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    Kagemusha, l'ombre du guerrier
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    109 critiques spectateurs

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    pelu
    pelu

    17 abonnés 1 074 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mai 2008
    que dire vraiment deux etoiles pas plus je comprends que sa soit un grand film pour certain il est rai que c une vraie fresque ce film il m 'aura beaucoup plus du cote esthetique je trouve le travail sur les costumes et les decors magnifiques surtout les costumes qui sont tres recherches et divers chacun ayant sa couleur apres il y ace cote qui m 'enerve toujours des chinois mais qui leur est propre ce cote un eu niaizeux duta leur rites leurs coutumes qui les rends un peu cretins debiles et moins credibles ces pour cela que je prefere ceux d 'aujourd hui ils ont un peu abandonne ce cote la apres le cotepoetique je ne le retrouve pas trop a part vers la fin ou il est asser present une musqie correct et de bon dialogue le tout sur une apologie du pouvoir je pense de diverse facon de l'aborder et le role principal joue drolement bien son double role du meme personnage tres bon mais neanmoins ce film ne m'a vraiment accroche je m'attendais a un monstre de film je n'y trouve que un film sympa pour ma part
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 avril 2008
    Pur chef d'oeuvre. Leçon magnifique de cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 mars 2008
    Le film qui m'a fait découvrir Kurosawa, inoubliable. Véritable coup de coeur pour le grand cinéaste japonais.Un grand film épique,dramatique et néanmoins poétique.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 27 février 2008
    Non que ce ne soit un mauvais Kurosawa loin de là, "Kagemusha" (1980) reste avant tout un film épique aux moyens hollywoodiens. Outre cette caractéristique dérangeante, le cinéaste respecte ses partis pris de mise en scène, à savoir le jeu très théâtral caméra fixe (qui m'avait affreusement gonflé dans son chiant "Les Bas-fonds") et la richesse de son propos, en l'occurence le cas du double, finement exploité par des jeux d'ombres. On a une baisse de régime à mi-chemin que la longue fin vient couvrir par sa grandeur technique. C'est ici que peche le cinéaste. Car ces rangs de mercenaires se révèlent longs et inutiles et ne servent qu'au tape à l'oeil. En revanche la toute fin accompagnée de cette musique magnifique au rythme funèbre, est une scène magique ne montrant à aucun moment les soldats au front mais seulement une fois tous exécutés! Les dernières images avec ce guerrier déchu, fidèle à son armée... une merveille!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 février 2008
    Une fresque magnifique. Kurosawa nous entraîne dans le Japon du XVIe siècle avec tant de réalisme, qu'on croirait vivre à cette époque. Pour une fois, ce n'est pas le code des samouraïs qui est mit en avant, mais toutes les règles de bienséances, que nous occidentaux connaissons mal. Le plan fixe, énormément utilisé ici, s'accorde très bien avec la photographie. Un poil long, mais le scénario est très intéressant. Un bijou, qu'il faut voir, pour la curiosité et pour se faire son idée, et à revoir pour le spectacle. Remarques: la mise en scène rappelle le théâtre japonais, dans certaines scènes, et renseignez-vous sur la période avant de voir le film, certains éléments pourraient vous paraître anachroniques, alors qu'il n'en est rien.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 février 2008
    J'ai vu ce film, sans regarder les critiques avant et donc j'en ai vraiment eu une idée personelle... En un mot MAGNIFIQUE ! Une des plus grandes fresques historique que j'ai eu l'occasion de voir. Tout est détaillé à merveille, decors, costumes, acteurs... Un chef d'oeuvre, il n'y a pas d'autre mot ! A voir absolument !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 janvier 2008
    Une peinture ? Certainement, avec une palette de couleur exceptionnelle et un souci de réalisme poignant. Un film ? Bien sûr ! Et pas des moindres : un grand film ! Un film engagé ? Oui, peut-être…Je l’ignore je ne connais guère l’histoire du Japon, j’ignore tout de ces guerres seigneuriales, hélas. Mais en tout cas un film qui engage l’homme, qui nous engage personnellement auprès d’une Montagne fragile parce que finalement ni plus ni moins que nous : seulement pleine d’émotion. Un accomplissent…

