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    La Cité des enfants perdus
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    3,8
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    220 critiques spectateurs

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    darthbebel
    darthbebel

    22 abonnés 636 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2010
    très bien.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    940 abonnés 4 860 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 août 2023
    Le film est un décor avant tout. Visuellement très réussi.
    Après c'est au niveau des personnages que ça se gâte.
    Une sorte de défilé de personnages laids à la Fellini qui rend pénible toute cette histoire. Rajoutez en plus les gros plans et les mimiques de certains franchement grotesques , cela rend l'ensemble assez indigeste. Bref le côté poétique est effacé
    cylon86
    cylon86

    2 281 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 août 2015
    Après "Delicatessen", Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro mettent une nouvelle fois leur imagination et leur savoir-faire au service d'un univers visuel magnifique et d'une histoire aux allures de conte dans laquelle un Monsieur Muscle pas très bavard (Ron Perlman, ayant du mal à parler le français) et une jeune fille (Judith Vittet, surprenante de maturité) s'allient pour empêcher un mystérieux voleur de rêves d'enfants d'agir. Si le film frise parfois le débordement d'idées, il n'en reste pas moins superbe, fascinant à chacun de ses plans tant les moyens mis en œuvre pour créer cet univers si particulier sont impressionnants. Visuellement superbe, "La cité des enfants perdus" parvient à nous embarquer dans son histoire bourrée de trouvailles et ne cesse de nous émerveiller à chaque instant malgré sa noirceur. En réalisateurs intelligents, Jeunet et Caro ont su s'entourer (Darius Khondji à la photo, Angelo Badalamenti à la musique ainsi qu'une galerie de "gueules" pour compléter le casting) pour nous offrir une œuvre profondément originale et diablement séduisante.
    Julien D
    Julien D

    1 118 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 juin 2013
    Encore plus baroque et inquiétant que le Delicatessen, qui fit connaitre deux ans plus le style visuel expressionniste du duo Jean-Pierre Jeunet/Marc Caro, cette fable fantastique incomparable profite d’une maitrise impressionnante pour faire des gueules cassées de ses acteurs un accessoire de jeu au même titre que ses décors dantesques. L’univers cauchemardesque qui se construit dans ce film passe par un sens du détail minutieux qui parvient à mettre en images tous les aspects des peurs des enfants: Personnages aux styles cartoonesques, accessoires et décors surréalistes et photographie ténébreuse. Le scénario n’est cependant pas assez tenu et trop naïf pour répondre à ces aspirations horrifiques et mélodramatiques. Rien d’étonnant que Jeunet, après un bref passage par Hollywood (Alien, la résurrection), trouvera le succès en utilisant cet art pictural onirique et cette écriture enfantine dans une œuvre bien plus enchanteuse (Le fabuleux d’Amélie Poulain).
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    593 abonnés 2 773 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mars 2024
    La poésie brocanteuse de La Cité des enfants perdus, qui cultive la bizarrerie d’un lieu, la déformation des angles, l’hétéroclite des objets, le décalage des costumes – en particulier le phénomène de foire habillé d’un pull en laine qui se défait tel le fil d’Ariane dans un labyrinthe industriel – ne laisse pas assez d’espace au spectateur pour y projeter sa propre sensibilité. Un effet de saturation esthétique croît à mesure que s’enchaînent les péripéties, et cela nuit à son immersion : il ressemble ainsi à l’antagoniste qui vole les rêves des autres par incapacité à rêver lui-même. Dit autrement, l’imaginaire de Jeunet et Caro n’ouvre pas assez de zones de flottement qui seraient autant de prises pour le public, et dans lesquelles engouffrer ses désirs, ses peurs et ses espoirs ; il diffèrent en cela de Querelle (Rainer Werner Fassbinder, 1982), drame portuaire qui se saisissait de l’attente comme d’un temps d’exploration identitaire à mi-chemin entre rêve et réalité. Le film souffre de longueurs, réhaussé par les premières et dernières vingt minutes remarquablement mises en scène, qui trouvent un dynamisme adéquat et une confusion des tonalités des plus singulières. Quelques scènes restent en mémoire, à l’instar d’un chant de Noël déclamé par un Père Noël psychopathe à une horde de bambins terrifiés. Une curiosité absurde qui vaut davantage pour le superbe livre de plans composé que pour la capacité des images à signifier et à assurer la marche du récit. Sans oublier la très belle partition musicale d’Angela Badalamenti.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    609 abonnés 2 713 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 novembre 2018
    Porté par un jeune Ron Perlman, La cité des enfants perdus permet à JP Jeunet de d’envenimer son univers graphique hors du commun. On pourrait presque le considérer comme le Tim Burton français tant son imaginaire est remplie de créatures humaines en tout genre : des clones, des droïdes, qui évoluent dans un devis crasseux presque apocalyptique.

    https://www.facebook.com/la7emecritique/
    7eme critique
    7eme critique

    471 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 avril 2017
    Après l'impressionnant "Delicatessen", Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro viennent nous prouver que ce dernier n'était pas un coup de chance.
    C'est avec ce genre de mise en scène que la notion de septième art prend tout son sens. Cette réalisation est effectivement le fruit d'un sublime travail, car tellement aboutie qu'elle en deviendra dingue à découvrir. Bourré d'inventivité, de créativité, Jeunet invente un genre et deviendra incontestablement un cinéaste à retenir. La technique est folle, les décors et la photographie fascinent, "La cité des enfants perdu" annonce un style unique qui forgera le respect. Quel travail de maître pour cette perle dont tout amateur de réalisation se doit de visionner !
    Santu2b
    Santu2b

