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fritzlang1971
26 abonnés
421 critiques
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5,0
Publiée le 13 août 2011
Voilà un classique que je viens de prendre plaisir à revoir. Un réalisateur et sa muse-épouse, dont l'interprétation y est éblouissante, au service d'un film de qualité tendu comme un arc. Un grand film.
Film correct, mais qui peut surprendre par l'invraisemblable de certains passages. On sent bien que rien ne peut arriver à Gloria. Elle tue des hommes et d'autres hommes lui disent juste : "Eh oh, faudrait arrêter de tuer nos hommes !". Pas crédible. Les méchants sont vraiment balourds et pas futés, et c'est trop. La police n'existe pas... Gloria est soi-disant recherchée mais peut retirer de l'argent à sa banque, sortir son flingue en pleine rue et tirer, puis prendre un taxi sans souci. Le petit qu'elle traîne est assez énervant dans son élocution, et assez peu charismatique. Gena Rowlands est juste et touchante, ce qui sauve le film.
Dans "gloria" Gena Rowlands est parfaite contrairement au petit garçon qui est insuportable,la faute a des dialogues trop adulte pour lui,resultat:l'acteur est insuportable malgré un potentiel indéniable.De plus le scénraio reste flou puisque l'héroine se ballade un peu partout sans que l'on en sache vraiment le but.Enfin l'osmose souhaitait par le réalisateur entre les 2 personnages n'est absolument pas convaincante et elle en devient un brin pathétique.
"Gloria" de Cassevets ne parvient à mes yeux que sur deux ou trois points sur lesquels je vais revenir mais hors mis ceux ci, le rythme est lent, très lent, trop lent. L'histoire bien qu'intéressante au départ devient lassante et répétitive, un choix volontaire du réalisateur pour comprendre la tourmente dans laquelle Gloria et son boulet se trouvent. Oui, je parle de boulet parce que franchement, on peut pas appeler ça du jeu, je n'y crois pas, le gamin est insupportable, irréaliste (ultra-autonome, appelez ça comme vous voulez), il cherche a s'accaparer l'écran bref, le personnage comme l'acteur est pathétique. Maintenant abordons le positif, tout d'abord Gena Rowlands éblouissante et épatante en femme rebelle (ça m'a rappelé "Kill Bill"), le rôle de Gloria n'est pas énorme non plus mais elle se met en avant de façon intéressante, la photographie de New York est aussi impressionnante, la ville rapetisse a vue d'oeil pour rappeler la traque dont sont victimes les deux protagonistes principaux. Voilà, comme je le disais à part pour le jeu de Rowlands, le film ne vaut absolument pas le détour
Cassavetes est un génie à mes yeux, un des plus grands réalisateurs de l'histoire du cinéma et cela ne souffre d'aucunes contestations. Mais honnêtement ce film est très décevant. Gena Rowlands est, certes, très belle, impitoyable et rude. Néanmoins l'histoire ne prend pas et le film semble tourner en rond. De surcroît l'histoire d'un orphelin portoricain n'est que moyennement intéressante. Les dialogues sont futiles. L'esthétique et le cadrage reste cependant d'un très haut niveau, je pense notamment à l'ouverture assez bien rendue bien que peu illustre. Le dénouement es l'archétype de ces happy end américains insupportables... Quand on connait les premières productions de Cassavetes, ce film à de quoi dépiter.
Une nouvelle leçon de cinéma que nous offre Cassavetes. Un road movie à travers les bas fond du New York de 1980. L'histoire somme toute classique tient en halène grâce au petit garçon et à Gena Rowland tous deux assomant de crédibilité. L'intensité du film prouve aussi bien le talent de son réalisateur.
Je croyais avoir déjà vu ce film et en fait : non ! Et j'ai beaucoup aimé. Gena Rowlands est magnifique, comme toujours. Mais c'est surtout l'histoire qui m'a plu : cette union improbable entre cette femme désabusée qui se laisse rattraper par des sentiments dont elle ne se croit pas capable et cet enfant qui cache sa vulnérabilité comme il peut en jouant les hommes comme son père le lui a ordonné. Et puis New York ! C'est un personnage important du film dont on découvre plein de détails. (l'ouverture du film est une magnifique déclaration d'amour à cette ville). C'est prenant, intéressant, enrichissant, émouvant... J'ai pensé à Scorsese par moment mais avec quelque chose de plus fragile, tendre et réaliste.
sublime polar!!!!!! gena rowlands est grandiose , le meilleur role de sa carriere pour ma part!!!!!! le petit est trop mignon!!!! quelque scene vaut le coup!!!! comme quand elel sort son flingue dans al rue tire sur les bandit en voiture, par exemple!!!! un film tres prenant qui se laisse regarder facilement!!!!!! devenu un classic pour moi!!!!!!! encore un film a voir et a se revoir sasn etre lasser ( c le cas pour moi) !!!! un film encore une fois comme on n'en fait plus!!!!!!
Petite déception, le film m'a laissé de marbre. Pourtant, le début dans l'ascenseur est fascinant. D'ailleurs du côté de la mise en scène, tout fonctionne. Malheureusement, il y a des personnages... Rien dans ce film n'est vraimment crédible, surtout pas le personnage de Gloria malgré le charisme de Gena Rowlands. La musique est vraiment trop démonstrative également? Le film reste prenant et plutot divertissant, malgré des incohérences. La mise en scène est emballante, mais il manque vraiment une histoire à nous montrer. Au début, on marche et on passe sur les invraisemblances, mais au bout d'un moment, le film ne tient absolument pas debout, tout cela étant symbolisé par une scène finale d'une bétise ahurissante de facilité scénaristique. Bon, allez c'est tout de même supérieur à la moyenne, c'est un joli film vide.
