Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Il y a ainsi, dans ce moderne marivaudage, une perpétuelle source de petites choses inattendues (en vrac : des caniches, un café infect, des yaourts comme cadeaux d'amour...) qui font dresser l'oreille et ouvrir l'oeil. Et vous rendent euphorique.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par La rédaction
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Vincent Dietschy, jeune cinéaste encore inconnu, trace de fines arabesques qui relient subtilement une multiplicité de personnages (...) Ce premier film apporte un air nouveau et frais dans le cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
C'est bien la vie qui court à pleins ruisseaux dans les veines de ce fim joker où l'on n'a jamais aussi finement joué la maladresse. On sourit, on rit et l'on constamment charmé.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Didier Péron
La verve des dialogues associée au burlesque des situations, la silhouette très graphique des acteurs, conspirent à la définition d'un style Dietschy, sorte de furioso limpide.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marc Lalanne
Le film (...) doit tout à l'esprit de troupe qui l'anime et à son dosage habile entre des acteurs non professionnels bien dirigés et des comédiens, dont le jeu décalé et fantaisiste garde les traces de l'amateurisme. Il parvient aussi à mettre au profit de son économie générale tout ce qu'il rate dans le détail. Son intelligence consiste à faire confiance dans la durée.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Chaque fois que l'on se dit que Vincent Dietschy tire quand même un peu trop fort sur la corde, que ses jeux de l'amour et du théâtre vont finir par sentir le réchauffé, une astuce de scénario, un gag, un regard recadrent le film. Les quiproquos sont enchaînés avec une tranquille assurance, une logique imperturbable, garanties que le réalisateur fait vraiment le film qu'il a envie de faire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
C'est finalement ce décalage entre la finesse des prémices et la brusquerie des changements de ton et de situations ou les outrances du jeu qui font le charme un peu trouble de ce film dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Le Figaro
par Claude Baignères
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Cette ronde discontinue et déstructurée qui se cristallise sur des enjeux psychologiques ou artistiques aussi bénins qu'attendrissants renoue de loin en loin -enfin surtout de loin- avec une sensibilité renoirienne (...) Bien sûr, on aimerait que ces bredouillages aient plus de souffle, que les personnages aient un tant soit peu de profondeur humaine. Mais on se contente amplement du plaisir de jeu qui se dégage de ce film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Stéphanie Lamome
On se croirait dans Promenades d'été, de René Féret, un brin de lourdeur à la Rohmer en plus.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marine Landrot
Interminable (plus de deux heures!), sans relief et maladroitement interprété.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
Il y a ainsi, dans ce moderne marivaudage, une perpétuelle source de petites choses inattendues (en vrac : des caniches, un café infect, des yaourts comme cadeaux d'amour...) qui font dresser l'oreille et ouvrir l'oeil. Et vous rendent euphorique.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Vincent Dietschy, jeune cinéaste encore inconnu, trace de fines arabesques qui relient subtilement une multiplicité de personnages (...) Ce premier film apporte un air nouveau et frais dans le cinéma français.
Le Parisien
C'est bien la vie qui court à pleins ruisseaux dans les veines de ce fim joker où l'on n'a jamais aussi finement joué la maladresse. On sourit, on rit et l'on constamment charmé.
Libération
La verve des dialogues associée au burlesque des situations, la silhouette très graphique des acteurs, conspirent à la définition d'un style Dietschy, sorte de furioso limpide.
Cahiers du Cinéma
Le film (...) doit tout à l'esprit de troupe qui l'anime et à son dosage habile entre des acteurs non professionnels bien dirigés et des comédiens, dont le jeu décalé et fantaisiste garde les traces de l'amateurisme. Il parvient aussi à mettre au profit de son économie générale tout ce qu'il rate dans le détail. Son intelligence consiste à faire confiance dans la durée.
L'Obs
Chaque fois que l'on se dit que Vincent Dietschy tire quand même un peu trop fort sur la corde, que ses jeux de l'amour et du théâtre vont finir par sentir le réchauffé, une astuce de scénario, un gag, un regard recadrent le film. Les quiproquos sont enchaînés avec une tranquille assurance, une logique imperturbable, garanties que le réalisateur fait vraiment le film qu'il a envie de faire.
Le Monde
C'est finalement ce décalage entre la finesse des prémices et la brusquerie des changements de ton et de situations ou les outrances du jeu qui font le charme un peu trouble de ce film dérangeant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
Cette ronde discontinue et déstructurée qui se cristallise sur des enjeux psychologiques ou artistiques aussi bénins qu'attendrissants renoue de loin en loin -enfin surtout de loin- avec une sensibilité renoirienne (...) Bien sûr, on aimerait que ces bredouillages aient plus de souffle, que les personnages aient un tant soit peu de profondeur humaine. Mais on se contente amplement du plaisir de jeu qui se dégage de ce film.
Première
On se croirait dans Promenades d'été, de René Féret, un brin de lourdeur à la Rohmer en plus.
Télérama
Interminable (plus de deux heures!), sans relief et maladroitement interprété.