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    Sueurs froides
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    456 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 janvier 2013
    Pour moi, Sûrement le film d'Hitchcock le plus aboutit et le plus réussi avec "Vertigo". Pour moi l'une des plus belles histoires d'amour avec "Sur la route de Madison" et "Autant en emporte le vent". Hitchcock réussit encore à nous surprendre par son talent. James Stewart et fantastique amoureux soumis au vertige. Kim Novak livre une double prestation troublante et pleine de sensibilité. Les costumes correspondent parfaitement aux personnages; Kim Novak est sublime dans son ensemble gris, couleur qui ne va pas vraiment aux blondes. Les costumes montrent la véritable personnalité du personnage de l'actrice; ainsi, l'ensemble de Madeleine est gris pour montrer toute l'étrangeté de cette femme; Judy porte qund à elle des vêtements plus communs pour montrer qu'elle redevenue elle-même. La musique de Bernard Herrmann est sublime et les décors trés bien choisis. L'effet créé par Hitchcock (le zoom avant et le recul de la caméra) nous donne vraiment LE vertige, nous permet de nous identifier au personnage de James Stewart. Tous ça fait de ce film un véritable chef-d'œuvre cinématographique .
    Mathias Le Quiliec
    Mathias Le Quiliec

    59 abonnés 378 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 juillet 2018
    Du grand Hitchcock. J'attends quand même un 2ème visionnage pour lui attribuer un statut de chef d'oeuvre et une première place devant Psychose ! Des scènes d'anthologies, un scénario sans pareil et des acteurs au sommet de leur art. Pour le suspens et le plaisir il est mieux de ne pas trop en dire a son sujet. Considéré par beaucoup de réalisateurs et de critiques comme le meilleur film du maître. A voir d'urgence donc, vraiment.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 décembre 2011
    Décrit comme l’une des plus fascinantes histoires d’amour du cinéma et considéré comme « le film le plus abouti » du génie et regretté Alfred Hitchcock (A qui l’on doit le parfait « Psychose » mais également son lot de films cultes, Fenêtre sur cour, Les Oiseaux, Frenzy, Mais qui à tué Harry ?, L’homme qui en savait trop et bien d’autre encore). Ainsi fan de ce diable d’Alfred Hitchcock après seulement deux films à savoir Psychose et Les Oiseaux, on ne peut qu’attendre un chef d’œuvre de sa part. Est-ce le cas avec ce Sueurs Froides (Vertigo, de son nom original) réalisé en 1958 et résultant de l’adaptation cinématographique d’un roman français intitulé « D’entre els morts » et écrit par deux auteurs : Boileau et Narcejac, devant leur renommé après avoir écrit le film à suspens « Les Diaboliques ». Ainsi mettant en scène John Ferguson (James Stewart) un ancien détective sujet au vertige, qui va reprendre du service pour le compte d’un ami, ce dernier lui demandant de suivre sa femme à priori suicidaire. Seulement, l’homme va vite s’éprendre de la belle Madeleine (Kim Novak) en détresse. Ainsi commençant par une bande sonore d’exception de Bernard Hermann (Compositeur de plusieurs films d’Hitchcock comme Psychose) puisque je pense que Sueurs Froides n’est en aucun cas Sueurs froides sans cette bande sonore qui les rend inséparables, et par une intro forte accrocheuse et visuellement déjà intéressante. Le scénario s’avère d’une extrême justesse, et à l’instar du cultissime Psychose, le scénario en plus d’être efficace, se révèle extrêmement bien construit, et disposant d’un twist-end plus qu’inattendu qui ici utilisera une technique peu conventionnelle, puisqu’une fois le twist-ending révélé, le spectateur sera le seul détenteur de ce « secret », pas le personnage principal qui continue de rester dans l’ombre et la tourmente (A l’extrême, quoi que vers la fin, son degré de percution est assez poussé certes), nous laissant alors entre autre dans le schéma de la série télévisé « Inspecteur Derrick » puisque dedans, l’identité du tueur est révélé dès le début étant donné qu’on est installé dans son intimité au début, mais pas les détectives qui découvriront petit à petit, avec des indices, comme dans ce Sueurs Froides, quoi qu’heureusement le spectateur se laissera vite envahir par ce mystère permanent et vraiment