    Une fin à couper le souffle dont les images dédile inlassablement dans ma mémoire.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 octobre 2007
    Il est toujours délicat d'avoir vu et détesté un "chef d'oeuvre" que les cinéphiles avertis ont adoré. Car bien entendu, la critique ne peut être que positive. Alors laissez-moi vous dire que je n'ai pas apprécié du tout ce film. Ni le réalisateur. Commençons par les (très très) rares points positifs: de beaux costumes, de beaux décors, et c'est tout. Car n'en déplaise à Besson avec "The Messenger", la pléthore de bons acteur, de magnifiques vues ne font pas un bon film. Et c'est pareil pour Kagemusha.
    Tout d'abord c'est long. C'est très long. C'est trop long. Si cela peut passer pour la trilogie "Lord of the ring", ici c'est clairement surfait. Aucune innovation dans la mise en scène des batailles. Un sujet qui n'a rien d'original ni d'exceptionnel. Encore une fois des pseudo-acteurs qui auraient mieux leur place dans un kabuki que devant la caméra. A force de grimacer pour bien montrer leurs sentiments, cela ressemble à du Johnny Depp dans "Pirates of the Carribean", sauf que là c'est sensé être sérieux et pas comique. Et pour couronner le tout, des dialogues d'une platitude qui feraient passer les films de Stallone pour intellectuels. Et blablabli, et blablabla, et c'est moi le grand Seigneur de la mort qui tue et je vous l'affirme, tremblez pauvres loques... Et c'est vous les sous-fifres qui vous plierez à ma volonté...
    Pitié, 3h00 de torture dont clairement 1h30 de trop, je jette l'éponge et déconseille fortement ce film. Si vous voulez réellement visionner un vrai classique de chevalerie, mettez le DVD de Excalibur de Boorman, là au moins vous ne serez pas déçu!
    girondins59
    girondins59

    40 abonnés 490 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 septembre 2007
    Que serait-il advenu du chef d'oeuvre d'Akira Kurosawa si les américains George Lucas et Francis Ford Coppola n'étaient pas intervenus pour financer le projet qui fut à l'époque un record au Japon au niveau budgétaire. Quoi qu'il en soit, "Kagemusha, l'ombre du guerrier" est bel est bien là pour le plaisir des yeux. Surtout pour le plaisir des yeux car le film du maître japonais est presque une définition du cinéma contemplatif. Scènes de batailles et de déplacements de foules à n'en plus finir, réunion quasi-silencieuse des généraux et surtout, une façon de filmer tout ce qui entoure les personnages extraordinaire donnant, un peu comme le "Barry Lyndon" de Kubrick, une grand richesse picturale aux images. A côté de ça, une intrigue digne des plus grandes tragédies où un voleur repenti va devenir la doublure d'un grand chef de guerre pendant trois années durant lesquels l'ombre du chef défunt et l'imposteur au grand coeur ne feront plus qu'un. Ici, Tatsuya Nakudai incarne deux rôles. Un acteur, deux personnages qui ne font qu'un pour certaines personnes, Kurosawa perd son public dans les méandres d'un scénario diabolique et réussi une magnifique fable en costumes d'une richesse visuelle invraisemblable où la perte de soi et la tromperie sont les maîtres mots.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 juillet 2007
    Sommet du cinéma historico-politique de Kurosawa avec une performance légendaire de Nakadai. En filmant la succession d'un seigneur par son double Kurosawa choisit d'entamer une nouvelle étape de sa réflexion sur l'Histoire en se concentrant sur les figures qui la constitue. Encore une fois Kurosawa choisit le pessimisme en montrant que les hommes historiques sont des masques tutélaires dont personnes de peut sonder la profondeur et la véracité de leut être. Le parfait fonctionnement de la tromperie démontre encore une fois l'absurdité de l'histoire des êtres individuels où chacun est plus effrayé par le symbole que par la réalité et plus fasciné par l'individu que par l'espèce. Kurosawa déploie alors l'apogée de sa poésie cinématographique mêlant les contrastes de l'eau et de la boue, de la lumière et de l'ombre, du vrai et du faux. L'image de la montagne et l'importance des forces élémentaires sont les pilliers de la symphonie historique de Kurosawa. La nature inébranlable et fascinante l'emporte car elle ne peut pas tromper alors que l'humain se pare de symboles illusoires. Finalement se sont ces mêmes symboles qui vont démasquer son imposture en le trahissant lui-même. Kurosawa par des gros plans sur Nakadai de façon successives renforce la majesté du personnage en parvenant presque à nous tromper nous-mêmes et à nous méprendre sur son histoire. Le pouvoir serait alors le fruit du hasard et n'aurait pas vraiment de légitimité, seule la croyance en la poésie de la nature permettrait un salut à l'âme tourmentée. Il s'agirait de faire croire au peuple que son souverain est légitime. Ainsi l'histoire devient un jouet incontrôlable aux mains de quelques Hommes et elle finie par retrouver son cours normal en broyant ceux qui s'opposent à son déroulement tragique pour les être contingents que nous sommes. On peut noter la superbe scène de fin qui est une véritable déferlante de poésie guerrière. A mon sens l'un des trois plus grand chef-d'oeuvres du cinéma.
    groil-groil
    groil-groil

