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Un visiteur
5,0
Publiée le 5 décembre 2014
Simplement le plus beau film que j'ai vu, ni plus ni moins ! Ce film est un véritable chef d'oeuvre où la poésie se mêle à des décors steampunk du plus bel effet ! Les personnages sont attachants. La musique est un délice, je me la passe régulièrement en boucle. Les scènes de la puce sont bluffantes, la musique et l'animation de cette scène m'hérissent le poil à chaque fois !! J'ai hâte de voir arriver une version restaurée en haute définition, que je remplace mon DVD écorché par ses nombreux visionnages !
une claque visuel déjà avec delicatessen le nivau était donné , là c'est de l'orferverie avec cet univers fantasmagorique entre reve enfantin et raisons d'adultes c'est sombre et mélancolique , Jeunet est un fin technicien du cinema y a peut etre un peut trop de filtres j'adore les personnages de ce film surtout les frangins énorme un de mes films de chevet
P.S : plus les trolls d'allociné mettent des sourires négatifs plus ça me fait bander
une claque visuel déjà avec delicatessen le nivau était donné , là c'est de l'orferverie avec cet univers fantasmagorique entre reve enfantin et raisons d'adultes c'est sombre et mélancolique , Jeunet est un fin technicien du cinema y a peut etre un peut trop de filtres j'adore les personnages de ce film surtout les frangins énorme un de mes films de chevet
Ron Perlman excellent et Dominique Pinon toujours aussi génial dans ce Jeunet/Caro, un excellent film, avec un scénario déjanté et une réalisation génial, seul point négatif: les pleurs de gosses et les cries insupportable !
La cité des enfants perdus est un conte noir pour toute la famille. Ron perlman est magistral dans le rôle de one. Ce film reste l'un de mes préféré, d'une beauté rare! A voir et à revoir absolument!
Jeunet dessine ici un univers sombre et dérangeant. Excellent scénario, très bonne mise en scène. Histoire pleine de poésie, difficile d'accès. Ron Perlman et Daniel Emilfork sont extraordinaires. Un OVNI inclassable.
Ce qui est génial avec Jean-Pierre Jeunet c'est qu'on est toujours plongé dans SON univers qu'il soit citadin, ou sur une terre inconnue, le monde réel n'existe plus. PLV : le cinéma c'est aussi un voyage
Non pas que le film soit mauvais mais j'ai été complètement hermétique à l'univers proposé par Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro. Il y a une vraie recherche artistique et une envie de proposer un récit gothico-punko-poético-bizarre assez sympathique mais la sauce ne prend pas complètement (avec moi du moins). La faute peut-être à un côté trop brouillon, dès le début du film, qui empêche réellement de poser les cadres de son décor et de son univers. Les réalisateurs y jettent le spectateur sans se soucier de réellement construire ce qu'ils ont à proposer. Si on n'adhère pas à l'univers, c'est difficile après d'apprécier le film tant il repose sur celui-ci. J'ai trouvé quand même certaines choses assez réussies, il y a quand même quelque chose et des idées, notamment sur certains personnages, comme celui des deux diaboliques siamoises avec des idées de mise en scène pour montrer leur côté très arachnide. Mais la quête ne m'a pas intéressé, je ne suis pas un grand fan de Ron Perlman et le film est quand même assez brouillon par moment. Bref, la cité des enfants perdus n'est pas un mauvais film, mais je n'ai pas adhéré.
Un conte fantastique peuplé de rêves et de cauchemars, dans lequel les enfants et les montres tiennent le premier rôle. Film parfois sombre et grinçant, mais reprenant les figures et le déroulement d'un conte merveilleux traditionnel. Des bonnes trouvailles et de bons acteurs.