bien mené et travaillé (Jusqu’à la moindre réplique et au comportement) et ces révélations n’interviendront qu’un peu avant la fin. Et finalement, c’est ça qu’on adore et qui nous fascine chez Hitchcock, son côté ultra-perfectionniste (Peut-être encore plus que Kubrick) allant de sa systématique apparition encore dans ce long-métrage, que l’invention sur le plateau du tournage de l’utilisation simultanée des techniques du zoom avant et du travelling arrière, pour appuyer et souligner la sensation de vertige de John Ferguson. Seulement un léger défaut, la puissance du récit et des acteurs est tel qu’absorber par le film et par chaque détails on reste vraiment sur notre fin, là où finalement, et c’est bien là rare fois ou sa m’arrive, que j’aurais espérer une touche finale conventionnelle, et finalement c’est là qu’Hitchcock intervient pour nous rappeler que c’est bel et bien son film et lui le réalisateur. Alors est-ce une façon de contourner les codes ? Ou était-ce dont il voulait depuis le début ? Peu de gens le savent finalement.
    Sueurs froides est également un film qui propose à des acteurs incroyables des rôles plus qu’adéquates, puisqu’ici la relation Stewart-Novak fonctionne à merveille, émut, fais sourire, fascine et passionne. En effet, tout deux délivrant des interprétations quasi-parfaite, cela viendra s’ajouter à la longue liste des qualités de ce film, notamment avec la mise en scène vraiment soignée et travaillée, toujours cette magnifique façon de filmer qui lui est propre nous offrant une large palette de plans d’une pertinence déconcertante et d’une beauté rare, comme ces superbes idées au montage apportant une touche assez onirique au film pour traiter de la mélancolie et de la tristesse du personnage principal, arrivé un stade du film. Une belle photographie et des dialogues minutieusement écrits sont également au rendez-vous. Non vraiment ce film est un chef d’œuvre ! D’ailleurs bien qu’il reste un peu inférieur à Psychose, beaucoup de similitudes avec ce dernier sont à remarquer comme quelques plans (dans la voiture) ou encore l’intérieur de l’hôtel ressemblant étrangement à la maison de Norman Bates et sa mère. Voulait-il faire mieux avec ce film ? Corriger? Ou bien estimait-il cela comme la meilleure façon de traiter le sujet ?
    Bref, Sueurs Froides est un film inratable (considéré comme l'un des 10 meilleurs films Américains de tout les temps), un vrai chef d’œuvre ! Merci monsieur Hitchcock !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 janvier 2008
    Un chef d'oeuvre absolu, l'un des plus grand film du non moins grand Alfred Hitchcock!
    C'est une envoutante, angoissante, fascinante, d'une richesse exceptionnel. La mise en scéne est riche en symbole, tant dans les objets, les mouvements de caméra que les couleurs (les plus marquante étant le rouge et le vert, respectivement l'amour et la mort). Ce film est l'histoire d'un homme perdu dans le labyrinthe de ses fantasmes, tout baigne dans une atmosphère onirique, et semble marqué du sceau de l'étrange, Hitchcock brouillant les pistes a l'image de cette superbe séquence ou le héros Scottie recherche Madeleine qu'il a aimé et perdu et crois la voir (et le spectateurs avec lui) dans toutes les femmes qu'il croise.
    Le film est construit en deux partie, la première racontant une histoire proche du fantastique, et la deuxiéme détruisant toutes les illusions présenté dans la première. le film est marqués aussi par la répétions s'ouvrant et se terminant sur une chute, chute que l'on retrouve au milieu du film.
    Une œuvre moderne, avant gardiste même dans le contexte des années 50 (tout comme le sont aussi des films comme Fenêtre sur cours, Psychose ou Les oiseaux). A noter aussi le premier travelling compensé de l'histoire du cinema traduisant le vertige.
    Un chef d'oeuvre absolument magnifique
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 29 octobre 2014
    Comme la plupart des films d'Hitchcock la musique de Bernard Herrmann est omniprésente, redondante avec l'action. Dans de nombreuses scènes l'utilisation de la transparence se voit.
    Dans "Sueurs froides", le jeu des deux acteurs principaux est calamiteux, et l'intrigue pas crédible une seule seconde. Ce film a vieilli énormément.
    Shephard69
    Shephard69

