigé de main de maitre par Alfred Hitchcock qui aime jouer avec le spectateur ("comme si il joué du piano" : réplique de Alfred Hitchcock lui-même).
Si on met de côté la romance entre Stewart et Novak peu crédible tant elle est mal amenée et précipitée, l'intrigue est plutôt intéressante malgré le lot habituel de facilités qui mettent quelques peu à mal sa crédibilité. Le scénario tient relativement la route jusqu'à la révélation de Judy, le flashback et la lettre — aussitôt déchirée — qui arrivent comme un cheveu sur la soupe ce qui casse le travail effectué précédemment. Les 30 dernières minutes apparaissent ensuite comme un supplice tant l'histoire peine à trouver un second souffle, et ce jusqu'à un dénouement final raté, beaucoup trop abrupt. C'est dommage car le potentiel était là mais le résultat final manque de consistance, d'homogénéité, et ne parait pas totalement abouti, en tout cas pas assez pour prétendre à être un des meilleurs du réalisateur ou du cinéma en général. Comme souvent chez Hitchcock, pas grand chose à reprocher à la mise-en-scène ou à la réalisation. Mention spéciale tout de même à la bande-originale signée Bernard Herrmann, excellente, qui souligne parfaitement l'atmosphère intrigante de Vertigo.
L'un des meilleurs films de Hitchcock. Esthétique, étonnant, brumeux, cette réalisation est dotée d'une histoire superbe et d'un final à couper le souffle. UN chef-d'oeuvre du cinéma qui mêle frisson et policier.
Passion de De Palma (que je conseille à tous les fans d'Hitchcock) m'a donné envie de revoir ce chef-d'oeuvre qu'est Sueurs Froides, sacré plus grand film de l'histoire par les critiques du monde entier l'année dernière. Et dès le générique, le doute est levé : Vertigo n'a pas usurpé sa réputation. Les images hypnotiques couplées à l'obsédante musique de Bernard Herrmann ont tôt fait de scotcher à son siège le spectateur sceptique ; à tel point que, si le film s'arrêtait au bout de ces cinq minutes, il mériterait déjà la note maximale ! Mais n'en déduisez pas que la suite n'est pas du même acabit. Bien au contraire même. Sur un scénario absolument génial des frenchies Boileau-Narcejac, Hitchcock greffe ses obsessions intimes. Il s'associe entièrement au personnage de James Stewart : même fascination pour une blonde perdue (Grace Kelly, évidemment), même volonté de la faire revivre chez une autre (Kim Novak dans le film). spoiler: Mais Madeleine et Judy sont une seule et même personne, et, ainsi que Scottie est finalement guéri à la fin du film, le maître Alfred se libère du souvenir de Grace pour pondre une oeuvre qui surpasse aisément Fenêtre sur cour. Car la grande force de Vertigo, c'est de conjuguer suspense insoutenable et passionnante histoire d'amour ; le tout dans une ambiance étrange aux confins du fantastique, dont les sommets sont sans aucun doute les deux scènes dans la mission espagnole - à la puissance dramatique inégalée - où la technique (le fameux travelling compensé) est mise au service de l'émotion la plus intense. L'auteur place James Stewart dans la position du spectateur, et inversement le spectateur se reconnaît en lui (mise en abyme reprise dans le magistral Eyes wide shut de Stanley Kubrick) spoiler: ; jusqu'à la rupture que constitue la révélation au spectateur seul une demie-heure avant le dénouement : Hitch délaisse la manipulation au profit du suspense (à l'opposé du choix que fera Kubrick, plus misanthrope et sournois) . Sueurs froides est donc probablement, avec Citizen Kane (son dauphin dans le classement d'ailleurs), le film qui, entre tous, a le plus apporté au cinéma. Le récent Passion le prouve encore une fois de plus si nécessaire. Vous l'avez compris, Vertigo est une mine à analyse, et, plus immédiatement, une vraie claque cinématographique !
Quel Chef d'oeuvre !!!! Alfred Hitchcock manie la caméra avec précision et sans relâche. Nous accompagnons James Stewart dans ce vertige de l'amour, et on en a des grands frisson. Kim Novak est magnifiquement extraordinaire ! La musique composé par Bernard Hermann nous transporte d'un bout à l'autre aux divers scènes. Tout est impeccable; que ce soit sur la trame du suspense, ou sur la trame de la romance. Un grand moment du cinéma.