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5 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Eric Rohmer
Idées et formes suivent la même route, et c'est parce que la forme est pure, belle, rigoureuse, étonnament riche et libre qu'on peut dire que les films d'Hitchcock, et "Vertigo" au premier chef, ont pour objet (…) les idées, au sens noble, platonicien, du terme. Cahiers du cinéma 93, mars 59
Télérama
par Pierre Murat
Enrobé par la douloureuse musique de Bernard Herrmann, "Sueurs Froides" est un film "à nu", où la chair est invisible mais obsédante. Télérama, 21 mars 84
Le Monde
par Jean De Baroncelli
(…) la maîtrise d'Hitchcock a rarement été aussi éclatante que dans ce film. Le Monde, 1 février 59
Libération
par Jeander
Enlevez la tournée touristique de San Francisco ainsi que celle des couturiers et des instituts de beauté, que reste-t-il ? Une histoire qui, dans le roman, m'avait paru tenir debout de justesse alors que dans le film, elle devient d'une invraisemblance vertigineuse. Libération, 6 février 59
Positif
par Michèle Firk
Soyons justes : parce qu'il savait raconter des histoires, Hitchcock le roublard, Hitchcock le tricheur a pu séduire ou endormir les scrupules et le sens critique. Mais maintenant ses films distillent un tel ennui qu'ils n'endorment plus que le spectateur. Positif 30, juillet 59
Cahiers du Cinéma
Idées et formes suivent la même route, et c'est parce que la forme est pure, belle, rigoureuse, étonnament riche et libre qu'on peut dire que les films d'Hitchcock, et "Vertigo" au premier chef, ont pour objet (…) les idées, au sens noble, platonicien, du terme. Cahiers du cinéma 93, mars 59
Télérama
Enrobé par la douloureuse musique de Bernard Herrmann, "Sueurs Froides" est un film "à nu", où la chair est invisible mais obsédante. Télérama, 21 mars 84
Le Monde
(…) la maîtrise d'Hitchcock a rarement été aussi éclatante que dans ce film. Le Monde, 1 février 59
Libération
Enlevez la tournée touristique de San Francisco ainsi que celle des couturiers et des instituts de beauté, que reste-t-il ? Une histoire qui, dans le roman, m'avait paru tenir debout de justesse alors que dans le film, elle devient d'une invraisemblance vertigineuse. Libération, 6 février 59
Positif
Soyons justes : parce qu'il savait raconter des histoires, Hitchcock le roublard, Hitchcock le tricheur a pu séduire ou endormir les scrupules et le sens critique. Mais maintenant ses films distillent un tel ennui qu'ils n'endorment plus que le spectateur. Positif 30, juillet 59