    219 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2015
    Incapable de rêver, le terrible Krank n'a d'autre choix que d'enlever les enfants leur voler leur rêves. En 1993 sort "La Cité des enfants perdus", nouvelle franche réussite pour le duo Jeunet-Caro. Pour orchestrer cette autre fantaisie, les deux cinéastes présentent une réunion de moyens et potentialités tout simplement exceptionnelle. De nouveau de la partie, l'immense Darius Khondji se surpasse pour proposer une photographie verdoyante aux images léchées. Par ailleurs, le film s'offre également les services de Angelo Badalamenti, compositeur attitré de David Lynch. Côté acteurs, les visages de "Delicatessen" devenus habitués sont encore là, et d'autres entrent à leur tour dans cette galerie tels Ron Perlman. Parmi eux se démarque la prestation démente de Daniel Emilfork. "La Cité des enfants perdus" n'est sans doute pas parfait, manque de cohérence par moment, mais demeure une expérience audacieuse et salutaire. Un bijou d'humour noir, défilé de gueules aux instants de poésie parfois éclatants. Jeunet et Caro représentent l'une des rares tentatives récentes d'un cinéma de genre hexagonal de qualité. Dès lors, on ne peut que regretter d'autant plus amèrement que leurs chemins se soient séparés si vite.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 février 2014
    Chaque plan est magnifique et relève d'une totale prouesse de mise en scène tant tout semble à sa place, tout est analysé, élaboré, pour retranscrire au cm² l'univers pensé.
    Laurent B.
    Laurent B.

    28 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 février 2018
    Le genre jeunet, c'est une couleur propre. Dans une atmosphère sombre, on trouvera toujours cette lueur d'espoir. Un casting aussi : Pinon, Hadji-Lazarro, Perlman, Dreyfus, Holgado, Rufus et tant d'autre. A mon sens, un chef-œuvre.
    heathledgerdu62
    heathledgerdu62

    141 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 septembre 2013
    Le chef d'oeuvre fantastique de Jean-Pierre Jeunet !!! Un monument du cinéma !!! Un chef d'oeuvre !!! Avec le terrifiant Ron Perlman très connu dans son personnage One !!! En collaboration avec Marc Caro , le réalisateur de Dante 01 !!! Avec le légendaire Dominique Pinon ( Alien , la résurrection, Métal Hurlant Chronicles ) !!!
    Fabien S.
    Fabien S.

    469 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 septembre 2017
    Le chef d'oeuvre de Jean-Pierre Jeunet . Un très bon rôle pour Ron Perlman. Dominique Pignon a une brillante interprétation dans son personnage. Un très beau univers fantastique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Une merveille née de l'imagination de deux scénaristes et réalisateurs de talent. Une ambiance indescriptible où l'inquiètante atmosphère fait que ce sont ces petits gamins débrouillards qui nous rassurent.
    Ron Pearlman est boulversant, les enfants sont formidables, et toute cete famille de clones est à la fois inquiètante, attendrissante et .. complètement cinglée !
    Ce film est un bijoux d'originalité à voir à tout prix
    Ti Nou
    Ti Nou

    419 abonnés 3 383 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 septembre 2007
    Comme pour "Delicatessen", deux visions sont absolument nécessaires pour prendre la pleine mesure de ce conte moderne, poétique et original mais difficilement accessible, les réalisateurs ayant du mal à faire pénétrer le spectateur dans leur univers.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    212 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 janvier 2008
    Avec «Alien, la résurrection» (USA, 1997) et «Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain» (France, 2001), «La Cité des Enfants Perdus» (France, 1995) forme une trilogie sur la confrontation entre l’enfance et l’adulte. Pour ce film, les deux réalisateurs : Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro décident de confronter ces deux statuts sur fond d’une histoire totalement onirique. Le film se passe on ne sait quand et on ne sait où. Ainsi, il y a dore et déjà une volonté de désancrer le film de toute réalité. La magnifique photographie de Darius Khondji, directeur de la photo réputé, donne aux images une teneur certaine en esthétique. Cette photographie se couple avec les effets visuels de Pitof qui viennent marteler la non-réalité du film. Scénaristiquement, le film a le mérite d’être une œuvre originale là où le cinéma a la fâcheuse tendance à se contenter d’adapter. On entre donc, tout au long du film, dans un univers personnel et qui n’en est que plus appréciable. Cet univers est d’ailleurs soutenu par des plans au plus proche, manière de figurer les hideux personnages. On retrouve d’ailleurs dans la construction des plans ( et aussi dans le faciès de certains acteurs ) l’amour de Jeunet pour David Lynch. Cet amour va même jusqu’à l’utilisation du compositeur des films lynchien : Angelo Badalamenti. Heureusement, Jeunet et Caro savent se l’approprier et nous évite un copier-coller. Si la photographie, la réalisation, le scénario et la musique nous réjouissent, c’est la distribution et la direction d’acteurs qui marquent aussi profondément. Notamment les jeux de la petite Judith Vittet, de Dominique Pinon et de Daniel Emilfork sont remarquables. Tout comme la bouille adorable de Joseph Lucien. En conclusion, «La Cité des Enfants Perdus» (France, 1995) si dans son but esthétique se rapproche plus d’un film hollywoodien, l’histoire appartient à la thématique de Jeunet et l’œuvre fait honneur au cinéma français de par son originalité incontestable.
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