Toujours aussi culte depuis 1978, l’auto-adaptation de leur pièce Amour, coquillages et crustacés par l’équipe du Splendid a été à sa sortie une révolution dans la comédie française grâce à son style comique de café-théâtre encore jamais transposé au cinéma mais surtout à son humour tout bonnement irrésistible. Basée sur une étude minutieuse des comportements des vacanciers au Club-Med où certains auteurs ont été animateur, l’écriture de ce scénario réussit en effet à jouer avec une finesse épatante sur les clichés pour dessiner des personnages particulièrement attachants ainsi que pour mettre sau point des situations et gags hilarants dans lesquels les spectateurs ont su se retrouver. Ajoutez à cela des dialogues où se multiplient les répliques inoubliables, une bande originale entêtante et surtout une belle brochette d’acteurs, encore peu connus du grand public, aussi talentueux que désopilants et vous obtiendrez cette œuvre cultissime, inégalable et à jamais ancrée dans le patrimoine culturel hexagonal.
Je n’ai pas réussi à totalement accrocher à ce film. Il y a de bons moments, mais il est trop axé sur le thème des amours légères, et je trouve que le scénario est un peu en carton.
Film culte par essence, "Les Bronzés" mérite amplement leur statut. Même s'il n'atteint pas le degré de perfection comique du 2e épisode, on ne peut que s'incliner devant la fraicheur de l'entreprise (particulierement novatrice pour l'époque), la pertinence du propos (aucun film n'avait brocardé jusque là les vacances au Club Med et ses codes si reconaissables) et surtout sa galerie de personnages aussi attachants que pathétiques. Coment oublier le GO dragueur Popeye (Thierry Lhermitte), le médecin frimeur Jérôme (Christian Clavier), la bimbo Gigi (Marie-Anne Chazel), la frivole Nathalie (Josiane Balasko), le raleur Bernard (Gérard Jugnot), Christiane l'esthéticienne (Dominique Lavanant) et surtout le cultissime looser Jean-Claude Duss (Michel Blanc dans le rôle de sa vie). On notera aussi la présence de Bruno Moynot en vacancier psychopathe, Michel Créton en animateur star, Luis Rego en comique raté et Martin Lamotte affublé d'un improbable accent. Mais "Les Bronzés", c'est aussi une collection de dialogues hilarants (l'énorme "je sais pas quel âge elle a mais elle aime la bite", la succession de "j'ai une ouverture", "ça doit bien tirer une grance cheminée comme ça", "on n'est jamais très original dans ces moments là. J'ai mis l'adagio d'Albinoni, j'ai avalé deux tubes de laxatif et puis hop ! J'ai perdu 16 kilos et ma moquette"...) et une succession de scènes cultes (le massage de Bernard, les rateaux successifs de Jean-Claude...). Dommage cependant que la mise en scène souffre de quelques baisses de rythme et que le scénario réserve quelques moments larmoyants faisant un peu tâche (la mort de Bourseault en tête !). Reste un grand moment du patrimoinecinématographique français qui a su épingler les travers de son époque et qui a ouvert la voie à des comédies plus mordantes.
Les Bronzés, oeuvre de jeunesse de la troupe du splendide, ce premier film fait partie des comédies cultes du cinéma populaire français. Film de copains, de jeunes, car ils sont terriblement jeunes, les Bronzés se contente d'être une suite de gags, de scénettes où s'égrainent des répliques qui feront mouches dans l'imaginaire collectif. Les Bronzés incarnent parfaitement ce cinéma des années 70, léger, burlesque, libéré, jeune et profondément insouciant.