    332 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 mai 2013
    Probablement le film d'Hitchcock que j'ai préféré avec son intrigue d'une rare solidité, son rythme posé mais sans longueurs, l'incroyable interprétation d'un James Stewart extrêmement charismatique, une fine analyse psychologique des personnages, des décors naturels somptueux et une mise en scène novatrice très intelligente. Une œuvre phare, géniale.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    194 abonnés 2 509 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 juillet 2016
    Un vrai monument du cinéma.
    James Stewart est bluffant en personnage torturé et Kim Novak est excellente (car la performance était compliquée).
    L'histoire est géniale. On est accroché du début à la fin. Le final est inattendu.
    La musique, signée Bernard Herrmann accompagne très bien l'atmosphère vertigineuse du film.
    Un excellent film d'Alfred Hitchcock.
    yohanaltec
    yohanaltec

    97 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 décembre 2013
    Ouah. Ouah. Ouah. Sueurs Froides est une claque monumentale, un chef d'oeuvre psychologique phénoménal, un James Stewart excellent, et un scénario énorme. Le meilleur film de tout les temps selon moi.
    Eldacar
    Eldacar

    48 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 août 2007
    Sûrement le film d'Hitchcock le plus aboutit et le plus réussi avec "Fenêtre sur cour". Pour moi l'une des plus belles histoires d'amour avec "Sur la route de Madison" et "Autant en emporte le vent". Hitchcock réussit encore à nous surprendre par son talent. James Stewart et fantastique amoureux soumis au vertige. Kim Novak livre une double prestation troublante et pleine de sensibilité. Les costumes correspondent parfaitement aux personnages; Kim Novak est sublime dans son ensemble gris, couleur qui ne va pas vraiment aux blondes. Les costumes montrent la véritable personnalité du personnage de l'actrice; ainsi, l'ensemble de Madeleine est gris pour montrer toute l'étrangeté de cette femme; Judy porte qund à elle des vêtements plus communs pour montrer qu'elle redevenue elle-même. La musique de Bernard Herrmann est sublime et les décors trés bien choisis. L'effet créé par Hitchcock (le zoom vant et le recul de la caméra) nous donne vraiment le vertige, nous permet de nous identifier au personnage de James Stewart. Tous ça fait de ce film un véritable chef-d'oeuvre.
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    154 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mai 2012
    Qu'est-ce qu'il a vieilli! Non, indéniablement «Vertigo» n'est pas le "chef-d'oeuvre ultime" annoncé. Mais son aspect désuet lui donne paradoxalement un charme appréciable, renforcé par la sensuelle palette de couleurs qu'a déployé Hitchcock et l'interprétation romantique du couple Stewart-Novak. Passons outre tous ces effets spéciaux d'un autre âge, scènes de studios trop visibles, décors en carton-pâte, voitures factices et autres surimpressions mal camouflées. Ne vous attendez pas non plus à un sommet du thriller : Hitchcock en « maître » proclamé du suspense étonne (ou déçoit) en éventant la révélation qui meut le récit bien avant que le long métrage n'arrive à son terme. Il vaut mieux voir «Vertigo» comme un film d'obsessions et d'angoisses, et ne pas s'attarder sur les rebondissements tirés par les cheveux peinant à créer un rythme digne de ce nom. La véritable intensité du film provient de la liaison qui unit Kim Novak et James Stewart et de l'étrangeté de leurs relations, accentuée par le caractère tragique de leur situation. Le choix de Kim Novak dans le rôle de Madeleine s'avère en définitive excellent, et elle parvient brillamment à retranscrire l'ambiguité de son personnage (et de sa relation avec le réalisateur, qui voulait faire d'elle et contre son gré une autre Grace Kelly)! Stewart, quoique plus convenu, est excellent lui aussi, et on peut voir dans son personnage manipulateur l'alter-ego d'Hitchcock, fameux démiurge en ce qui concerne la direction de ses actrices! Au final, bien qu'inégal et surestimé, «Vertigo» est peut-être le long métrage le plus personnel et original d'Alfred Hitchcock, et c'est surtout en cela qu'il mérite sa réputation de « grand film ». [3/4] http://artetpoiesis.blogspot.fr/
    ER  9395
    ER 9395

