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    La Double vie de Véronique
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    3,7
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    57 critiques spectateurs

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    gerald_w-a
    gerald_w-a

    11 abonnés 252 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 août 2019
    Évidemment, une telle utilisation de la lumière, de la musique, des émotions, du mystère, cela ne peut laisser indifférent. Aimer ? Détester ? Ce film inégal, parfois ennuyeux, parfois magique, m'aura plutôt convaincu.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 juin 2019
    Très bon film, poignant. Un peu difficile de rentrer dedans, mais j'ai adoré au final. Le jeu des acteurs est incroyable, et les décors sont sublimes.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    87 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 septembre 2018
    Film qui fait appel à cette partie de notre cerveau qui est celle des sensations, des souvenirs de sensations dont on ne sait plus si elles font partie d’un rêve ancien ou de la réalité. Pour cela Kiewslowski joue sur l'effet caméra-œil, flous et situations et réactions incongrues. Irène Jacob est très belle et la musique envahit littéralement l'écran. Pas simple mais intéressant.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    103 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 août 2017
    Baigné d'une lumière splendide, La double vie de Véronique est un film mystérieux et complexe, qui aborde la thématique de l'identité, à travers la vie de deux femmes incarnées par l'actrice Irène Jacob, l'une Française, l'autre Polonaise, dans une Europe du tout début des années 90. Un long-métrage empreint d'une forme de spiritualité assumée, qui atteint à plusieurs reprises un indiscutable état de grâce.
    pierrre s.
    pierrre s.

    429 abonnés 3 305 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 juillet 2017
    Irène Jacob est très bien dans son double rôle, mais le film devient vite ennuyant et rien ne s'y passe réellement.
    Black-Night
    Black-Night

    185 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2017
    Avis :
    Belle œuvre atypique qui mérite selon moi son engouement critique très favorable à sa sortie. Présenté en sélection officielle en compétition au 44ème Festival De Cannes en 1991, il y recevra de belles récompenses avec le Prix d'interprétation féminine pour Irène Jacob, le Prix de la Critique Internationale FIPRESCI et le Prix du Jury œcuménique tous bien mérités.
    Un long métrage se basant sur le système de destins liés et qui est à la frontière de la spiritualité. Le film est lent, beau, parfois touchant car laissant des émotions et surtout prenant notamment dans sa première partie en Pologne. Malheureusement ou heureusement je ne sais pas, le film laisse des questionnements philosophiques sur le destin et le hasard qui sont les thèmes forts avec aussi l'amour et la mort, qui constituent ce long métrage proche du sublime mais malheureusement ponctué d'un ventre mou.
    La réalisation très maniériste du cinéaste polonais Krzysztof Kieslowski est très atypique mais fichtrement classe avec tout un panel de filtres de couleurs saturée de jaunes, de verts et de rouges. L'actrice principale suisse Irène Jacob est vraiment lumineuse ainsi que sublime et joue avec une certaine grâce les deux personnages.
    Voilà une œuvre que je convoitais comme quelques autres de voir avec une très grande envie et qui va me rester. Je vous la recommande pour vivre une belle plongée poétique dans la double vie de Véronique envoûtante et pleine de mystères.

    Un mot sur la BO :
    Magnifique et grandiose, elle accompagne à merveille le film dans sa lenteur mais aussi dans ses émotions le tout avec une certaine grâce. Elle est signée Zbigniew Preisner qui est juste un compositeur de talent et d'exception. Ses musiques se rapprochent bien sûr du genre de la musique classique et ici la bande son occupe une place primordiale à l'embellissement de l'ensemble.
    Ma note : 8/10 !
    Los Indiscretos
    Los Indiscretos

    2 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2017
    Sorti en 1991, La double vie de Véronique a lancé la carrière d’Irène Jacob qui remporte le Prix d’interprétation féminine au Festival de Cannes pour son double rôle de Weronika et Véronique. La force du film réside dans ce lien omniprésent entre les deux femmes qui se ressemblent et ressentent les émotions de l’autre en ne s’étant jamais rencontrées. Krzysztof Kieślowski, qui décédera tragiquement cinq ans plus tard, signe ici l’un des chefs-d’œuvre de sa carrière : un savant mélange de poésie, dont l’action oscille entre rêve et réalité. Ce sont les non-dits, les sensations palpables mais jamais avouées, les souvenirs à moitié enterrés, les troubles permanents qui nourrissent cette synergie entre les deux femmes. L’ensemble est sublimé par le jeu des marionnettes, véritable symbole du lien qui unit les deux femmes et ajoute de la profondeur. La photographie aux tons jaunes, flirtant parfois avec un sépia de bon goût, sublime les sentiments et les jeux de regards des acteurs. La double vie de Véronique est un film au visuel méticuleux, sensible et dont l’originalité n’a rien perdu de sa superbe depuis sa sortie.
    xavierch
    xavierch

    46 abonnés 1 167 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 octobre 2015
    Encore un film pseudi-intellectuel, parfait pour les critiques de cinéma. Moi, j'ai tenu 1h, et à force d'être embrouillé par le réalisateur sans avoir une réponse, et bien, j'ai décroché et fini par arrêter. Je ne comprends décidément pas ce genre de films, comme par exemple souvent les films avec Juliette Binoche, qui joue d'ailleurs dans Bleu, un autre film de Kieslowski, qui s'amuse à embrouiller le scénario, sans que l'on puisse s'y retrouver un temps soit peu, et essayer de s'accrocher... je n'ai pas trouvé non plus exceptionnelle Irène Jacob, car l'on voit parfaitement qu'elle ne chante pas.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 janvier 2016
    Un des plus beaux films du monde. Chef d'oeuvre absolu. Lumière fabuleuse, histoire troublante et plus beau rôle d'Irene Jacob. Le projet de Kieslowski initial était de sortir le film dans 20 salles avec 20 montages différents. Cela aurait donner 20 merveilles. Ne le ratez pas et faites le connaître !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 janvier 2014
    Je viens de le voir en Dvd à l'instant,c'est un bon film.
    Hotinhere
    Hotinhere

