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Un visiteur
4,5
Publiée le 19 mars 2014
Un film qui n'est pas tout jeune mais qui a le mérite d'avoir un univers propre et qui est presque mélodique. J'ai beaucoup aimé et le recommande vivement.
une claque visuel déjà avec delicatessen le nivau était donné , là c'est de l'orferverie avec cet univers fantasmagorique entre reve enfantin et raisons d'adultes c'est sombre et mélancolique , Jeunet est un fin technicien du cinema y a peut etre un peut trop de filtres j'adore les personnages de ce film surtout les frangins énorme un de mes films de chevet
une claque visuel déjà avec delicatessen le nivau était donné , là c'est de l'orferverie avec cet univers fantasmagorique entre reve enfantin et raisons d'adultes c'est sombre et mélancolique , Jeunet est un fin technicien du cinema y a peut etre un peut trop de filtres j'adore les personnages de ce film surtout les frangins énorme un de mes films de chevet
une claque visuel déjà avec delicatessen le nivau était donné , là c'est de l'orferverie avec cet univers fantasmagorique entre reve enfantin et raisons d'adultes c'est sombre et mélancolique , Jeunet est un fin technicien du cinema y a peut etre un peut trop de filtres j'adore les personnages de ce film surtout les frangins énorme un de mes films de chevet
L'originalité et l'univers de Jeunet me touchent. C'est si beau de voir un tel réalisateur en France. C'est homme est un génie et ce film vraiment excellent. Je conseille aussi Delicatessen, qui est aussi génial !
Jean Pierre-Jeunet et Marc Caro étaient alors à leur apogée niveau inventivité, et cela se ressent quasiment à chaque instant. Univers unique, couleurs délirantes, cadrages invraisemblables, personnages inoubliables : tout est réuni pour nous offrir un spectacle unique en son genre, à la fois très beau et très riche, aussi bien visuellement que dans l'écriture. Après, je l'avoue : les deux compères se permettent parfois une poignée de dérapages que je trouve très dispensables et même d'assez mauvais goût. De plus, ces derniers nous proposent tellement de choses d'un coup qu'il est difficile d'accrocher autant à tout. Reste qu'à peser le pour et le contre, c'est largement le positif qui l'emporte, tant ce rêve (cauchemar?) sait constamment nous surprendre, nous emmener vers des chemins totalement imprévus, nous offrant nombre de trognes inoubliables (Ron Perlman, Daniel Emilfork, Dominique Pinon, Jean-Claude Dreyfus, Rufus, Ticky Holgado, Serge Merlin... Qui dit mieux?!) à travers plusieurs scènes assez sensationnelles... Difficile en tout cas de résumer une telle expérience, qu'on y adhère ou pas, mais pour le savoir, il faut d'abord que vous franchissiez le pas : personnellement je ne le regrette pas un instant. Et peux vous jurer qu'aucune critique au monde ne saura trouver les mots exacts pour expliquer notre ressenti face à cette œuvre totalement à part : vous savez ce qu'il vous reste à faire...
Un film beau grâce à un belle histoire, de beaux décors, une belle musique et une très belle photographie, véritable marque de Jeunet. Le duo Jeunet/Caro ont choisi des gueules pour interpréter un savant fou, des clones, des siamoise, une naine et une montagne de muscle sympathisant avec un petite fille. Les acteurs sont formidable que se soit les adultes ou les enfants et quel plaisir de voir François Hadji-Lazaro, véritable gueule du rock français, dans un film. Les effets spéciaux, très bons pour l'époque, sont encore bon aujourd'hui. Dommage que le scénario ait une baisse de régime au milieu du film.
