Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
2,0
Publiée le 19 mars 2012
"Gloria" de Cassevets ne parvient à mes yeux que sur deux ou trois points sur lesquels je vais revenir mais hors mis ceux ci, le rythme est lent, très lent, trop lent. L'histoire bien qu'intéressante au départ devient lassante et répétitive, un choix volontaire du réalisateur pour comprendre la tourmente dans laquelle Gloria et son boulet se trouvent. Oui, je parle de boulet parce que franchement, on peut pas appeler ça du jeu, je n'y crois pas, le gamin est insupportable, irréaliste (ultra-autonome, appelez ça comme vous voulez), il cherche a s'accaparer l'écran bref, le personnage comme l'acteur est pathétique. Maintenant abordons le positif, tout d'abord Gena Rowlands éblouissante et épatante en femme rebelle (ça m'a rappelé "Kill Bill"), le rôle de Gloria n'est pas énorme non plus mais elle se met en avant de façon intéressante, la photographie de New York est aussi impressionnante, la ville rapetisse a vue d'oeil pour rappeler la traque dont sont victimes les deux protagonistes principaux. Voilà, comme je le disais à part pour le jeu de Rowlands, le film ne vaut absolument pas le détour
Un bon film qui est malheureusement freiné par quelques scènes un peu trop longues. Cassavetes nous prouve cependant qu'il, maîtrise le film de gangster à la perfection !
Gena Rowlands fait de la concurrence à Clint Eastwood et déménage dans ce film mené de main de maître par Cassavetes. Extraordinaire, l'actrice s'en donne à coeur joie dans un film qui prend à la gorge dés les première minutes et ne relâchera son étreinte qu'au générique de fin. Trop ancré dans époque cependant, le film est resté scotché dans les années 70/80.
Le plus grand succès de Cassavetes qui vaut surtout par la rencontre entre cette improbable femme et le jeune enfant et le lien qui se crée entre eux deux. En gros, le succès de l'humanité. Certes, cette relation marche parfaitement bien et Gena Rowlands donne le meilleur d'elle-même, mais cette réussite ne doit pas non plus éclipser les légèretés du scénario, son côté improbable, voire parfois rocambolesque. Ajoutez à cela des propos mille fois entendus du jeune enfant qui tranchent étrangément avec les excellentes répliques de Gena Rowlands. D'où un certain décalage qui flotte tout au long du film...
sublime polar!!!!!! gena rowlands est grandiose , le meilleur role de sa carriere pour ma part!!!!!! le petit est trop mignon!!!! quelque scene vaut le coup!!!! comme quand elel sort son flingue dans al rue tire sur les bandit en voiture, par exemple!!!! un film tres prenant qui se laisse regarder facilement!!!!!! devenu un classic pour moi!!!!!!! encore un film a voir et a se revoir sasn etre lasser ( c le cas pour moi) !!!! un film encore une fois comme on n'en fait plus!!!!!!
Film correct, mais qui peut surprendre par l'invraisemblable de certains passages. On sent bien que rien ne peut arriver à Gloria. Elle tue des hommes et d'autres hommes lui disent juste : "Eh oh, faudrait arrêter de tuer nos hommes !". Pas crédible. Les méchants sont vraiment balourds et pas futés, et c'est trop. La police n'existe pas... Gloria est soi-disant recherchée mais peut retirer de l'argent à sa banque, sortir son flingue en pleine rue et tirer, puis prendre un taxi sans souci. Le petit qu'elle traîne est assez énervant dans son élocution, et assez peu charismatique. Gena Rowlands est juste et touchante, ce qui sauve le film.
Voilà un classique que je viens de prendre plaisir à revoir. Un réalisateur et sa muse-épouse, dont l'interprétation y est éblouissante, au service d'un film de qualité tendu comme un arc. Un grand film.
Film très curieux, à doubles facettes. D'un côté un film noir, nerveux, qui s'apparente surtout à un exercice de style du grand Cassavetes : mise en scène recherchée et esthétique, Gena Rowlands éblouissante, musique envoutante, symbolique de l'amour bien exprimée. De l'autre un film de série B, bourré d'invraisemblances, d'à-peu-près, de seconds rôles caricaturaux, d'un jeune héros particulièrement mauvais. Il est plaisant et parfois prenant mais il me laisse le sentiment que, réalisé par un moins grand, il serait tombé dans l'oubli et les profondeurs du classement !