    92 abonnés 185 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 juin 2007
    “Kagemusha”, datant de 1980, est l’un des films les plus réputés de la seconde partie de l’oeuvre du maître japonais, aux côtés de « Derzou Ouzala », « Ran » ou « Rêves ». Mais celui-ci possède un statut particulier dans son œuvre puisqu’il fut coproduit par George Lucas et Francis Ford Coppola, deux admirateurs de Kurosawa. Du coup c’est sans doute son film le plus américain dans sa construction et sa mise en scène. S’il apparaît un peu trop sage, conventionnel, sans assez d’audace ou de folie, « Kagemusha » n’en demeure pas moins un film passionnant et bourré de talent. En 1573, Shingen Takeda, l’un des seigneurs les plus respectés du Japon, intercepte un voleur qui lui ressemble trait pour trait. Plutôt que de le faire tuer, Shingen décide d’en faire son double (Kagemusha en japonais) et de l’envoyer à sa place lors des combats trop risqués, à une époque où trois clans rivaux se disputent la prise de Kyoto, la capitale, et donc la domination du pays. Mais Shingen meurt plus tôt que prévu. Avant de passer de vie à trépas, il demande à son double, avec la complicité de son entourage proche, de se faire passer pour lui durant trois années, le temps de remporter les victoires guerrières nécessaires à sa conquête du Japon. Le double fera illusion pendant la quasi-totalité de ces longues années. Il trompera les proches de Takeda, sa famille, ses maîtresses, et même son petit-fils qui ne le reconnaît pourtant pas au départ. Seul un cheval ne supportant de n’être monté que par son maître le confondra. Le double démasqué, s’ouvre alors un océan de désolation pour le clan Takeda. Son armée est réduite à néant, les hommes sont exterminés par milliers alors qu’impuissant, le Kagemusha, redevenu vagabond, assiste au chaos. Il s’était tellement identifié au seigneur que, pris d’une crise d’empathie, il va littéralement offrir son corps à ce carnage sanglant. Celui-ci s’en ira inerte, dans les eaux rougies d’un océan malade, rejoindre le blason de ce clan devenu chimère.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 avril 2007
    La finesse japonaise au service d'une fresque comme on n'en faisait déjà plus dans les années 80. Ce film rend compte d'une maîtrise quasi parfaite du cinéma, tout peut y être étudié dans le détail, c'est une leçon de cinéma totale, mais si il est autant exceptionnel c'est aussi par l'émotion vive qui s'en dégage et qui sublime cette richesse cinématographique. Le Japon est une culture particulière, souvent méconnue et si le parfum du pays du soleil levant se respire avec ivresse dans le fond et dans la forme, c'est en même temps une oeuvre qui dépasse les frontières et qui montre encore une fois le pouvoir de l'art, celui de tendre à l'universel. En dehors de ces observations générales, le film vu de l'intérieur est d'une richesse exaltante, les acteurs effectuent une permorfance invisible, la musique porte cette fresque au porte des légendes, les décors sont un régal pour les yeux et la mise en scène est orchestrée avec un talent certain. L'émotion que le film suscite n'est pas de son fait...c'est le spectateur lui même qui vient la chercher. C'est une perle et pour une fois l'unanimité de la presse n'est pas douteuse.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 novembre 2006
    on sent la grande oeuvre derriere ce film...on sent les longues minutes passées a etudier la composition...le jeu d'acteur...pourtant un defaut que l'on peut reprocher a ce film est sa lenteur du point de vue evolution psychologique des personnages.Certes cette evolution est interpretée de facon splendide...elle est realisée avec beaucoup de poesie...les scenes de guerre etaient bel et bien interminables...peut etre aurait t il s'inspirer de ses producteurs pour ces scenes...mais ce serait mentir que de pretendre qu'akira kurosawa ne nous fait pas voyager dans cette fresque nippone du temps des samourais...il parvient a accomplir l'une des fonctions primordiales du cinema: l'evasion
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 octobre 2006
    Une fresque historique des plus reconnues et des plus abouties au japon. En plus, réalisée par le maître incontesté du pays: Mr Kurosawa. Certaines scènes nous révèlent une esthétique grandiose qui exprime bien tout le talent du réalisateur. L'aspect dramatique très travaillé, très centré autour d'un personnage m'a rappelé Ran. Le scénario fidèle à l'histoire nous emporte dans ce monde peuplé de guerres, d'orgueil et de dignité. Une référence dans la filmographie de Kurosawa!
    robert_ginty
    robert_ginty

    12 abonnés 381 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Il est toujours décevant de ne pas accrocher à un classique. Je m'attendais à un film de guerre épique, des affrontements furieux entre armées féodales déchaînées, pas à du théâtre filmé. Kagemusha est composé dans sa grande majorité de dialogues en plans fixes. Ce n'est pas une tare en soi, mais c'est un peu déroutant quand on s'attend à une successions de batailles. L'histoire est certes intéressante, les costumes sont somptueux, quelques décors sont magnifiques, mais, outre son statisme et sa longueur, le film pâtit également d'une photo très datée années 80, ce qui est aujourd'hui bigrement handicapant. Le choix de Kurosawa de laisser hors champ la bataille finale, tout justifiable soit-il d'un point de vue narratif, est assez représentatif de la frustation que j'ai ressenti tout au long du film. Restent quelques scènes magnifiques, comme certains plans sur fond de coucher de soleil rougeoyant (qui ont été repompés par Coppola, par ailleurs co-producteur de la présente oeuvre, pour les scènes d'intro de son Dracula), ou un long final apocalyptique. Kagemusha est peut-être un chef d'oeuvre que je suis allé voir avec des attentes non fondées. Mea culpa.
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