Le chef d'oeuvre de Jeunet, surement un des meilleurs films Français et un des plus beaux films qu'il m'ait été donné de voir. L'univers dépeint dans ce film est à la fois magnifique et glauque. L'aspect steampunk est une franche réussite sans jamais tomber dans la caricature, au contraire en allant constamment chercher des idées inédites que le film compte par dizaines (la scène où le cyclope gras étrangle son partenaire en lui faisant voir sa propre mort, comme déjà absent de son propre corps, est d'un sadisme simplement génial). De plus le casting, véritable cirque de monstres du cinéma (entendez par-là que les meilleurs acteurs « à gueule » s'y sont réunis) s'accorde parfaitement avec l'univers du film et les habitudes de réalisation de Jeunet en plus d'être tous extrêmement talentueux (Ah, Dani Emilfork...). Même les enfants sont très bons dans leurs rôles ! Pour un film Français en particulier c'est quelque chose. Mais plus que tout ce qui est bluffant dans ce film, et que l'on retrouve dans la quasi-totalité des films de Jeunet, c'est la façon dont les événements s'enchaînent avec une fluidité assez bluffante. Souvent par hasard, mais par un hasard tellement bien foutu...cette scène d'effet papillon dans laquelle la larme de Miette finira par provoquer l'accident d'un cargo en est un excellent exemple. Tout y est parfaitement maîtrisé; pas de set-up pay-off grossier, pas de Deus Ex Machina sorti de nulle part...en plus d'un thème principal juste sublime, ah on l'aime, le cinéma Français, dans ces conditions !
Un conte à la fois merveilleux et cauchemardesque. Et sans doute un des films les plus beau qu'il m'a été donné de voir. De l'univers steampunk, parfaitement crédible aux acteurs grandioses, véritable défilé des plus grandes gueules du cinéma , en passant par la réalisation halluciné de Jeunet dont on ressent à chaque plan l'influence de l’expressionnisme allemand, tout est parfait. Il est rare de voir des films aussi maîtrisé par leur auteur. "La cité des enfant perdus" n'a absolument aucun défaut. Le digne héritier de Métropolis et donc, un chef-d'oeuvre absolu.
Chaque plan est magnifique et relève d'une totale prouesse de mise en scène tant tout semble à sa place, tout est analysé, élaboré, pour retranscrire au cm² l'univers pensé.
Le chef d'oeuvre fantastique de Jean-Pierre Jeunet !!! Un monument du cinéma !!! Un chef d'oeuvre !!! Avec le terrifiant Ron Perlman très connu dans son personnage One !!! En collaboration avec Marc Caro , le réalisateur de Dante 01 !!! Avec le légendaire Dominique Pinon ( Alien , la résurrection, Métal Hurlant Chronicles ) !!!
Du Jeunet. Une ambiance sombre, un concentré d'images malsaines, noires, dans un univers sublime à cheval entre l'enfantin et le malsain. Super histoire, supers images, bon acteurs, et la marque de fabrique Jeunet que j'aime tant <3
Difficile de rester stoïque face à cet univers réellement perturbant mais parfaitement développé. Dommage que l'histoire ne soit pas un peu plus prenante... Néanmoins La Cité des Enfants Perdus est une originalité qui mérite d'être vue.
Encore plus baroque et inquiétant que le Delicatessen, qui fit connaitre deux ans plus le style visuel expressionniste du duo Jean-Pierre Jeunet/Marc Caro, cette fable fantastique incomparable profite d’une maitrise impressionnante pour faire des gueules cassées de ses acteurs un accessoire de jeu au même titre que ses décors dantesques. L’univers cauchemardesque qui se construit dans ce film passe par un sens du détail minutieux qui parvient à mettre en images tous les aspects des peurs des enfants: Personnages aux styles cartoonesques, accessoires et décors surréalistes et photographie ténébreuse. Le scénario n’est cependant pas assez tenu et trop naïf pour répondre à ces aspirations horrifiques et mélodramatiques. Rien d’étonnant que Jeunet, après un bref passage par Hollywood (Alien, la résurrection), trouvera le succès en utilisant cet art pictural onirique et cette écriture enfantine dans une œuvre bien plus enchanteuse (Le fabuleux d’Amélie Poulain).