"Gloria" est un oeuvre réussie. Si l'histoire est des plus simples, Cassavetes en fait un grand film, par ses personnages. Avec Gloria et le petit Phil, on nous sert une belle analyse du deuil, et des rapport mère/fils. Admirablement creusé, ses roles trouvent en John Adames (Phil) et surtout Gena Rowland (Gloria) des interprètes de grand classe. Mine de rien, c'est surement l'un des plus grand role féminins de l'histoire du cinéma que tient Gena Rowland. Une femme seule contre des mafiosos avouez que ce n'est pas courant ! Pourtant, l'histoire par la qualité de la réalisation parait crédible. Pour autant, "Gloria n'est pas d'une beauté visuel à couper le souffle, on à vu mieux. La beauté se trouve ailleurs, notamment dans quelques séquences à l'indéniable puissance émotionelle. Régulièrement mélancolique avec ses musiques jazz, "Gloria" apporte tout de meme quelques moment de joies, , notamment celle du spectateur.
Au-delà de l’interprétation magistrale de Gena ROWLANDS, c’est avant le personnage de Gloria qui m’a marqué. J’ai découvert ce film il y a fort, fort, longtemps, alors que je n’étais qu’adolescent. Au milieu des années 80, les garçons de mon âge, et moi le premier, n’avions d’yeux que pour Stallone, Schwarzenegger, Willis et, dans une moindre mesure Van Damme ou Norris. Donc, lorsque j’ai découvert ce film au cœur de mon âge tendre, quelle ne fut pas ma stupéfaction ! Comment une femme pouvait-elle être aussi forte et tenir tête à des mafieux ? Mais il est vrai que l’interprétation de Gena ROWLANDS est d’une telle justesse, d’une telle force et elle donne tant d’épaisseur à ce personnage qu’elle le crédibilise immédiatement. Notamment, dès la première scène où elle apparaît en refusant de s’occuper des enfants de son amie parce qu’elle ne les aime pas. C’est fabuleux ! Même si elle va inévitablement s’attacher au gamin qu’elle doit protéger, elle passe une bonne partie du film à le repousser, voire à tenter de s’en séparer, et ce avec force détermination. Voilà ce qui m’a fasciné dans ce film que je viens de revoir dans fort belle copie restaurée. Bon visionnage à vous !
gloria fait pour moi partie des films cultes que je regarde une fois tous les dix ans, le temps que les souvenirs s'estompent un peu et que je puisse retrouvrer mes sensations d'origine. Culte à cause de Gena Rowlands pas vraiment belle mais qu'on peut trouver véritablement belle par ce qu'elle dégage et sa forte personnalité ( d'esprit trop indépendante et battante pour s'embarrasser d'un mari et de gosses qui entraveraient son mode de vie atypique, elle est cependant capable d'éprouver de véritables sentiments pour un enfant qui n'est pas de sa chair sans tomber à aucun moment dans la mièvrerie) Culte aussi à cause de john Cassavetes qui pourtant peu coutumier du film de genre s'avére un très bon metteur en scène de film d'action ( pas de déchainement de violences ou de longues fusillades comme nous habitue le cinéma actuel mais juste des scénes d'action composés de deux ou trois plans très bien choisis telle la scène ou gloria plantée sur ses deux pieds tire sur la voiture et qui inspire l'affiche du film ( très simple mais efficace) ou la fuite dans l'ascenseur qui laisse planer l'incertitude et permet de donner toute son émotion à la scène finale, sans oublier la première scène d'action qui en fait en est à peine une par son traitement volontairement minimaliste Culte aussi à cause du regard aiguisé mi socioloque mi psychologue de john Cassavetes sur son environnement qui fait que Gloria ne se limite pas en un film de genre ( même s'il en est un) Le new York des années 70 montré comme un microcosme ou la mafia est présente à tous les échelons est presque palpable physiquement avec la façon de john Cassavetes de filmer des scènes comme si elles étaient prises sur le vif. Contrairement à ce que nous habituent films qui couplent un adulte et un enfant, ce dernier n'est pas montré de prime abord comme un être mignon et attendrissant mais sous un aspect dur et peu avenant le rendant paradoxalement au final plus attachant dans sa complexité et donnant à ce film d'action un caractère presqu'intimiste à travers ses rapports avec Gena Rowlands. Rendez vous dans dix ans
Alors que dire que dire GLORIA ! ! ! Très jolie cette Gena Rowlands ! Un film à la fois dramatique et mélancolique ponctué d'une touche de courage, d'humour et d'amour que cette GLORIA a pu apporté à ce petit orphelin dont la famille a été assassinée par la mafia. Un film assez entraînant où les dialogues des deux personnages et leur aventure dans dans ce film me fait un peu penser à Alice n'est plus ici de Martin Scorsese marrant non ? Très bonne réalisation, bonne mise en scène et à souligner une très bonne prestation de Gena Rowlands qui me permet au final de mettre un 3.5 pour ce bon film touchant de Cassavetes
Pauvreté d'un scénario minimaliste fait d'ellipses incompréhensibles. Le film n'évolue pas, il n'y aucun échange, le jeune garçon se révélant d'une maturité presque supérieure à celle de son tuteur illégal; ça suit son rythme anecdotique dans tout son long, le drame pour émouvoir, ce film pour rien.