    553 abonnés 4 961 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mai 2024
    Bercé par la sublime BO de Zbigniew Preisner, un film mystérieux, élégant et envoûtant où la vie d’une femme se perpétue dans l'âme de son double, interprétée par la lumineuse Irène Jacob. 3,25
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 avril 2013
    « Pendant toute ma vie, j’ai eu l’impression d’être à la fois ici, et ailleurs. »
    Weronika (Irène Jacob) vit en Pologne, elle a perdu sa mère enfant, elle a un don pour la musique, et en particulier le chant, elle aime se passer un anneau en or autour de l’œil, et elle court partout en étant perpétuellement essoufflée, à cause d’un problème cardiaque qu’elle ignore. Elle cherche l’amour.
    Véronique (Irène Jacob) vit en France, elle a perdu sa mère enfant, elle a un don pour la musique qu’elle enseigne aux enfants, elle aime se passer un anneau en or autour de l’œil et elle court partout en étant perpétuellement essoufflée à cause d’un problème cardiaque qu’on vient de lui découvrir. Elle cherche l’amour.
    Weronika aperçoit Véronique à Krakow, elle s’arrête figée au milieu d’une place remplie de manifestants et de soldats anti-émeutes pour regarder son double monter dans le bus qui la ramène à Paris et prendre des photos à travers la vitre.
    Dans la première demie-heure du film, les plans subjectifs qui représentent la vision de Weronika vacillent, les perspectives se déforment au fish eye, jusqu’à ce qu’elle meurt sur scène, au milieu des violons, en plein chant.
    On suit ensuite Véronique, qui, juste après avoir fait l’amour avec un homme visiblement très amoureux, éprouve une immense tristesse qu’elle est incapable d’expliquer. Elle décide d’abandonner ce qu’on devine être la préparation de la représentation pendant laquelle Weronika est morte. Véronique sent les choses, et c’est la mort de Weronika qui l’empêche de mourir elle aussi.
    À l’école où elle enseigne, un homme donne un spectacle de marionnettes. Plus tard, elle reçoit un coup de téléphone anonyme, puis un lacet, et finalement une cassette audio qui lui donne des indices sur son auteur. Elle retrouve le marionnettiste dans un bar de la gare Saint Lazare. Dans un hôtel, après qu’ils ont fait l’amour et qu’ils se sont dit je t’aime, elle vide son sac devant lui. Parmi les objets se trouvent les photos de Weronika sur la place de Krakow. Elle se met à pleurer. Plus tard, elle se réveille et rejoint le marionnettiste en train de finir la deuxième poupée d’elle. Elle lui demande pourquoi il en a fait deux, il lui explique que c’est parce qu’elles s’abiment. Véronique manipule son double en marionnette, pendant que l’autre git à terre, et que le marionnettiste lui lit le première version d’un conte qu’il écrit sur deux femmes, deux doubles sur deux continents différents.
    L’idée des marionnettes m’a fait penser à un essai sur Rilke de Furio Jesi dans lequel il écrit: « la poupée, avec sa forme, annonce tragiquement à l’homme que c’est elle, et non lui, qui survivra dans l’infini. »
    Les marionnettes sont un rappel poétique de la mort qui attend aussi Véronique. Les doubles des doubles survivront aux deux femmes.
    Le film tient de la logique du rêve. On y voit un nain avocat, un vieillard exhibitionniste, des personnages au milieu de conversations qui n’ont ni début ni fin, un plan subjectif de Weronika dans la tombe qu’on commence à recouvrir de terre, etc.
    Le rêve est aussi poésie. Deux plans en particulier: celui d’une vieille femme qui traverse le champ, vue par les yeux de Weronika puis de Véronique, et celui de l’église reflétée dans la balle en plastique.
    Il faut se débarrasser de l’envie de vouloir tout analyser et accepter l’absurde de la réalité.
    En voyant le film avec moi, ma soeur m’a dit « il y a quelque chose dans ce film qui est nous. »
    Ce quelque chose, c’est le décor, les couleurs verte et rouge, la lumière.
    Le film de Kieslowski fait appel à cette partie de notre cerveau qui est celle des sensations, des souvenirs de sensations dont on ne sait plus si elles font partie d’un rêve ancien ou de la réalité. C’est là ce qui fait sa beauté et sa rareté.
    ygor parizel
    ygor parizel

    241 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 février 2013
    Ce long-métrage est magistralement filmé, dans le pur style du cinéaste (avec beaucoup de plan ayant un effet visuel). Le point de départ est légèrement fantastique (une histoire de double), mais en fait il s'agit d'un portrait de femme. Irène Jacob est très touchant entre fragilité et joie de vivre. Aux environs de l'heure le film est moins intriguant mais ce n'est qu'un passage.
    bsalvert
    bsalvert

    409 abonnés 3 579 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2013
    Un film original qui porte une histoire peu commune avec des acteurs investis.
    PLV : sortir des sentiers battus peut apporter quelques bonnes surprises
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 septembre 2012
    Irène Jacob est radieuse, les lumières sont d’une douceur infinie et la musique fabuleuse : « La double vie de Véronique » constitue une belle transition entre « Le décalogue » et « La trilogie ». Il lui manque, malgré tout, ce petit quelque chose qui en ferait un film inoubliable.
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