    85 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juillet 2012
    Le chef d'oeuvre d'Hitchcock , un film envoutant ,une histoire d' amour raconté de façon incroyable ,
    tout le film ( scénario , musique , interprétation ) est au service de l'émotion , bref ,que du bonheur .
    ASSRANCETOURIX
    ASSRANCETOURIX

    21 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 octobre 2010
    Pas le meilleur Hitchcock, car Kim Novak n’est pas la « Hitchcock Girl » idéale et n’arrive pas au niveau d’Eva Marie saint, et surtout Grace Kelly et Tippi Hedren.
    Mais un des plus beaux sur le plan scénario limite fantastique, avec la machination policière machiavélique, qui fait changer le film de genre à la fin de l’histoire, cette interrogation sur l’identité de la femme aimée et la guérison sacrificielle finale de James Stewart.
    overlook2
    overlook2

    23 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 juillet 2016
    Grand film paranoïaque, nécrophile, vampirique, infernal, sur notre monde d’apparences et sur l’amour comme force destructrice. Inépuisable et désespéré.
    Etienne
    Etienne

    16 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mars 2011
    Un très beau film du maître : Alfred Hitchcock. Ce qui m'a le plus étonné, c'est que le film reste intemporel et la réalisation est magistrale bien meilleur que dans 99% des films actuels. Le scénario est habile avec un dénouement inattendu, le suspens est haletant, James Stewart est plus que charismatique et Kim Novak magnifique. Un film culte à montrer dans les plus grandes écoles de cinéma.
    Theo
    Theo

    17 abonnés 896 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mars 2024
    Dans le panorama du cinéma, il existe des œuvres qui transcendent le temps et les modes, qui se gravent dans l'éther culturel avec une telle force qu'elles en deviennent des références incontournables, des piliers sur lesquels se construisent non seulement des générations de cinéphiles mais également des cinéastes. "Vertigo", ou "Sueurs Froides" en français, réalisé par le maître incontesté du suspense Alfred Hitchcock, est de ces œuvres qui, bien au-delà de leur réalisation technique ou de leur casting impeccable, touchent à quelque chose de presque indescriptible, de magique.

    Ce film, avec James Stewart et Kim Novak dans les rôles principaux, se démarque non seulement par sa narration audacieuse mais aussi par sa capacité à plonger le spectateur dans une expérience presque vertigineuse, au cœur des tourments psychologiques de son protagoniste, John "Scottie" Ferguson. La complexité des thèmes abordés, alliant obsession, amour, trahison et illusion, crée une toile de fond riche pour une exploration profonde de la condition humaine.

    La mise en scène d'Hitchcock, utilisant avec brio le décor de San Francisco, offre une dimension presque onirique à l'histoire. Les célèbres séquences utilisant l'effet de "travelling contrarié" pour simuler le vertige de Scottie sont gravées dans l'imaginaire collectif, symbolisant de manière spectaculaire le gouffre émotionnel et psychologique du personnage.

    La bande-son, composée par Bernard Herrmann, joue un rôle crucial dans l'atmosphère envoûtante du film. Les motifs musicaux, tantôt lancinants, tantôt enflammés, épousent parfaitement les montagnes russes émotionnelles vécues par les personnages, contribuant à une immersion totale.

    La performance de James Stewart est à souligner, réussissant à capturer la fragilité et la complexité de Scottie avec une justesse remarquable. Kim Novak, quant à elle, incarne avec brio les deux facettes de son personnage, naviguant entre vulnérabilité et mystère avec une aisance déconcertante.

    L'ingéniosité du scénario, adapté du roman "D'entre les morts" de Boileau-Narcejac, réside dans sa capacité à manipuler le spectateur, à l'entraîner dans un labyrinthe de perceptions où la réalité et l'illusion s'entremêlent. La révélation finale, loin d'être un simple coup de théâtre, soulève des questions existentielles profondes sur l'identité, l'amour et le deuil.

    "Vertigo" est plus qu'un film; c'est une expérience cinématographique qui défie les conventions et repousse les limites de l'art narratif. Son influence sur le cinéma moderne est indéniable, inspirant des générations de réalisateurs à explorer les abîmes de l'âme humaine avec audace et inventivité. Son héritage, à la fois comme chef-d'œuvre technique et comme méditation poignante sur les illusions humaines, le cimente comme une œuvre essentielle, un joyau du septième art.
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