Même quand Cassavetes change de registre son style fait mouche. Une poursuite haletante de deux heures qui oppose un gosse et une femme à la mafia. Des scènes d'actions bien menées tout comme les parties intimistes. Le couple principal est excellent Gena Rowlands fonctionne bien avec le jeune acteur.
Le final peut paraître totalement étrange, même si on peut ne pas le trouver gênant, et que le gosse joue particulièrement mal (ce qui est une très bonne explication du fait qu'il n'ait joué que dans un seul film!), «Gloria» est une oeuvre qui ne fait pas tâche dans la filmographie de John Cassavetes. Au contraire, le cinéaste filme admirablement un New-York ensoleillé mais poisseux et très vite inquiétant et dirige magistralement son épouse et égérie Gena Rowlands qui livre une interprétation plus-que-remarquable. Un film noir contemporain intense et bien mené qui s'il n'est pas considéré comme étant un des films les personnels de son réalisateur porte pourtant sa griffe unique et constitue une très grande réussite.
Autant Cassavetes a su, en tant que figure de proue du cinéma indépendant américain, faire des films mémorables; autant Gloria s'apparente davantage à une opération commerciale. L'esthétique est celle d'une série B des années 70, le scénario est larmoyant, les protagonistes sont dénués de profondeur et le tout est servi dans le plus abominable des manichéismes. Heureusement que Gena Rowlands s'implique tant qu'elle le peut.
Généralement, je suis le premier à défendre Cassavetes car, idéologiquement, je me repère tout à fait dans sa conception du cinéma. On va vers la spontanéité, le naturel, on filme l'intimité des gens, qu'elle soit banale ou sublime, peu nous importe: la dramaturgie est au diapason de l'être humain. Mais là, Gloria ne m'a pas ému le moins du monde. Loin de ses succès indépendants, Cassavetes n'est plus que l'ombre de lui-même. L'histoire se cantonne à un road movie convenu avec des acteurs terriblement caricaturaux que ce soit les hommes aux intentions peu scrupuleuses, exerçant leur malignité sur une femme tombée au mauvais endroit au mauvais moment et qui doit fuir pour aider un gosse porto-ricain livré à lui-même... Je suis convaincu que même Jean Girault aurait ét plus inspiré, et pourtant je fais peu cas de son cinéma. D'autant plus que le dénouement est d'une banalité confondante. Le courant n'est pas passé cette fois-ci. Une grande déception, la seule que j'aie eue avec Cassavetes.
Alors que dire que dire GLORIA ! ! ! Très jolie cette Gena Rowlands ! Un film à la fois dramatique et mélancolique ponctué d'une touche de courage, d'humour et d'amour que cette GLORIA a pu apporté à ce petit orphelin dont la famille a été assassinée par la mafia. Un film assez entraînant où les dialogues des deux personnages et leur aventure dans dans ce film me fait un peu penser à Alice n'est plus ici de Martin Scorsese marrant non ? Très bonne réalisation, bonne mise en scène et à souligner une très bonne prestation de Gena Rowlands qui me permet au final de mettre un 3.5 pour ce bon film touchant de Cassavetes
"Gloria" est un oeuvre réussie. Si l'histoire est des plus simples, Cassavetes en fait un grand film, par ses personnages. Avec Gloria et le petit Phil, on nous sert une belle analyse du deuil, et des rapport mère/fils. Admirablement creusé, ses roles trouvent en John Adames (Phil) et surtout Gena Rowland (Gloria) des interprètes de grand classe. Mine de rien, c'est surement l'un des plus grand role féminins de l'histoire du cinéma que tient Gena Rowland. Une femme seule contre des mafiosos avouez que ce n'est pas courant ! Pourtant, l'histoire par la qualité de la réalisation parait crédible. Pour autant, "Gloria n'est pas d'une beauté visuel à couper le souffle, on à vu mieux. La beauté se trouve ailleurs, notamment dans quelques séquences à l'indéniable puissance émotionelle. Régulièrement mélancolique avec ses musiques jazz, "Gloria" apporte tout de meme quelques moment de joies, , notamment celle du spectateur.