Avec ce second long métrage, Jeunet et Caro poursuivent le travail commencer avec Delicatessen et nous livre un film à l'univers visuel très travaillé et à l'univers sombre. L'histoire de son coté est aussi plus complexe et développé ce qui permet au 2 cinéastes de créer un monde plus complet et plus étrange, rempli de personnages tous plus singuliers les uns que les autres. Visuellement, on retrouve le style "verdâtre" de Delicatessen, qui donne à cet univers steampunk un coté vraiment étranges et sombre. Une vraie réussite qui confirme, en 1995, le talent de ces deux réalisateurs et qui marque la fin de la collaboration Jeunet-Caro.
Je met 5 étoiles. Et je met rarement 5 étoiles, car je suis difficile. Ce film est a mes yeux la quintessence du cinéma Français. Un compte de fées brassant à la fois l'émerveillement et atmosphère lugubre, dans une ville portuaire comportant un aspect à la fois "ère industriel" et steampunk ancré dans la réalité, qui jure avec cette inquiétante marée verte et brumeuse, presque éthérée et omniprésente, l'esthétique de ce film fait preuve d'une créativité immersive nous plongeant dans cet univers fantasmagorique. Le casting est littéralement irréprochable, avec des personnages absolument fascinant, l'inquiétant Daniel Emilfork en scientifique cruel et désespéré recherchant pathétiquement le bonheur dans les rêves des enfants qu'il pille sans vergogne, un personnage dont l'on prend rapidement pitié lorsqu'on comprend que jamais il n'atteindra sa quête pour s'affranchir de sa monstruosité. Dominique Pinon, plus en forme que jamais dans ces rôles de clones pathétiques et enfantins, et que dire du couple improbable entre Ron Perlan et Judith Vittet, dont l'inversion atypique de la maturité (Miette est une jeune adulte dans le corps d'une jeune fille de 9 ans là ou One est un enfant dans un corps de géant) a quelque chose d'aussi poétique que troublant ? La cité des enfants perdu, un film a la fois très sombre et très léger, mariant sans cesse les oppositions improbables, un compte de fée pour adulte, riche en noirceur et en espoir. La musique est également partie prenante de cet univers, avec des thèmes tout droit sortit d'un rêve d'enfance ou d'une fête foraine, et des thèmes sombres et oppressant qui font se serrer le cœur et se soulever l'estomac tant ils sont imprégnés d'une aura malsaine. Ce film ne vous laissera jamais indifférent, il n'est pas a mettre dans toutes les sensibilités et s'apprécie davantage avec une certaine culture cinématographique, et Jeunet & Caro prouvent qu'ils peuvent surpasser la créativité d'un Tim Burton au zénith de sa carrière.
Je n'ai vraiment accroché à rien dans ce filml étonnement. J'ai trouvé la direction artistique moche, les acteurs mauvais voire agaçants, l'histoire donc difficile à suivre ( à vrai dire je ne saurais meme pas dire de quoi ça parle).
Incapable de rêver, le terrible Krank n'a d'autre choix que d'enlever les enfants leur voler leur rêves. En 1993 sort "La Cité des enfants perdus", nouvelle franche réussite pour le duo Jeunet-Caro. Pour orchestrer cette autre fantaisie, les deux cinéastes présentent une réunion de moyens et potentialités tout simplement exceptionnelle. De nouveau de la partie, l'immense Darius Khondji se surpasse pour proposer une photographie verdoyante aux images léchées. Par ailleurs, le film s'offre également les services de Angelo Badalamenti, compositeur attitré de David Lynch. Côté acteurs, les visages de "Delicatessen" devenus habitués sont encore là, et d'autres entrent à leur tour dans cette galerie tels Ron Perlman. Parmi eux se démarque la prestation démente de Daniel Emilfork. "La Cité des enfants perdus" n'est sans doute pas parfait, manque de cohérence par moment, mais demeure une expérience audacieuse et salutaire. Un bijou d'humour noir, défilé de gueules aux instants de poésie parfois éclatants. Jeunet et Caro représentent l'une des rares tentatives récentes d'un cinéma de genre hexagonal de qualité. Dès lors, on ne peut que regretter d'autant plus amèrement que leurs chemins se soient séparés si vite.