Un classique de la comédie française devenu culte. Une comédie qui se dénature pas et qui est toujours aussi efficace et culte grâce aux personnages, aux répliques cultes, aux gags… Enfin tout est culte. On n'en fait plus d’aussi bonnes comédies et c’est regrettable. On apprend à aimer cette bande d’amis attachante mais surtout amusante à suivre. Chaque personnage est vraiment tordant et unique : entre Jean-Claude Dusse à qui il ne lui arrive que des malheurs et qui arrive jamais à conclure, ou encore le couple libertin, Bernard et Nathalie, Popeye le grand dragueur qui tire sur tout ce qui bouge, Jérôme et son string à poil ou Gigi la petite nature ou Christine l’esthéticienne qui arrive à rien non plus... Et tout ça, c’est l’équipe du splendide et ils se sont très bien trouvés car cette équipe marche du tonnerre : hilarante et amusante a suivre. Après, ils y a aussi les autres personnages secondaires qui sont drôles. Et puis, on ne boude pas de plaisir, car qu’est ce que l'on rit avec ce film : tout est culte, ce n’est pas compliqué, chaque réplique, chaque scène, chaque seconde, chaque musique est culte. C’est pour ça que cette comédie est devenue un classique. Donc voilà, une comédie à voir et à revoir pour se marrer un bon coup. C'est un incontournable de la comédie française, tout simplement culte
Encore un chef d'oeuvre du splendide, des personnages hauts en couleur, des situations cocasses avec une énorme critique satirique du Club Med. On se marre et on en parle encore.
"Seeeeeeea, Sex and Suuuuuuun..." Dès le départ les premières paroles annoncent l'atmosphère de la comédie (culte) qu'est Les Bronzés. Au final ce volet réunissant Michel Blanc (excellentissime Jean-Claude Dusse, mon préféré), Christian Clavier, Marie-Anne Chazel, Thierry Lhermitte, ect...est très sympa, drôle et (dès que l'histoire commence à vraiment décollé) truffé de répliques cultes! Mais je trouve que ça reste moins culte que les Bronzés font du ski, encore plus poilant et mémorable. Mais bien sûr largement meilleur que le désastre des Bronzés 3 (la malédiction du 3ème épisode pour le cinéma français?) sorti 27 ans plus tard...
ce film reste pour moi un film culte avec de trés bonne replique trés drole.un petite preferance pour celui ci par rapport aux bronzés font du ski qy=ue je place un tout petit peu en dessous.
L'équipe du Splendid se dévoilant enfin grandement à la France entière à travers ce premier film culte, déjanté et atypique. Tiré d'une célèbre pièce de théâtre (Amours, coquillages et crustacés), les voici transposés au cinéma dans des décors naturels pour notre plus grand plaisir. Pas de réel scénario mais une galerie de personnages tous plus délirants les uns que les autres, avec leurs défauts et... leurs défauts ! De situations hilarantes en dialogues devenus générationnels, Les Bronzés reste un must de la comédie française. Gérard Jugnot et sa compagne Josiane Balasko tous deux plus exécrables l'un que l'autre (« On est un couple très libre, enfin surtout ma femme ! »), Christian Claver médecin de pacotille, Thierry Lhermitte en G.O. professeur de karaté tombeur de ces dames et surtout Michel Blanc dans son rôle typique de dragueur raté q. Bref, une critique acerbe des Clubs Méditerranés totalement désopilante.
L'un des films comiques cultes du cinéma français. On rigole forcément sur certaines scènes qui nous restent en mémoire, mais au delà de ça, c'est assez vide. On suit les vacances de cette troupe, mais on préfèrera leur escapade en territoire enneigé où l'humour est davantage présent.
Ce film réalisé par Patrice Leconte, en 1978, est l’adaptation d'une pièce de théâtre de la troupe du Splendid. Cette compagnie rassemblant un collectif d’artistes alors âgés d’une vingtaine d’années possédait dans ses rangs une génération incroyable (Josiane Balasko, Michel Blanc, Marie-Anne Chazel, Christian Clavier, Gérard Jugnot, Dominique Lavanant, Thierry Lhermitte, etc.). La comédie « Les bronzés » est une parodie des clubs de vacances de cette époque. De nombreuses répliques devenues cultes et des personnages entrés dans le patrimoine culturel français (Jean-Claude Dusse notamment) en font une œuvre de référence. Bref, un divertissement incontournable.